merci, je suis retourné...
pour qui ces jolis compliments?
que je lise
merci pour cet encouragement, bonne journée à demain
pour qui ces jolis compliments?
que je lise
merci pour cet encouragement, bonne journée à demain
December 1, 2025 at 7:05 AM
merci, je suis retourné...
pour qui ces jolis compliments?
que je lise
merci pour cet encouragement, bonne journée à demain
pour qui ces jolis compliments?
que je lise
merci pour cet encouragement, bonne journée à demain
merci, j'ai écris quelques jours, on verra si je peux aller au réveillon. Je trouve l'idée amusante, pourvu que ça dure, que je sois comme toi, ce vagabond hardi de L'âme .
December 1, 2025 at 4:05 AM
merci, j'ai écris quelques jours, on verra si je peux aller au réveillon. Je trouve l'idée amusante, pourvu que ça dure, que je sois comme toi, ce vagabond hardi de L'âme .
Une sensualité végétale, lente et irrépressible, où chaque cillement de peau était la fleur, que cette perle venait d'éveiller.
La rosée, en cet instant païen, était plus incandescente que la braise.
/5
La rosée, en cet instant païen, était plus incandescente que la braise.
/5
December 1, 2025 at 3:41 AM
Une sensualité végétale, lente et irrépressible, où chaque cillement de peau était la fleur, que cette perle venait d'éveiller.
La rosée, en cet instant païen, était plus incandescente que la braise.
/5
La rosée, en cet instant païen, était plus incandescente que la braise.
/5
Elle la regarda glisser, avec une inertie de volupté, vers la ligne secrète de son ventre.
Le désir, loin d'être la ferveur du tison, s’éveillait à présent comme la sève qui monte en hiver.
/4
Le désir, loin d'être la ferveur du tison, s’éveillait à présent comme la sève qui monte en hiver.
/4
December 1, 2025 at 3:39 AM
Elle la regarda glisser, avec une inertie de volupté, vers la ligne secrète de son ventre.
Le désir, loin d'être la ferveur du tison, s’éveillait à présent comme la sève qui monte en hiver.
/4
Le désir, loin d'être la ferveur du tison, s’éveillait à présent comme la sève qui monte en hiver.
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Seule, une perle d'eau, condensée par le choc du froid extérieur et de l'incendie du foyer, s'échappa du linteau de pierre pour s’écraser sur son épaule.
Ô non pas un choc, mais une intrusion exquise.
Une goutte, pure comme un regret, traçait une piste glacée.
/3
Ô non pas un choc, mais une intrusion exquise.
Une goutte, pure comme un regret, traçait une piste glacée.
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December 1, 2025 at 3:39 AM
Seule, une perle d'eau, condensée par le choc du froid extérieur et de l'incendie du foyer, s'échappa du linteau de pierre pour s’écraser sur son épaule.
Ô non pas un choc, mais une intrusion exquise.
Une goutte, pure comme un regret, traçait une piste glacée.
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Ô non pas un choc, mais une intrusion exquise.
Une goutte, pure comme un regret, traçait une piste glacée.
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Dehors, le soleil d'avent Noël filtrait à travers la fenêtre givrée, offrant des lignes cristalines sur la peau de Marguerite, nue, dorée de fièvres intérieures.
C'est là que naquit l'anomalie.
/2
C'est là que naquit l'anomalie.
/2
December 1, 2025 at 3:36 AM
Dehors, le soleil d'avent Noël filtrait à travers la fenêtre givrée, offrant des lignes cristalines sur la peau de Marguerite, nue, dorée de fièvres intérieures.
C'est là que naquit l'anomalie.
/2
C'est là que naquit l'anomalie.
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demain je commencerai à publier un calendrier de l'avent, tu me diras si je dois poursuivre, j'ai l'écriture tellement bavarde.
November 30, 2025 at 6:42 PM
demain je commencerai à publier un calendrier de l'avent, tu me diras si je dois poursuivre, j'ai l'écriture tellement bavarde.
La douceur du sein.
Brouillard matinal,
les gouttes de rosée brillent,
âpre odeur d'herbe.
le ciel bleu respire,
un nuage passe et flotte,
éveil incertain.
La jeune velle,
bercée, ferme les yeux,
soûle de lait.
j'écoutais les P. F
c'est pas trop les paroles.
je voyais cette prairie sous la neige.
Brouillard matinal,
les gouttes de rosée brillent,
âpre odeur d'herbe.
le ciel bleu respire,
un nuage passe et flotte,
éveil incertain.
La jeune velle,
bercée, ferme les yeux,
soûle de lait.
j'écoutais les P. F
c'est pas trop les paroles.
je voyais cette prairie sous la neige.
November 30, 2025 at 6:32 PM
La douceur du sein.
Brouillard matinal,
les gouttes de rosée brillent,
âpre odeur d'herbe.
le ciel bleu respire,
un nuage passe et flotte,
éveil incertain.
La jeune velle,
bercée, ferme les yeux,
soûle de lait.
j'écoutais les P. F
c'est pas trop les paroles.
je voyais cette prairie sous la neige.
Brouillard matinal,
les gouttes de rosée brillent,
âpre odeur d'herbe.
le ciel bleu respire,
un nuage passe et flotte,
éveil incertain.
La jeune velle,
bercée, ferme les yeux,
soûle de lait.
j'écoutais les P. F
c'est pas trop les paroles.
je voyais cette prairie sous la neige.
Le feu court au revers du poème. L'eau nue de l'alliance brise le plafond, la lumière se déverse du ciel, amère résistance
November 30, 2025 at 1:03 PM
Le feu court au revers du poème. L'eau nue de l'alliance brise le plafond, la lumière se déverse du ciel, amère résistance
ainsi sans répit,
tous les souvenirs flétris
le temps pétrit.
tous les souvenirs flétris
le temps pétrit.
November 26, 2025 at 1:02 PM
ainsi sans répit,
tous les souvenirs flétris
le temps pétrit.
tous les souvenirs flétris
le temps pétrit.
Oscar Clandot. Comme indiqué, un original pince sans rire et désopilant.
November 26, 2025 at 12:35 PM
Oscar Clandot. Comme indiqué, un original pince sans rire et désopilant.
comment s'appelait il déjà ce monsieur très drôle un peu cynique aux lunettes cassées qui faisait scandale sur Twitter?(mort depuis, hélas )
November 26, 2025 at 8:11 AM
comment s'appelait il déjà ce monsieur très drôle un peu cynique aux lunettes cassées qui faisait scandale sur Twitter?(mort depuis, hélas )
ça va finir par coûter cher ce coup de pub.
November 26, 2025 at 8:07 AM
ça va finir par coûter cher ce coup de pub.
les russes ont leurs missiles, nous avons nos pacifistes.
Plus la population se désintéresse de la politique, plus ils sont les proies des traîtres démagogues.
Plus la population se désintéresse de la politique, plus ils sont les proies des traîtres démagogues.
November 26, 2025 at 8:05 AM
les russes ont leurs missiles, nous avons nos pacifistes.
Plus la population se désintéresse de la politique, plus ils sont les proies des traîtres démagogues.
Plus la population se désintéresse de la politique, plus ils sont les proies des traîtres démagogues.
On croit perdre le monde, et c’est le monde qui soudain se dénude, humble et vrai.
Ce manteau d’invisibilité est aussi une grâce, il enseigne à voir avec l’âme ce que les yeux vont oublier.
/2
Ce manteau d’invisibilité est aussi une grâce, il enseigne à voir avec l’âme ce que les yeux vont oublier.
/2
November 25, 2025 at 9:45 PM
On croit perdre le monde, et c’est le monde qui soudain se dénude, humble et vrai.
Ce manteau d’invisibilité est aussi une grâce, il enseigne à voir avec l’âme ce que les yeux vont oublier.
/2
Ce manteau d’invisibilité est aussi une grâce, il enseigne à voir avec l’âme ce que les yeux vont oublier.
/2
Et ce goût de menthe sur ma lèvre, tenace, et ce reflet de lampe dans la glace?
Les années sont passées.
Les amours en braise, veillent.
Mais la vérité de ce premier baiser, l'unique, nul vent ne peut l'effacer.
C'est l'essentiel qui demeure.
L'âme, elle, se souvient du simple frôlement.
/2
Les années sont passées.
Les amours en braise, veillent.
Mais la vérité de ce premier baiser, l'unique, nul vent ne peut l'effacer.
C'est l'essentiel qui demeure.
L'âme, elle, se souvient du simple frôlement.
/2
November 24, 2025 at 6:13 PM
Et ce goût de menthe sur ma lèvre, tenace, et ce reflet de lampe dans la glace?
Les années sont passées.
Les amours en braise, veillent.
Mais la vérité de ce premier baiser, l'unique, nul vent ne peut l'effacer.
C'est l'essentiel qui demeure.
L'âme, elle, se souvient du simple frôlement.
/2
Les années sont passées.
Les amours en braise, veillent.
Mais la vérité de ce premier baiser, l'unique, nul vent ne peut l'effacer.
C'est l'essentiel qui demeure.
L'âme, elle, se souvient du simple frôlement.
/2
Tarte au cas où.
Le chaos, voyez-vous, n'a rien d'une apocalypse. C'est le désordre douillet d'une chambre au matin, l'étoffe froissée qui garde l'odeur du sommeil, la trace vermeille d'un fruit sur la nappe, la lumière crue qui révèle la poussière d'or.
Une indolence charnelle, voilà tout.
Le chaos, voyez-vous, n'a rien d'une apocalypse. C'est le désordre douillet d'une chambre au matin, l'étoffe froissée qui garde l'odeur du sommeil, la trace vermeille d'un fruit sur la nappe, la lumière crue qui révèle la poussière d'or.
Une indolence charnelle, voilà tout.
November 23, 2025 at 5:51 PM
Tarte au cas où.
Le chaos, voyez-vous, n'a rien d'une apocalypse. C'est le désordre douillet d'une chambre au matin, l'étoffe froissée qui garde l'odeur du sommeil, la trace vermeille d'un fruit sur la nappe, la lumière crue qui révèle la poussière d'or.
Une indolence charnelle, voilà tout.
Le chaos, voyez-vous, n'a rien d'une apocalypse. C'est le désordre douillet d'une chambre au matin, l'étoffe froissée qui garde l'odeur du sommeil, la trace vermeille d'un fruit sur la nappe, la lumière crue qui révèle la poussière d'or.
Une indolence charnelle, voilà tout.
La quête du Verbe qui tue et celle de l'acte qui chante.
La rencontre fut une simple coïncidence de souffles, un frisson traversant l'alcool glacé, avant que la vision ne se dissolve. Elle but la dernière goutte. Le sublime n'était qu'un mensonge de plus.
/4
La rencontre fut une simple coïncidence de souffles, un frisson traversant l'alcool glacé, avant que la vision ne se dissolve. Elle but la dernière goutte. Le sublime n'était qu'un mensonge de plus.
/4
November 22, 2025 at 11:27 PM
La quête du Verbe qui tue et celle de l'acte qui chante.
La rencontre fut une simple coïncidence de souffles, un frisson traversant l'alcool glacé, avant que la vision ne se dissolve. Elle but la dernière goutte. Le sublime n'était qu'un mensonge de plus.
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La rencontre fut une simple coïncidence de souffles, un frisson traversant l'alcool glacé, avant que la vision ne se dissolve. Elle but la dernière goutte. Le sublime n'était qu'un mensonge de plus.
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Lui aussi avait cherché le sublime dans la fracture.
L'un, Apollinaire, par le lyrisme des blessures de l'Occident.
L'autre, elle, par la raideur esthétique de l'Orient.
Leurs deux soifs se croisèrent, non pas dans le temps, mais sur ce comptoir écarlate.
/3
L'un, Apollinaire, par le lyrisme des blessures de l'Occident.
L'autre, elle, par la raideur esthétique de l'Orient.
Leurs deux soifs se croisèrent, non pas dans le temps, mais sur ce comptoir écarlate.
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November 22, 2025 at 11:27 PM
Lui aussi avait cherché le sublime dans la fracture.
L'un, Apollinaire, par le lyrisme des blessures de l'Occident.
L'autre, elle, par la raideur esthétique de l'Orient.
Leurs deux soifs se croisèrent, non pas dans le temps, mais sur ce comptoir écarlate.
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L'un, Apollinaire, par le lyrisme des blessures de l'Occident.
L'autre, elle, par la raideur esthétique de l'Orient.
Leurs deux soifs se croisèrent, non pas dans le temps, mais sur ce comptoir écarlate.
/3
,
mais l’écho d’un soldat,
un visage masqué par la gaze, l'odeur du sang et de la poudre remplacée par l'amertume de l'absinthe.
Elle voyait l'ombre du poète, l'homme qui avait célébré les Calligrammes avant que l'obus ne lui sculpte une autre forme de beauté.
/2
mais l’écho d’un soldat,
un visage masqué par la gaze, l'odeur du sang et de la poudre remplacée par l'amertume de l'absinthe.
Elle voyait l'ombre du poète, l'homme qui avait célébré les Calligrammes avant que l'obus ne lui sculpte une autre forme de beauté.
/2
November 22, 2025 at 11:26 PM
,
mais l’écho d’un soldat,
un visage masqué par la gaze, l'odeur du sang et de la poudre remplacée par l'amertume de l'absinthe.
Elle voyait l'ombre du poète, l'homme qui avait célébré les Calligrammes avant que l'obus ne lui sculpte une autre forme de beauté.
/2
mais l’écho d’un soldat,
un visage masqué par la gaze, l'odeur du sang et de la poudre remplacée par l'amertume de l'absinthe.
Elle voyait l'ombre du poète, l'homme qui avait célébré les Calligrammes avant que l'obus ne lui sculpte une autre forme de beauté.
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