Mon calendrier païen de l'avent.
1er décembre.
La Rosée Incandescente
Les plumes de la coitte étaient encore tièdes des ardeurs d’une longue nuit d’étreinte.
De la vaste cheminée, il ne restait qu'un cœur de braise rougeoyant, le poul lent de la passion passée.
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1er décembre.
La Rosée Incandescente
Les plumes de la coitte étaient encore tièdes des ardeurs d’une longue nuit d’étreinte.
De la vaste cheminée, il ne restait qu'un cœur de braise rougeoyant, le poul lent de la passion passée.
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December 1, 2025 at 3:35 AM
Mon calendrier païen de l'avent.
1er décembre.
La Rosée Incandescente
Les plumes de la coitte étaient encore tièdes des ardeurs d’une longue nuit d’étreinte.
De la vaste cheminée, il ne restait qu'un cœur de braise rougeoyant, le poul lent de la passion passée.
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1er décembre.
La Rosée Incandescente
Les plumes de la coitte étaient encore tièdes des ardeurs d’une longue nuit d’étreinte.
De la vaste cheminée, il ne restait qu'un cœur de braise rougeoyant, le poul lent de la passion passée.
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La vieillesse, compagne tardive, vous enveloppe d’un voile si léger que les autres n’y voient plus que de l’air. Mais dans ce voile frémit une lumière que seuls perçoivent les cœurs silencieux.
Les jours se font plus lents, pareils à des feuilles qui tombent sans bruit, révélant le ciel.
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Les jours se font plus lents, pareils à des feuilles qui tombent sans bruit, révélant le ciel.
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November 25, 2025 at 9:44 PM
La vieillesse, compagne tardive, vous enveloppe d’un voile si léger que les autres n’y voient plus que de l’air. Mais dans ce voile frémit une lumière que seuls perçoivent les cœurs silencieux.
Les jours se font plus lents, pareils à des feuilles qui tombent sans bruit, révélant le ciel.
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Les jours se font plus lents, pareils à des feuilles qui tombent sans bruit, révélant le ciel.
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Elle, effleura le vieux piano.
Le parfum des chèvrefeuilles, celui d'un été lointain, monta, âcre et vif.
Lui, ses mots simples, sous la lune plate.
Il dit: "le temps n'est qu'une brume que l'on traverse".
Ou sont ces heures volées ?
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Le parfum des chèvrefeuilles, celui d'un été lointain, monta, âcre et vif.
Lui, ses mots simples, sous la lune plate.
Il dit: "le temps n'est qu'une brume que l'on traverse".
Ou sont ces heures volées ?
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November 24, 2025 at 6:11 PM
Elle, effleura le vieux piano.
Le parfum des chèvrefeuilles, celui d'un été lointain, monta, âcre et vif.
Lui, ses mots simples, sous la lune plate.
Il dit: "le temps n'est qu'une brume que l'on traverse".
Ou sont ces heures volées ?
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Le parfum des chèvrefeuilles, celui d'un été lointain, monta, âcre et vif.
Lui, ses mots simples, sous la lune plate.
Il dit: "le temps n'est qu'une brume que l'on traverse".
Ou sont ces heures volées ?
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Le comptoir, laque obsidienne irradiée d’orange, fuyait le chaos de lumière.
Elle y posa sa main, camélia sur une lave solidifiée.
Le verre de gin, cube glacé de clarté stérile, était l'unique vérité dans cet écrin cramoisi.
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Elle y posa sa main, camélia sur une lave solidifiée.
Le verre de gin, cube glacé de clarté stérile, était l'unique vérité dans cet écrin cramoisi.
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November 22, 2025 at 4:12 PM
Le comptoir, laque obsidienne irradiée d’orange, fuyait le chaos de lumière.
Elle y posa sa main, camélia sur une lave solidifiée.
Le verre de gin, cube glacé de clarté stérile, était l'unique vérité dans cet écrin cramoisi.
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Elle y posa sa main, camélia sur une lave solidifiée.
Le verre de gin, cube glacé de clarté stérile, était l'unique vérité dans cet écrin cramoisi.
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Sous la caresse des vents, la nuit dévoile ses désirs.
Nous marchons soulevés, par un courant d'air vif aux délicates morsures.
Le givre s’accroche aux herbes, frissonne sous nos pas, et chaque souffle se fait nuage, secret confié au ciel.
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Nous marchons soulevés, par un courant d'air vif aux délicates morsures.
Le givre s’accroche aux herbes, frissonne sous nos pas, et chaque souffle se fait nuage, secret confié au ciel.
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November 21, 2025 at 12:07 AM
Sous la caresse des vents, la nuit dévoile ses désirs.
Nous marchons soulevés, par un courant d'air vif aux délicates morsures.
Le givre s’accroche aux herbes, frissonne sous nos pas, et chaque souffle se fait nuage, secret confié au ciel.
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Nous marchons soulevés, par un courant d'air vif aux délicates morsures.
Le givre s’accroche aux herbes, frissonne sous nos pas, et chaque souffle se fait nuage, secret confié au ciel.
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La mousseline froissée traînait sur le tapis ou dépérissaient les roses. Le miroir lui renvoyait une femme que la nuit et l'or avaient usée.
La fatigue du bal était plus lourde que les regrets.
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La fatigue du bal était plus lourde que les regrets.
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November 19, 2025 at 4:33 PM
La mousseline froissée traînait sur le tapis ou dépérissaient les roses. Le miroir lui renvoyait une femme que la nuit et l'or avaient usée.
La fatigue du bal était plus lourde que les regrets.
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La fatigue du bal était plus lourde que les regrets.
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La Fissure et le Myrthe.
Au détour du chemin de pierre, entre deux fourrés de Paliurus spina-christi aux épines sournoises et de myrthe à l'eau d'ange, l'air s'était brusquement asséché d'une odeur de thym écrasé et de résine chauffée à blanc.
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Au détour du chemin de pierre, entre deux fourrés de Paliurus spina-christi aux épines sournoises et de myrthe à l'eau d'ange, l'air s'était brusquement asséché d'une odeur de thym écrasé et de résine chauffée à blanc.
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November 18, 2025 at 7:41 PM
La Fissure et le Myrthe.
Au détour du chemin de pierre, entre deux fourrés de Paliurus spina-christi aux épines sournoises et de myrthe à l'eau d'ange, l'air s'était brusquement asséché d'une odeur de thym écrasé et de résine chauffée à blanc.
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Au détour du chemin de pierre, entre deux fourrés de Paliurus spina-christi aux épines sournoises et de myrthe à l'eau d'ange, l'air s'était brusquement asséché d'une odeur de thym écrasé et de résine chauffée à blanc.
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Le Mouvement.
C'était la clé.
L'accélération brutale et insensée que le Cortex tentait d'analyser n'était pas un déplacement physique mais une fluctuation dans une IAG.
Pour une fraction de seconde, l'Horloge Universelle comptait mille ans de l'histoire Galaxitique.
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C'était la clé.
L'accélération brutale et insensée que le Cortex tentait d'analyser n'était pas un déplacement physique mais une fluctuation dans une IAG.
Pour une fraction de seconde, l'Horloge Universelle comptait mille ans de l'histoire Galaxitique.
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November 17, 2025 at 12:30 PM
Le Mouvement.
C'était la clé.
L'accélération brutale et insensée que le Cortex tentait d'analyser n'était pas un déplacement physique mais une fluctuation dans une IAG.
Pour une fraction de seconde, l'Horloge Universelle comptait mille ans de l'histoire Galaxitique.
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C'était la clé.
L'accélération brutale et insensée que le Cortex tentait d'analyser n'était pas un déplacement physique mais une fluctuation dans une IAG.
Pour une fraction de seconde, l'Horloge Universelle comptait mille ans de l'histoire Galaxitique.
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Etrange mélancolie, n'est-ce pas, qui s'insinue dans les jours comme l'humidité dans une vieille étoffe. On croit tenir les rênes, et puis, soudain, la vie s'échappe, pareille à du sable qui file entre les doigts.
La confiance ?
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La confiance ?
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November 14, 2025 at 1:11 PM
Etrange mélancolie, n'est-ce pas, qui s'insinue dans les jours comme l'humidité dans une vieille étoffe. On croit tenir les rênes, et puis, soudain, la vie s'échappe, pareille à du sable qui file entre les doigts.
La confiance ?
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La confiance ?
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Check out this video from this search, ksenia parkhatskaya share.google/aVK4bm8UJ2MC...
Un de ces êtres de chair qui, sous l’épiderme, retient et distribue les forces brutes du monde, sans que l'on ait à s'encombrer du jargon de la physique.
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Un de ces êtres de chair qui, sous l’épiderme, retient et distribue les forces brutes du monde, sans que l'on ait à s'encombrer du jargon de la physique.
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November 13, 2025 at 9:32 AM
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Un de ces êtres de chair qui, sous l’épiderme, retient et distribue les forces brutes du monde, sans que l'on ait à s'encombrer du jargon de la physique.
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Un de ces êtres de chair qui, sous l’épiderme, retient et distribue les forces brutes du monde, sans que l'on ait à s'encombrer du jargon de la physique.
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Si seulement...
cette petite brume de regret qui voile l'aube d'une pensée.
Croire qu'il suffirait d'étendre la main, comme on cueille un fruit mûr où que l'on rejette une mauvaise herbe tenace, pour choisir la trame même de ce que nous sommes.
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cette petite brume de regret qui voile l'aube d'une pensée.
Croire qu'il suffirait d'étendre la main, comme on cueille un fruit mûr où que l'on rejette une mauvaise herbe tenace, pour choisir la trame même de ce que nous sommes.
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November 12, 2025 at 8:12 AM
Si seulement...
cette petite brume de regret qui voile l'aube d'une pensée.
Croire qu'il suffirait d'étendre la main, comme on cueille un fruit mûr où que l'on rejette une mauvaise herbe tenace, pour choisir la trame même de ce que nous sommes.
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cette petite brume de regret qui voile l'aube d'une pensée.
Croire qu'il suffirait d'étendre la main, comme on cueille un fruit mûr où que l'on rejette une mauvaise herbe tenace, pour choisir la trame même de ce que nous sommes.
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Fugitive adorée.
Il me semblait que la chute, cette traîtresse, n'en finirait jamais.
Non pas la chute abrupte des corps fatigués sur les planches des théâtres de province, mais celle, plus sourde et plus venimeuse, de l'âme qui se vide.
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Il me semblait que la chute, cette traîtresse, n'en finirait jamais.
Non pas la chute abrupte des corps fatigués sur les planches des théâtres de province, mais celle, plus sourde et plus venimeuse, de l'âme qui se vide.
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November 9, 2025 at 5:44 PM
Fugitive adorée.
Il me semblait que la chute, cette traîtresse, n'en finirait jamais.
Non pas la chute abrupte des corps fatigués sur les planches des théâtres de province, mais celle, plus sourde et plus venimeuse, de l'âme qui se vide.
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Il me semblait que la chute, cette traîtresse, n'en finirait jamais.
Non pas la chute abrupte des corps fatigués sur les planches des théâtres de province, mais celle, plus sourde et plus venimeuse, de l'âme qui se vide.
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Dieu dit : « Je veux savoir d’où je viens. »
Il était midi, et le soleil faisait luire
la grosse armoire en noyer de la cuisine qui sentait la cire, le pain et le romarin.
Dieu se souvint du feu.
Ce n’était plus l’incendie, ni les comètes hurlantes dans le grand vide refroidi.
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Il était midi, et le soleil faisait luire
la grosse armoire en noyer de la cuisine qui sentait la cire, le pain et le romarin.
Dieu se souvint du feu.
Ce n’était plus l’incendie, ni les comètes hurlantes dans le grand vide refroidi.
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November 8, 2025 at 1:29 PM
Dieu dit : « Je veux savoir d’où je viens. »
Il était midi, et le soleil faisait luire
la grosse armoire en noyer de la cuisine qui sentait la cire, le pain et le romarin.
Dieu se souvint du feu.
Ce n’était plus l’incendie, ni les comètes hurlantes dans le grand vide refroidi.
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Il était midi, et le soleil faisait luire
la grosse armoire en noyer de la cuisine qui sentait la cire, le pain et le romarin.
Dieu se souvint du feu.
Ce n’était plus l’incendie, ni les comètes hurlantes dans le grand vide refroidi.
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Novembre, lourd, mois de la boue grasse ou tout s’entasse et se délie.
Le jardin n’est plus qu'attente, mélasse de branchettes et de feuilles que le vent hache.
Le figuier, le chêne carcasses tordues, le sol sous leurs côtes est un pourrissoir ou la terre s’exaspère.
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Le jardin n’est plus qu'attente, mélasse de branchettes et de feuilles que le vent hache.
Le figuier, le chêne carcasses tordues, le sol sous leurs côtes est un pourrissoir ou la terre s’exaspère.
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November 7, 2025 at 2:56 PM
Novembre, lourd, mois de la boue grasse ou tout s’entasse et se délie.
Le jardin n’est plus qu'attente, mélasse de branchettes et de feuilles que le vent hache.
Le figuier, le chêne carcasses tordues, le sol sous leurs côtes est un pourrissoir ou la terre s’exaspère.
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Le jardin n’est plus qu'attente, mélasse de branchettes et de feuilles que le vent hache.
Le figuier, le chêne carcasses tordues, le sol sous leurs côtes est un pourrissoir ou la terre s’exaspère.
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youtube.com/watch?v=Hi6T...
La dame était là, lourde et légère à la fois dans le fauteuil qui la retenait, visage fermé où les souvenirs ne laissaient plus qu'une écume fugace, que des rubans de soie abandonnés au soleil.
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La dame était là, lourde et légère à la fois dans le fauteuil qui la retenait, visage fermé où les souvenirs ne laissaient plus qu'une écume fugace, que des rubans de soie abandonnés au soleil.
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Atteinte d’Alzheimer, l’ancienne étoile se remet à danser en écoutant le «Lac des Cygnes»
YouTube video by Le Parisien
youtube.com
November 6, 2025 at 5:12 PM
youtube.com/watch?v=Hi6T...
La dame était là, lourde et légère à la fois dans le fauteuil qui la retenait, visage fermé où les souvenirs ne laissaient plus qu'une écume fugace, que des rubans de soie abandonnés au soleil.
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La dame était là, lourde et légère à la fois dans le fauteuil qui la retenait, visage fermé où les souvenirs ne laissaient plus qu'une écume fugace, que des rubans de soie abandonnés au soleil.
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Je marchais, l'aube humide et confuse se soulevait titubante, laissant derrière elle une fraîcheur poisseuse accrochée aux buissons épineux.
La terre, ivre et lasse d'avoir tant bu la rosée, exhalait une odeur de mousse fermentée et de champignon vorace.
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#ombres
La terre, ivre et lasse d'avoir tant bu la rosée, exhalait une odeur de mousse fermentée et de champignon vorace.
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#ombres
November 5, 2025 at 8:41 AM
Je marchais, l'aube humide et confuse se soulevait titubante, laissant derrière elle une fraîcheur poisseuse accrochée aux buissons épineux.
La terre, ivre et lasse d'avoir tant bu la rosée, exhalait une odeur de mousse fermentée et de champignon vorace.
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#ombres
La terre, ivre et lasse d'avoir tant bu la rosée, exhalait une odeur de mousse fermentée et de champignon vorace.
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#ombres
Ah, cette eau !
miroir d'une fidélité cruelle, nappe d'un gris de perle mouillée, si calme qu'elle estompe le ciel, lui-même d'une brume laiteuse.
Attirante, elle vous berce du silence épais de ses profondeurs.
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#ombres
miroir d'une fidélité cruelle, nappe d'un gris de perle mouillée, si calme qu'elle estompe le ciel, lui-même d'une brume laiteuse.
Attirante, elle vous berce du silence épais de ses profondeurs.
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#ombres
November 4, 2025 at 7:22 AM
Ah, cette eau !
miroir d'une fidélité cruelle, nappe d'un gris de perle mouillée, si calme qu'elle estompe le ciel, lui-même d'une brume laiteuse.
Attirante, elle vous berce du silence épais de ses profondeurs.
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#ombres
miroir d'une fidélité cruelle, nappe d'un gris de perle mouillée, si calme qu'elle estompe le ciel, lui-même d'une brume laiteuse.
Attirante, elle vous berce du silence épais de ses profondeurs.
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#ombres
My Favorite Things
Un air de rien, d’abord,
Presque rien, une comptine,
un souvenir de jupe qui tourne et de sucre sur la langue.
Coltrane souffle.
tout change.
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Un air de rien, d’abord,
Presque rien, une comptine,
un souvenir de jupe qui tourne et de sucre sur la langue.
Coltrane souffle.
tout change.
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John Coltrane Quintet
“My Favorite Things"
Eric Dolphy-Beautiful Flute Solo 7:58-14:30
McCoy Tyner-Piano
Live: Stockholm 1961
youtu.be/115HvpEgLow
#Jazz #Jazzsky #MusicSky #Music #NowPlaying #JohnColtrane #EricDolphy
“My Favorite Things"
Eric Dolphy-Beautiful Flute Solo 7:58-14:30
McCoy Tyner-Piano
Live: Stockholm 1961
youtu.be/115HvpEgLow
#Jazz #Jazzsky #MusicSky #Music #NowPlaying #JohnColtrane #EricDolphy
November 3, 2025 at 2:35 AM
My Favorite Things
Un air de rien, d’abord,
Presque rien, une comptine,
un souvenir de jupe qui tourne et de sucre sur la langue.
Coltrane souffle.
tout change.
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Un air de rien, d’abord,
Presque rien, une comptine,
un souvenir de jupe qui tourne et de sucre sur la langue.
Coltrane souffle.
tout change.
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Inaudible et lente déflagration dans l'être,
dans le coton des jours,
dans l'indéchiffrable addition des silences.
Ils ont tant retenu de mots pour ne pas déranger la fête légère des autres.
une mort au ralenti, une lente exfiltration de la vie par les bords.
dans le coton des jours,
dans l'indéchiffrable addition des silences.
Ils ont tant retenu de mots pour ne pas déranger la fête légère des autres.
une mort au ralenti, une lente exfiltration de la vie par les bords.
October 28, 2025 at 2:32 PM
Inaudible et lente déflagration dans l'être,
dans le coton des jours,
dans l'indéchiffrable addition des silences.
Ils ont tant retenu de mots pour ne pas déranger la fête légère des autres.
une mort au ralenti, une lente exfiltration de la vie par les bords.
dans le coton des jours,
dans l'indéchiffrable addition des silences.
Ils ont tant retenu de mots pour ne pas déranger la fête légère des autres.
une mort au ralenti, une lente exfiltration de la vie par les bords.
Est-ce un songe, ô mon âme, funambule des nuits noires ?
Le jour, ce luth impur, distord l'éternité ;
la nuit un piano blanc, gorgé de vains espoirs,
#ombres
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Le jour, ce luth impur, distord l'éternité ;
la nuit un piano blanc, gorgé de vains espoirs,
#ombres
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October 26, 2025 at 3:14 PM
Est-ce un songe, ô mon âme, funambule des nuits noires ?
Le jour, ce luth impur, distord l'éternité ;
la nuit un piano blanc, gorgé de vains espoirs,
#ombres
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Le jour, ce luth impur, distord l'éternité ;
la nuit un piano blanc, gorgé de vains espoirs,
#ombres
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Arcimboldo compose un visage d’effroi
Aux fruits d’ombre et de lune que seule la peur mécroit
Du peintre florentin, la figure est maudite,
Qu’un pâle astre d'argent en ses tourments visite.
#ombres
Aux fruits d’ombre et de lune que seule la peur mécroit
Du peintre florentin, la figure est maudite,
Qu’un pâle astre d'argent en ses tourments visite.
#ombres
October 26, 2025 at 12:25 PM
Arcimboldo compose un visage d’effroi
Aux fruits d’ombre et de lune que seule la peur mécroit
Du peintre florentin, la figure est maudite,
Qu’un pâle astre d'argent en ses tourments visite.
#ombres
Aux fruits d’ombre et de lune que seule la peur mécroit
Du peintre florentin, la figure est maudite,
Qu’un pâle astre d'argent en ses tourments visite.
#ombres
Front contre front, ultime tentative pour ouvrir un passage, une passerelle entre nos solitudes pétrifiées.
Si ton cœur pétrifié est la réplique du mien.
Alors, il ne s'agit plus de franchir, mais d'abolir.
Si ton cœur pétrifié est la réplique du mien.
Alors, il ne s'agit plus de franchir, mais d'abolir.
La main sur l'épaule
Il le soutient
Il est fragile le colosse
Aux pieds d'argile
Mais l'ami veille
Et soulage les situations difficiles
L'amitié est solide
La roche aussi
#Micronouvelles
#Poesie
#Ombres
@keot.bsky.social
Il le soutient
Il est fragile le colosse
Aux pieds d'argile
Mais l'ami veille
Et soulage les situations difficiles
L'amitié est solide
La roche aussi
#Micronouvelles
#Poesie
#Ombres
@keot.bsky.social
October 25, 2025 at 8:07 AM
Front contre front, ultime tentative pour ouvrir un passage, une passerelle entre nos solitudes pétrifiées.
Si ton cœur pétrifié est la réplique du mien.
Alors, il ne s'agit plus de franchir, mais d'abolir.
Si ton cœur pétrifié est la réplique du mien.
Alors, il ne s'agit plus de franchir, mais d'abolir.
Cette année-là, les cosmos fleurirent jusqu'en novembre, sans pudeur, comme si l'été s'était endormi d'un sommeil léger, oubliant de serrer le poing sur le froid.
Ils étaient là, sur la terre ingrate du talus, ces longs Cosmos bipinnatus, frêles sur leur tige fibreuse,
1/
Ils étaient là, sur la terre ingrate du talus, ces longs Cosmos bipinnatus, frêles sur leur tige fibreuse,
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October 24, 2025 at 7:05 AM
Cette année-là, les cosmos fleurirent jusqu'en novembre, sans pudeur, comme si l'été s'était endormi d'un sommeil léger, oubliant de serrer le poing sur le froid.
Ils étaient là, sur la terre ingrate du talus, ces longs Cosmos bipinnatus, frêles sur leur tige fibreuse,
1/
Ils étaient là, sur la terre ingrate du talus, ces longs Cosmos bipinnatus, frêles sur leur tige fibreuse,
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Reposted by Didier Marchal
Como mariposa inquieta,
vuelo y me hago un sombrero,
de nube, de azul jilguero,
y de risa coqueta.
Si el viento juega, me reta,
le guiño un ojo y campeo,
entre luceros paseo.
Cielo y mar son mi alegría,
lanzo besos cada día,
¡y hasta el sol me dice “te veo”!
Cris_ms ✍️
vuelo y me hago un sombrero,
de nube, de azul jilguero,
y de risa coqueta.
Si el viento juega, me reta,
le guiño un ojo y campeo,
entre luceros paseo.
Cielo y mar son mi alegría,
lanzo besos cada día,
¡y hasta el sol me dice “te veo”!
Cris_ms ✍️
October 8, 2025 at 9:23 AM
Como mariposa inquieta,
vuelo y me hago un sombrero,
de nube, de azul jilguero,
y de risa coqueta.
Si el viento juega, me reta,
le guiño un ojo y campeo,
entre luceros paseo.
Cielo y mar son mi alegría,
lanzo besos cada día,
¡y hasta el sol me dice “te veo”!
Cris_ms ✍️
vuelo y me hago un sombrero,
de nube, de azul jilguero,
y de risa coqueta.
Si el viento juega, me reta,
le guiño un ojo y campeo,
entre luceros paseo.
Cielo y mar son mi alegría,
lanzo besos cada día,
¡y hasta el sol me dice “te veo”!
Cris_ms ✍️