Reproduction chez Henriot, Quimper, en 2024, d’un globe conçu par Creston en 1937 et détruit pendant la Guerre

Tu es dentiste autodidacte ?

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Il a raison, mais sa bronnerisation m’inquiète un peu

Pour le verbe caüdrer

"Il faudrait sans doute mieux les mettre à l'abri maintenant qu'ils sont semi-secs de peur qu'il ne pleuve"

Pour le [ɭ], voir Wikipedia. Cela, je me suis convaincu que cette rétroflexion existait, non par une perception auditive, mais en constatant que je ne pouvais empêcher ma langue de se replier en prononçant "belle jambe"

fr.wikipedia.org/wiki/Consonn...

👏👏👏

Mabon : nom gallois pris au hasard par l’auteur français ou il y a un rapport avec le Maponos mythologique ?

Petra vank daoñ = petra faot daoñ

Un /l/ vélarisé [ɫ] aurait très facilement été perçu par un locuteur d'ancien français comme [ɯ̯] ([u̯] sans arrondissement des lèvres) le résultat de la vocalisation de /l/ en ancien français

#brezhoneg

Ternes a bien étudié ce point dans sa grammaire groisillonne de 1970

Je l'ai également observé en Centre-Bretagne. Au début de mon apprentissage du breton, j'avais ainsi écrit foerell [fweːr(ə)ɫ] "diarrhée" comme

#brezhoneg

Il me paraît plus écomique de supposer que l'ancien français a reçu des toponymes bretons avec un /l/ fortement vélarisé [ɫ] en position finale et préconsonantique, comme on l'observe encore aujourd'hui en breton

#brezhoneg

Vallerie suppose une tendance à la vocalisation du /l/ en vieux breton de Haute-Bretagne sous l'influence du roman, tendance qui aurait abouti dans les dialectes de Basse-Bretagne uniquement devant /t/ :

vieux breton alt > breton mod. aod "côte"

#brezhoneg