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Entre "personne" et "travailleur de la vie".
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pascalbellanca.bsky.social
22 février 1961

Ma solitude est totale, elle est atroce.
[...]
On t'a appelée. Tu es née.
Il n'en faut pas beaucoup pour devenir un déchet, un paquet de frustrations.

Alejandra Pizarnik, Journal : Années françaises 1960-1964 @ypsilonediteur.bsky.social, p. 45.
Illustration. 
Portrait d'alejandra pizarnik.
Fond jaune.
Texte : "Alejandra Pizarnik " répété sur toit l'espace de l'illustration.
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emmanuelrmartin.bsky.social
Je réitère ma proposition : remplacer le sacré cœur par une statue géante de Louise Michel.
riocamille3.bsky.social
Il faut raser le sacré cœur
pascalbellanca.bsky.social
Pas de point UNE SEULE PHRASE COURANTE SUR LA TOTALITÉ DU (petit) LIVRE 📚
pascalbellanca.bsky.social
Oui, c'est étonnant d'accrocher immédiatement et presque sans s'en apercevoir. Ces deux petites merveilles permettront à beaucoup de découvrir les mélodies particulières des phrases de Krasznahorkai.
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📚 Gloire à la traductrice Joëlle Dufeuilly et aux éditions Cambourakis.
Sans oublier Marie Richeux ✨️💫 @mariericheux.bsky.social
Laszlo #Krasznahorkai parlait de "beauté" et de "vérité" à son micro en... 2018
🎙 www.radiofrance.fr/francecultur...
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et comme un jour il avait, optant pour le moins cher, dit : « Sternburger, bitte », depuis on lui servait toujours cette boisson …
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Le dernier loup de Laszlo Krasznahorkai, traduction Joëlle Dufeuilly, Cambourakis 2019, p. 7.
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ou bien passait de longues minutes à contempler une fissure ou une tache sur le plancher du bar, pour lui le plus simple était, sitôt levé, de se rendre au bistrot du coin, d’y commencer et d’y finir sa journée, pas pour s’enivrer, non, il n’en avait pas les moyens, plutôt par habitude,
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traînait à droite à gauche, passait des heures assis au Sparschwein en compagnie d’une bouteille de Sternburger, et tout autour de lui était saturé de vanité et de mépris, parfois, il s’apaisait, parfois, il cessait d’y penser, et se contentait alors de regarder dans le vide, totalement hébété,
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or si quelque chose s’appliquait à tout et émanait de partout, il était difficile de déterminer ce tout et ce partout, tt cela pour dire qu’il rit, mais seulement du bout des lèvres, à cause de cette vanité et de ce mépris qui gangrenaient sa vie, il ne faisait rien, abs. rien de ses journées,
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Il se mit à rire, mais pas vraiment de bon cœur car son esprit était occupé par des questions du genre : quelle est la différence entre la vanité des choses et le mépris, et à quoi cela se rapporte-t-il, d’après lui, cela se rapportait clairement à un tout émanant de tout et de partout,
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🧩 Vous y trouverez des contenus pédagogiques, des outils pratiques (quiz, exercices, audios) et une cartographie des aides.

➡️ santementale-info-service.fr

À consulter et diffuser largement en cette journée mondiale 🔄 #journeemondialedelasantementale
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✏️ L’INFO QUI COMPTE : le 10 octobre, c’est la Journée Mondiale de la Santé Mentale !
Un nouveau site, lancé par Santé publique France, vous permet de vous informer sur toutes les questions liées à la #SantéMentale.
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roues huilées, balancier, ressort. « Un perce-oreille est-il une minuscule machine ? se demanda-t-elle. Quelle est sa vocation, à quoi sert-il ? – Il sert à vivre », se répondit-elle.»
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Olga Tokarczuk, E.E
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Il s’arrêta, indécis, inspectant de ses antennes le trésor découvert. Erna l’examina de plus près – il bougeait comme un mécanisme, comme un métier à tisser dans l’usine de son père, ou l’horloge lorsqu’on ouvrait son cadran pour regarder à l’intérieur :
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« Erna observait un perce-oreille brun sorti d’un trou dans le rebord en bois de la fenêtre. Il se déplaça d’abord le long de la fissure, faisant plusieurs allers et retours, jusqu’à ce qu’il trouve les miettes des biscuits qu’elle venait de manger.
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For the shake of beauty, voici quelques autres couvertures de cette merveille de livre 📚✨️
Une Couverture du livre E.E d'Olga Tokarczuk : deux têtes bandées. Une Couverture du livre E.E d'Olga Tokarczuk :
Un rideau et deux pieds qui dépassent Une Couverture du livre E.E d'Olga Tokarczuk : trois silhouettes de femme. Une Couverture du livre E.E d'Olga Tokarczuk.
Une tête de femmes posée sur le bas du livre.
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#Joie #Tokarczuk ✨️✨️✨️📚 et son dernier ouvrage traduit du polonais par Margot Carlier, E.E
(Pour
Les premiers paragraphes de E.E pour savourer la beauté de cette écriture.
#SoundCloud
🎙 on.soundcloud.com/7IxP3cGT9spQ...
Couverture du livre de Olga Tokarczuk E.E. 
Quatre personnes autour d'une table pour une activité divinatoire. Noir et blanc. Début du XXe siècle.
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fouloscopie.bsky.social
Est-ce qu'on a toujours besoin d'un chef ?

Je viens de passer 3 ans à creuser la question 😅

Dispo dès aujourd'hui dans votre librairie préférée.

Bonne lecture !
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pecqueuxanthony.bsky.social
Lire le prochain Nobel de littérature ✅
Mais le regard de cette cheffe de service!!! 🥶😱
(comme souvent les chefs de service n'est-ce pas?)
pascalbellanca.bsky.social
Hâte de rentrer en Ardèche où j'ai laissé ce dernier 📚
Tu peux commencer par un petit format comme celui-là ou LE DERNIER LOUP.
Et ensuite GUERRE ET GUERRE ✨️🤜
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arnaudvineski.bsky.social
Les probabilités. On y vient.
Et à ce beau passage de Musil extrait de L’Homme mathématique (cité par Pierre Fasula) :

« On dit qu’elles représentent pour la pensée le maximum d’économie, et sans doute est-ce exact. Mais le fait même de penser est une affaire obscure et problématique.
pascalbellanca.bsky.social
Je profite de ton post pour signaler un ouvrage sur ma PAL : "Écrire Mazan", de la journaliste Élise Costa (Les nuits que l'on choisit).
"quels mots employer, quels termes utiliser pour raconter ce qu'on voit à l'audience."
Ses podcasts sur #Mazan pour Slate
🎙 www.slate.fr/societe/quan...
Couverture du livre "Écrire Mazan", d'Élise Costa
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pascalbellanca.bsky.social
Ne me dit pas que, ne me dit pas que, ne me dit pas que nous partagons la même saison...👀🍁👾🍁🦉🍁🦉
Trois petites courges et puis voilà 
Rue de Marseille à Lyon.