Ophélie Bruneau
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Ophélie Bruneau
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De l'encre dans les pages et dans la peau. Autrice SFFF supplément poils de chat. Wokistan libre !
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-~ Blousque de bienvenue ~-

Si vous arrivez ici, sachez que ce compte est un mélange d'imaginaire, de shitpost, de wokisme et de chats. Beaucoup de chats.
Je mets des Alt à mes images comme les gens bien.
J'essaie d'être moi-même une gens bien mais je ne sais pas si ça marche.
Magie du samedi : alors que je passais l'épuisette dans la mare pour enlever des feuilles mortes, un oiseau est venu faire ses ablutions dans la cascade, à 1m20 de moi. Je suis restée immobile le temps qu'il finisse. C'était un roitelet huppé, minuscule et superbe.
C'est vrai que j'ai mis mon deuxième réveil ce matin, comme je suis en télétravail, et qu'Urville a miaulé un coup à 6h45, parce que normalement, je me lève à cette heure-là 😅
Je prends pour un échec personnel les matins où c'est le pioupiou de 7h qui me réveille 😅
Je trouve beaucoup moins violent de me réveiller avec le rai de lumière de 6h40, ou de 6h45, ou... Quand mon corps est réceptif.
J'y songe aussi, mais sans avoir encore franchi le pas de la recherche. J'ai le réveil à simulateur d'aube depuis quelques années, et j'en suis très contente, donc la lumière et moi, ça peut le faire.
"Tu n'es pas motivée pour bosser ? Et si je viens sur tes genoux ? Et si je me frotte en ronronnant ? Comment ça, tu es encore moins motivée ?"
En fait, mon autisme s'accommode mal de l'idée de passer 3 appels en 20 minutes, sauf nécessité urgente. Le premier aurait épuisé mes batteries.
Les gens qui passent tous leurs appels persos dans le RER : qui sont-ils, quels sont leurs réseaux ?
Murano, Mojito, same difference 🍸🍹
La tronche de l'article de journal le lendemain : "Un enfant s'amuse à écouter l'écho de sa voix sur le site grandiose"...

Tu te calmes, Jean-Plume, on ne voyait rien du tout à cause du brouillard !
Ma mère prévient des gens qui repartent, pour qu'ils appellent les secours.
Fin mot de l'histoire : une randonneuse avait fait une chute, et avec la purée de pois, personne ne la voyait en contrebas. Sans le frangin qui tendait l'oreille, elle aurait mis plus longtemps à être secourue.
Début années 90, la famille habite à la Réunion. Nous montons au point de vue du Maïdo un weekend, mais il fait moche. Mon frère s'occupe en criant "hé ho", au cas où il y aurait de l'écho...
Il n'y en a jamais eu au Maïdo.
Mais depuis la brume, ce jour-là, quelqu'un lui répond.
Reposted by Ophélie Bruneau
This is a really good thread, and it's interesting to see academic thought (here) and shitposter thought (the "hell yeah, you're twelve" post) coming to the same conclusion.
I mean, ultimately, this doesn’t matter. What matters is what they choose to do. But this little bit of insight into how many adults really are just preteens has been very informative for me.
Reposted by Ophélie Bruneau
Votez Jean-Eusèbe pour plus de Le Train.
En fait ma seule solution pour le pays c'est plus de LE TRAIN.
Écoutez vous gérez la défense, les hôpitaux, le code du travail, l'écologie tout ça.
Moi je gère la production et les LE TRAIN.
Je fais plus de LE TRAIN et je fais bosser plein de gens sur comment rendre les flux moins Importants.
Reposted by Ophélie Bruneau
Les journalistes politiques actuels c'est les mêmes qui matent un épisode de Columbo en disant à la fin "attends mais c'était lui le coupable?"
C'est pas comme si Narnia datait de... Ooouf, au moins ça.
Je dois acheter les tomes 2 et 3 de OA, d'ailleurs. Ils ne sont plus disponibles en accès gratuit.
Tellement.
Les histoires que j'ai préférées étaient des œuvres américaines : Tori Transmigrated, avec son renversement magistral du trope "je deviens la villainness d'un otome", et Otherworldly Anarchist, ou "j'étais militante anarchiste, je ne vais pas me fader la monarchie dans ma nouvelle vie".
Qui n'a jamais souhaité repartir à zéro, en rêvant d'avoir beaucoup de succès ?
La définition du succès par "un pouvoir overcheaté + un harem" peut évidemment se discuter.
J'appelle ça "quelque chose à compenser" et ça joue beaucoup dans le succès de la power fantasy.
Le héros d'isekai typique est un gars lambda, voire un loser, qui par la grâce d'un truck-kun et d'une déesse à gronichons, prend une revanche sur sa vie médiocre.
Je comprends que ça plaise à des gens.
Oui, mais comment t'assurer qu'un lectorat masculin varié s'identifiera au maximum à ce héros pour lequel craquent toutes les jolies filles ?
Plus petit dénominateur commun = fadasse au possible
El famoso "club des clones de Kirito"
Si si, mais le Louis considère cette clause comme nulle et non avenue.