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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 3h

Je ne sais pas pourquoi j'ai mis autant de temps à lire d'autres David Mitchell après le superbe Cloud Atlas !
J'ai bien envie de tout rattraper.

FabRusen @fabrusen.bsky.social · 4h

Je découvre d'ailleurs que, même s'il peut se lire indépendamment (ce que j'ai fait), Slade House s'inscrit dans l'univers du précédent roman de David Michell, L'Âme des horloges.
Que je me suis empressé de commencer, évidement.

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 4h

Variation originale sur le thème de la maison hantée, qui apparait ici tous les 9 ans dans une petite ruelle anglaise pour y piéger un·e visiteur·euse imprudent·e, Slade House est découpé en plusieurs textes façon fix-up formant un court page-turner horrifique que j'ai eu bien du mal à lâcher.

Couverture de Slade House aux éditions Points.
La couverture est bleue avec des plusieurs illustrations entourées de motifs : deux visages de profil, un clef et une grande maison dont quelques fenêtres sont éclairées.
Le titre du livre est en jaune au milieu.

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 14h

A noter, George Eastman dans l'un de ses tous premiers rôles, au générique sous le nom de Gigi Montefiori.

Photo d'exploitation allemande, le film est appelé Jonny Madoc.

A gauche, Pier Paolo Capponi prenant en otage Lucia Modugno, à droite, le grand George Eastman en chapeau blanc, chemise rose, bretelles, ceinture chargée de munition et pistolet à la main.

FabRusen @fabrusen.bsky.social · 14h

Due once di piombo (Mon nom est Pécos)
Maurizio Lucidi / 1966

"Déguisé" en mexicain de façon aussi problématique que peu convaincante, Robert Woods fait pleuvoir les plombs dans ce western très générique se distinguant surtout par sa violence et rappelant Navajo Joe sorti la même année.

Ecran titre du film
Deux personnes devant une habitation aux murs blancs
Sur la droite, en jaune, le titre du film : DUE ONCE DI PLOMBO (Il mio nome è Pecos)

Gros plan du visage de Robert Woods dans le rôle de Pecos.
Il a une barbe de trois jours, un large chapeau sombre sur la tête et un maquillage qui lui étire les yeux je n'ai toujours pas compris pourquoi.

La bande des méchants du film, avec Pier Paolo Capponi jouant leur chef, un pistolet à la main, et George Eastman en chemise rose dans le fond à gauche.

Pier Paolo Capponi, l'air agressif et résigné, prenant en otage Lucia Modugno.

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 17h

1 - The Craft ?

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 1d

Il veut marquer le cou

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 1d

Le meilleur épisode avec Jason X.
Le générique à la James Bond et la team de paintball là 🥰.

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 2d

Quand littéralement tous les personnages commencent à m'exaspérer, les anciens comme les nouveaux, c'est mauvais signe 😅.

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 2d

Depuis au moins la saison 3 c'est en chute libre je trouve, mais là ça devient irregardable. Je doute de finir la saison.

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 2d

A noter, tout de même, une séquence se déroulant dans un pays africain avec des représentations datées venant bien nous rappeler qu'on est devant un film de 1936.

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 2d

Première apparition parlante du personnage né dans les penny dreadfuls après deux muets en 1926 (aujourd'hui perdu) et 1928, le film s'avère aujourd'hui très désuet côté horreur mais propose un mélodrame victorien assez espiègle, valant surtout le visionnage pour son grandiloquent acteur principal.

Sweeney Todd tenant un rasoir sur sa joue.

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 2d

Un rôle qu'il connait très bien puisqu'il l'a incarné pas moins de 2.000 fois sur les planches !

Tod Slaughter, dans le rôle de Sweeney Todd, en chemise blanche, les bras croisé sur le torse, regardant de côté tout sourire.

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 2d

Quel plaisir de voir Tod Slaughter, le "Europe's Horror man", jouer du rasoir dans Sweeney Todd: The Demon Barber of Fleet Street (George King / 1936), vicieux et enjôleur, déclamant des "I'm going to polish you off !" bien théâtraux tout en ricanant et se frottant les mains.

Ecran titre du film

George King
presents
Tod Slaughter
in
Sweeney Todd
The Demon Barber
of Fleet Street
by
Frederick Hayward.

Tod Slaugther avec un grand sourire, en chemise blanche, cravate noire et un rasoir à la main.

Johanna, en robe et assise sur une chaise, parle avec sa dame de chambre debout derrière elle.
Comme décor, une chambre avec un lit à baldaquin.

Un homme, l'air surpris, avec une cape et capuche noire.

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 2d

Merci d'en parler, je n'étais pas du tout au courant et pas mal de choses me faisaient de l'œil chez eux.
(Plus maintenant, du coup...)

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Anaïs V @immortana.bsky.social · 2d

Pour info s'il vous prend l'envie d'acheter chez Artus Films

LA FUREUR DE Cinéma et politique @cinemaetpol.bsky.social · 2d

Ah ben ok, donc Artus a déjà fait sa promo dans... La Nouvelle librairie ??? C'est chaud là ! Et le mec qui a fait le livret pour l'édition de "Guillaume Tell", c'est un mec qui écrit pour des revues bien vénères de la "Nouvelle Droite" (Krisis, Éléments). Bon, plus de doutes là...

Extrait d'un article paru dans la revue d'extrême-droite "Éléments" : Inclassable Guillaume Tell ! Héros suisse immortalisé par le plus romantiques des poètes allemands Friedrich von Schiller, patron protecteur de dizaines de sections de sans-culotte en 1789, et pourtant figure détestée par les marxistes de stricte observance. Héros d’enfance d’Hitler, qui lui dédie un chapitre dans Mein Kampf mais en interdit les réprésentations théâtrales dans les écoles en 1940. Guillaume Tell est le père putatif de toutes les révoltes populaires, des bonnets rouges aux gilets jaunes en passant par les Black Blocs, comme l’expliquait notre collaborateur David L’Épée, lors de la présentation du film à la Nouvelle Librairie, en présence de Thierry Lopez, co-fondateur d’Artus Films. Au fronton des chapelles suisses comme à Burglen, son village d’origine, les vers qui lui rendent hommage adressent aux chrétiens un message fort peu évangélique : « L’arbre de la liberté naît d’un sang des tyrans. Sans l’audace du Tell, la liberté n’est qu’un songe ».

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 3d

Mais oui, ce theme est incroyable !

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 3d

J'ai déjà oublié la moitié de ce que j'ai commandé, je laisse la surprise à mon moi du futur qui ouvrira le colis.

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 3d

lesjours.fr/obsessions/s...

#MeToo : Thierry Lounas et Claire Bonnefoy, producteurs accusés d’être des « prédateurs »

Info « Les Jours ». Douze femmes relatent des faits de violences sexistes et sexuelles de la part du couple, figure du ciné indépendant français.

lesjours.fr

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 3d

J'étais tenté mais, vu ce qui sort aujourd'hui sur Capprici, j'ai bien fait de ne pas preco 💀.

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WongKarWaifu @wongkarwaifu.com · 3d

Tout le catalogue Carlotta Films à moitié prix c'est maintenant et ça veut dire :
Adieu ma concubine à 10€
Six films de Kinuyo Tanaka à 30€
Quatre films de Stanley Kwan à 25€
Full River Red à 8€
Heroic Trio et sa suite à 15€
L'Étang du Démon à 10€
L'Ombre du feu à 8€
A Brighter Summer Day à 10€
etc.

Offre Spéciale Festival Lumière 2025

Dimanche 12 octobre 2025 et uniquement de 10h30 à 19h, profitez de - 50 % sur TOUT notre catalogue (éditions sorties jusqu'au 17 juin 2025 inclus ; hors précommandes, packs mensuels, nouveautés et édi...

laboutique.carlottafilms.com

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Bon Chic Bon Genre @bcbg.bsky.social · 3d

Thierry Lounas c’est Cappricci, So Film, Les
Cahiers du ciné, etc..Je vous laisse imaginer évidemment le pouvoir de nuisance et d’écrasement que ça peut représenter..

nora bouazzouni @nora.bz · 4d

omerta, impunité, emprise et "tout le monde savait". lesjours.fr/obsessions/s...

#MeToo : Thierry Lounas et Claire Bonnefoy, producteurs accusés d’être des « prédateurs »

Info « Les Jours ». Douze femmes relatent des faits de violences sexistes et sexuelles de la part du couple, figure du ciné indépendant français.

lesjours.fr

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 6d

Hop, tout leur catalogue part en wishlist !

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 6d

La tarte à la merde on a jamais essayé non plus, Josiane.
Hâte d'avoir ton avis.

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FabRusen @fabrusen.bsky.social · 6d

Nooooooooooon 😭

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