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guilhemdelteil.bsky.social
Il a beaucoup été question de Palestine ces jours-ci. Mais de qui la Palestine est-elle le nom? L'an dernier, je vous parlais des Palestiniens dans un podcast RFI toujours d'actualité pour découvrir et, j'espère, comprendre l'histoire de ce peuple et ses aspirations. rfi.my/B28t.BS
Palestiniens
Depuis des décennies, les Palestiniens sont en quête d’un État. De la Nakba de 1948 aux attaques du Hamas le 7 octobre 2023 et la riposte militaire israélienne dans la bande de Gaza, le rêve d’une Pal...
rfi.my
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nathanaelvittrant.bsky.social
Communiqué de la @sdjrfi.bsky.social : nous supplions le gouvernement français de reprendre les évacuations de nos collaborateurs gazaouis, plus que jamais en danger de mort
sdjrfi.bsky.social
Nos collaborateurs à Gaza sont toujours en danger de mort, nous supplions la France de les évacuer

Ce sont nos collègues et nos amis. Nous refusons qu’ils viennent s’ajouter à la liste des plus de 200 journalistes palestiniens tués depuis le 7 octobre 2023.
Paris, le 26 août 2025

Nos collaborateurs à Gaza sont toujours en danger de mort, nous supplions la France de les évacuer

Fin mai dernier, nous avions publié avec les sociétés de journalistes d’une vingtaine de médias français un appel à évacuer nos collaborateurs gazaouis et leurs familles. Depuis, une poignée d’entre eux seulement a pu quitter l’enclave assiégée. 

Entre-temps, l’ONU a officiellement déclaré l’état de famine à Gaza le 22 août. Elle concerne un demi-million de personnes. 

Cet été, Israël a délibérément ciblé et tué cinq journalistes d’Al Jazeera et un reporter indépendant, les accusant sans en apporter la preuve de « terrorisme ». Lundi 25 août, la chaîne qatarienne mais aussi Associated Press, Reuters et NBC ont appris, « dévastés » et « choqués », la mort de cinq de leurs collaborateurs, tués par une frappe israélienne sur un hôpital du sud de Gaza. 

Depuis fin juillet, le gouvernement français a suspendu les évacuations de Palestiniens de Gaza vers la France, sans exception.

Nos collègues gazaouis sont nos voix et nos oreilles depuis plus de 18 mois. Sans eux nous ne pourrions pas témoigner de l’ampleur de la tragédie humanitaire qui se joue actuellement au Proche-Orient. Ce sont nos collègues et nos amis. 

Nous refusons qu’ils viennent s’ajouter à la liste des plus de 200 journalistes palestiniens qui ont péri depuis l’attaque terroriste du 7 octobre 2023 et le début de l’offensive israélienne. Nous supplions la France de reprendre les évacuations et de les accueillir. Et nous demandons à nouveau à la communauté internationale qu’elle exige d’Israël d’ouvrir Gaza à la presse étrangère.

La Société des Journalistes de RFI
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vgaymard.bsky.social
Nos collaborateurs à Gaza sont toujours en danger de mort, nous supplions la France de les évacuer

Ce sont nos collègues et nos amis. Nous refusons qu’ils viennent s’ajouter à la liste des plus de 200 journalistes palestiniens tués depuis le 7 octobre 2023.
sdjrfi.bsky.social
Nos collaborateurs à Gaza sont toujours en danger de mort, nous supplions la France de les évacuer

Ce sont nos collègues et nos amis. Nous refusons qu’ils viennent s’ajouter à la liste des plus de 200 journalistes palestiniens tués depuis le 7 octobre 2023.
Paris, le 26 août 2025

Nos collaborateurs à Gaza sont toujours en danger de mort, nous supplions la France de les évacuer

Fin mai dernier, nous avions publié avec les sociétés de journalistes d’une vingtaine de médias français un appel à évacuer nos collaborateurs gazaouis et leurs familles. Depuis, une poignée d’entre eux seulement a pu quitter l’enclave assiégée. 

Entre-temps, l’ONU a officiellement déclaré l’état de famine à Gaza le 22 août. Elle concerne un demi-million de personnes. 

Cet été, Israël a délibérément ciblé et tué cinq journalistes d’Al Jazeera et un reporter indépendant, les accusant sans en apporter la preuve de « terrorisme ». Lundi 25 août, la chaîne qatarienne mais aussi Associated Press, Reuters et NBC ont appris, « dévastés » et « choqués », la mort de cinq de leurs collaborateurs, tués par une frappe israélienne sur un hôpital du sud de Gaza. 

Depuis fin juillet, le gouvernement français a suspendu les évacuations de Palestiniens de Gaza vers la France, sans exception.

Nos collègues gazaouis sont nos voix et nos oreilles depuis plus de 18 mois. Sans eux nous ne pourrions pas témoigner de l’ampleur de la tragédie humanitaire qui se joue actuellement au Proche-Orient. Ce sont nos collègues et nos amis. 

Nous refusons qu’ils viennent s’ajouter à la liste des plus de 200 journalistes palestiniens qui ont péri depuis l’attaque terroriste du 7 octobre 2023 et le début de l’offensive israélienne. Nous supplions la France de reprendre les évacuations et de les accueillir. Et nous demandons à nouveau à la communauté internationale qu’elle exige d’Israël d’ouvrir Gaza à la presse étrangère.

La Société des Journalistes de RFI
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fdbgy.bsky.social
Tribune : « Ce travail (celui de France Médias Monde) est d’autant plus vital qu’il s’adresse non seulement à un public mondial, mais également à celles et ceux que la république ne doit jamais perdre de vue : les Françaises et Français de l’étranger »
Réforme de l’audiovisuel public : ne sacrifions pas France Médias Monde
Vouloir intégrer France Médias Monde à la future holding affaiblira la voix de la France à l’étranger, alertent dans «Libération» les sénatrices Mathilde Olivier et Mélanie Vogel ainsi que l’administr...
www.liberation.fr
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julienchavanne.bsky.social
"Dans les prisons russes, la torture des Ukrainiens est une pratique institutionnalisée". Sur @rfi.fr la Prix Nobel de la Paix @Oleksandra Matviichuk, directrice du Centre pour les libertés civiles en Ukraine, rapporte des témoignages terribles @danielvallot.bsky.social t.co/N8jbIIAMhv
https://www.rfi.fr/fr/europe/20250528-guerre-en-ukraine-dans-les-prisons-russes-la-torture-des-ukrainiens-est-une-pratique-institutionnalis%C3%A9e
t.co
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sdjrfi.bsky.social
Nos collègues gazaouis, nos voix et nos oreilles depuis 18 mois, sans qui nous ne pourrions pas témoigner de l’ampleur de la tragédie humanitaire qui se joue actuellement au Proche-Orient sont en danger de mort. Les autorités françaises doivent permettre leur évacuation. Tribune.
Les collaborateurs gazaouis des médias français sont en danger de mort, il faut les évacuer
Ils s’appellent Rami Al Meghari, Hassan Jaber, Kamal Abu Shabab, Fady Hossam... Depuis des années ils collaborent avec des médias français, ce sont nos collègues, nos amis. Sans eux, Gaza serait un trou noir de l’information. Depuis plus de 18 mois, les journalistes palestiniens sont les yeux et les oreilles de nos rédactions. Ils vous  informent sur l’horreur en cours dans le territoire, alors que le gouvernement israélien a constamment entravé la couverture de la guerre par la presse internationale en lui interdisant l’accès à la bande de Gaza. Sans eux, nous n’aurions pas pu recueillir les témoignages des survivants, documenter les destructions des hôpitaux, suivre les déplacements incessants des habitants ni comprendre l’ampleur de la tragédie humanitaire qui se joue actuellement au Proche-Orient.

Aujourd’hui, alors que le gouvernement de Benjamin Netanyahou veut prendre le contrôle de toute la bande de Gaza, nos collègues et leurs familles sont en danger de mort. Rami Al Meghari, s’est fait tirer dessus alors qu’il rentrait de reportage en voiture. Sa fille a miraculeusement survécu à un bombardement. Fadi Hossam et sa famille ont survécu à une frappe à Khan Younès. La maison de Kamal Abu Shabab dans le nord de la bande de Gaza a été détruite par une frappe israélienne, puis rasée par des bulldozers. Hassan Jaber, victime d’un AVC, ne peut pas être soigné, dans un territoire où le système de santé a été quasiment anéanti par Israël. Face au danger, et alors que le Président de la République vient de dénoncer « le niveau de souffrance intolérable » des civils gazaouis sans que la communauté internationale ne parvienne à imposer un cessez-le-feu, nous appelons les autorités françaises à tout mettre en œuvre pour que nos collaborateurs et leurs proches soient évacués et à les mettre hors de danger.
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rsf-interfr.bsky.social
« C’est la première fois que lorsqu’un journaliste est mort, on me demande si c’est un journaliste. »
Les principales organisations de défense des journalistes se sont réunies à l’opéra Bastille à Paris pour dénoncer le black-out de l’information et le sort réservé aux journalistes palestiniens. ⬇️
Mobilisation des journalistes à Paris pour dénoncer le sort réservé aux journalistes palestiniens.
YouTube video by Reporters sans frontières
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