Nathanaël Vittrant
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Sur les ondes de la @RFI, après des années à mettre le réveil très (trop) tôt, parle chiffres, éco et social au service @RFI_eco 💸 Membre de la société des journalistes de RFI
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nicolashenin.net
TRENTE DEUX journalistes tués.
En UNE frappe.
En d'autres temps, cela aurait fait les gros titres de tous les journaux.
Mais qui se préoccupe du Yémen ?
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sdjrfi.bsky.social
« Nous refusons que nos consœurs et confrères soient ainsi ciblés »
Avec d'autres SDJ nous apportons notre soutien sans faille à notre confrère de l'Humanité Thomas Lemahieu qui fait l'objet d'une tentative d'intimidation de la part du milliardaire d'extrême-droite Pierre-Edouard Stérin.
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kocobe.fr
Je vais monter un tribunal spécial pour les personnes chez YouTube qui ont décrété que le doublage automatique par IA n'était pas désactivable côté utilisateur.
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sdjrfi.bsky.social
Le nouveau schéma national des violences urbaines menace la liberté d’informer
Nous demandons à la @prefpolice.bsky.social et au ministère de l'Intérieur de garantir expressément la liberté de circulation et d’information des journalistes, y compris dans des contextes de violences urbaines.
Le 31 juillet dernier la préfecture de police et le ministère de l’Intérieur ont publié un «  schéma national des violences urbaines _ » présenté comme un guide pratique à l’usage des policiers pour répondre « _à toutes les situations de violences urbaines, jusqu’aux émeutes insurrectionnelles  ». Une phrase cachée dans un paragraphe consacré au «  cadre juridique des violences urbaines  » nous inquiète particulièrement : Il y est précisé que «  la prise en compte du statut des journalistes telle que consacrée par le schéma national du maintien de l’ordre, ne trouve pas à s’appliquer dans un contexte de violences urbaines  ».
Alors que le travail des journalistes dans la couverture des mouvements sociaux et de manifestations sous toutes leurs formes est déjà de plus en plus difficile, y compris parfois du fait des forces de l’ordre, cette phrase grave dans le marbre la possibilité pour les policiers d’entraver le travail de la presse, en remettant en cause la protection dont doivent profiter les journalistes.
Quatre ans après avoir tenté d’empêcher les journalistes de filmer le travail des policiers via un article de la loi dite de sécurité globale, cette nouvelle menace sur la liberté d’informer est inadmissible. A quelques jours d’un mouvement social dont on ignore encore l’ampleur, nous, sociétés des journalistes, demandons à la préfecture de police et au ministère de l’Intérieur de revenir sur cette formule et de garantir expressément et sans ambiguïté la liberté de circulation et d’information des journalistes, y compris dans des contextes de violences urbaines. 

La SDJ de l’AFP, La SDJ d’Arrêt sur images, La SDJ d’Arte, La SDJ de BFMTV, La SDJ de Capital, La SDJ de Challenges, La SDJ des Echos, La SDJ du Figaro, La SDJ de France 3 Rédaction Nationale, La SDJ de France 24, La SDJ de France Télévisions Rédaction Nationale, La SDJ de franceinfo numérique, La SDJ de franceinfo TV, La société des Personnels de l’Humanité, La SDJ de Konbini, La SDR de La Vie, La SDJ de LCI, La Société des rédacteurs du Monde, La Société des journalistes et du personnel de Libération, La SDJ de Mediapart, La SDJ du Parisien - Aujourd'hui en France, La SDJ de Premières Lignes TV, La SDJ de Public Sénat, La SDJ de Radio France, La SDJ de Radio France Internationale, La SDJ de Sept à Huit, La SDJ de TF1, La SDJ de TV5MONDE, La SDJ de Télérama
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smorvansmith.bsky.social
Cela ouvre la porte à un usage dérogatoire à peu près dans toutes les manifestations. Et pose la question : Un journaliste est-il interdit d’avoir accès à certaines zones en France ? Certaines zones qui sont sur la voie publique, quand même. Pour nous c’est une grave attente à la liberté d’informer.
« Violences urbaines » : en douce, le ministère de l’Intérieur interdit les journalistes en manifestation - L'Humanité
Le ministère de l’Intérieur vient de sortir son « Schéma national des violences urbaines », véritable mode d’emploi d’action-réaction des forces de l’ordre durant émeutes....
www.humanite.fr
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smorvansmith.bsky.social
Le nouveau dispositif précise en effet que « la prise en compte du statut des journalistes (…) ne trouve pas à s’appliquer dans un contexte de violences urbaines ». De quoi inquiéter sur l’exercice du métier dans des conditions déjà très difficiles. Sans contre-pouvoir, que fera la police ?
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smorvansmith.bsky.social
Incroyable mais vrai. La police nationale et le ministère de l’Interieur ont publié un « schéma national des violences urbaines » qui porte atteinte au droit d’informer en remettant en cause la liberté des journalistes de circuler librement, le droit à protection ou celui de prendre des images
Illustration photo policier pris de dos devant un incendie, représentant les violences urbaines Extrait de ce dispositif : « la prise en compte du statut des journalistes (…) ne trouve pas à s’appliquer dans un contexte de violences urbaines »
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sdjrfi.bsky.social
« Au rythme où l'armée israélienne tue les journalistes dans la bande de Gaza, il n'y aura bientôt plus personne pour vous informer ».
La SDJ @rfi.fr s'associe à l'initiative de @rsf.org et Avaaz en défense des journalistes palestiniens ciblés par Israël.
Nous, sociétés des journalistes, nous joignons à la mobilisation internationale initiée par 
Reporters sans frontières (RSF), Avaaz et le “Committee to Protect journalists” (CPJ) en 
solidarité avec nos confrères et consœurs journalistes palestiniens de la bande de Gaza. 
Le 25 août encore, cinq journalistes ont été tués par l'armée israélienne lors d'un double 
bombardement sur la zone de l'hôpital Nasser, à Khan Younès. 
Dans la nuit du 10 au 11 août, l’armée israélienne a tué six journalistes dans une frappe 
ciblée et revendiquée contre le correspondant d’Al-Jazeera, Anas al-Sharif. 
Au total, ce sont 220 journalistes qui ont été tués par l'armée israélienne depuis la terrible 
attaque du 7 octobre 2023, selon RSF. Bon nombre d’entre eux ont été tués dans l’exercice 
de leur fonction. 
Avec leur mort, c'est la liberté de la presse que l'on assassine et c’est la réalité des 
Palestiniens, vivant sous les bombardements et menacés par la famine, qui est réduite au 
silence. 
Ensemble, nous dénonçons avec la plus grande fermeté ces meurtres et ces assassinats par 
l’armée israélienne dans la bande de Gaza.  
Nous dénonçons également les campagnes systématiques de décrédibilisation et de 
délégitimation du travail de nos confrères gazaouis. Ces professionnels de l'information, qui 
risquent leur vie quotidiennement pour exercer leur métier dans des conditions extrêmes, 
méritent notre respect et notre soutien, non notre suspicion. Nous, sociétés des journalistes, demandons à nos dirigeants de faire pression sur le 
gouvernement israélien afin de faire cesser les crimes de l'armée israélienne contre 
les journalistes palestiniens. À quelques jours de l'ouverture de la 80e Assemblée générale 
des Nations Unies, il est urgent d'agir. 
Nous demandons aux autorités israéliennes qu'elles permettent enfin un accès 
indépendant aux journalistes internationaux à la bande de Gaza et sans la supervision ni 
le contrôle de  l’armée israélienne. Nous le répétons : cette restriction constitue une entrave 
majeure au droit à l'information et à la liberté de la presse.  
Nous demandons la reprise immédiate par les autorités françaises des évacuations de 
nos confrères et consoeurs palestiniens qui le souhaitent, aujourd'hui menacés de mort, 
par la famine et par les bombardements. 
Notre profession est attaquée. Notre devoir d'informer est bafoué. Notre solidarité avec nos 
confrères et consœurs palestiniens est totale. 
Nous déplorons enfin le sort des millions de civils Palestiniens, qui vivent sous la menace 
permanente des tirs de l'armée israélienne et de la faim depuis près de deux ans. Nous 
n'oublions pas le sort incertain des otages israéliens, captifs depuis le 7 octobre.
nathanaelvittrant.bsky.social
Communiqué de la @sdjrfi.bsky.social : nous supplions le gouvernement français de reprendre les évacuations de nos collaborateurs gazaouis, plus que jamais en danger de mort
sdjrfi.bsky.social
Nos collaborateurs à Gaza sont toujours en danger de mort, nous supplions la France de les évacuer

Ce sont nos collègues et nos amis. Nous refusons qu’ils viennent s’ajouter à la liste des plus de 200 journalistes palestiniens tués depuis le 7 octobre 2023.
Paris, le 26 août 2025

Nos collaborateurs à Gaza sont toujours en danger de mort, nous supplions la France de les évacuer

Fin mai dernier, nous avions publié avec les sociétés de journalistes d’une vingtaine de médias français un appel à évacuer nos collaborateurs gazaouis et leurs familles. Depuis, une poignée d’entre eux seulement a pu quitter l’enclave assiégée. 

Entre-temps, l’ONU a officiellement déclaré l’état de famine à Gaza le 22 août. Elle concerne un demi-million de personnes. 

Cet été, Israël a délibérément ciblé et tué cinq journalistes d’Al Jazeera et un reporter indépendant, les accusant sans en apporter la preuve de « terrorisme ». Lundi 25 août, la chaîne qatarienne mais aussi Associated Press, Reuters et NBC ont appris, « dévastés » et « choqués », la mort de cinq de leurs collaborateurs, tués par une frappe israélienne sur un hôpital du sud de Gaza. 

Depuis fin juillet, le gouvernement français a suspendu les évacuations de Palestiniens de Gaza vers la France, sans exception.

Nos collègues gazaouis sont nos voix et nos oreilles depuis plus de 18 mois. Sans eux nous ne pourrions pas témoigner de l’ampleur de la tragédie humanitaire qui se joue actuellement au Proche-Orient. Ce sont nos collègues et nos amis. 

Nous refusons qu’ils viennent s’ajouter à la liste des plus de 200 journalistes palestiniens qui ont péri depuis l’attaque terroriste du 7 octobre 2023 et le début de l’offensive israélienne. Nous supplions la France de reprendre les évacuations et de les accueillir. Et nous demandons à nouveau à la communauté internationale qu’elle exige d’Israël d’ouvrir Gaza à la presse étrangère.

La Société des Journalistes de RFI
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sdjrfi.bsky.social
Communiqué des sociétés de journalistes dénonçant le refus
de La France insoumise d'accréditer un journaliste du Monde
à ses universités d'été.
Communiqué des sociétés de journalistes dénonçant le refus
de La France insoumise d'accréditer un journaliste du Monde
à ses universités d'été

Le refus de La France insoumise (LFI) d'accréditer Olivier Pérou,
journaliste au service politique du Monde chargé du suivi de la gauche, à ses
universités d'été organisées à Châteauneuf-sur-Isère (Drôme) du 21 au 24
août, est un coup de semonce pour toute notre profession. Il n'appartient pas
aux partis politiques de choisir les journalistes qui assistent à leurs réunions,
meetings, congrès, conférences de presse, universités d'été, etc.
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oscarlemaire.bsky.social
On va faire un petit jeu qui s'appelle: le journalisme. Donc après vérification des chiffres, figurez-vous qu'en 2024, la semaine où sont versées les allocation de rentrée constitue en réalité la 45ème semaine de l'année où les "consoles de jeux" se vendent le mieux en France. Ou la 7ème pire.
svenetitay.bsky.social
L'allocation de rentrée est l'occasion d'un redoutable contrôle social sur les pauvres, épisode 498 🙄

Avec des contre-vérités démenties par les faits. D'ailleurs, Blanquer compte encore les écrans plats chez Carrefour.
Faites plutôt des sciences économiques et sociales pour parler de la société 🤗
Déclaration d'un chroniqueur sur RMC affirmant qu'il y a un lien entre les ventes de console et le versement de l'allocation de rentrée scolaire sur la base de ce qui lui a dit un ami qui travaille dans un supermarché.
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leilama.bsky.social
The targeting of journalists must stop. Journalism is not a crime.
leilama.bsky.social
Our colleagues Al Jazeera reporters Anas al-Sharif & Mohammed Qraiqeh, & cameramen Ibrahim Zaher, Mohammed Noufal & Moamen Aliwa have been killed in a strike on a tent for journalists near Al Shifa hospital. They worked relentlessly through bombing & hunger to document this war. Please remember them
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vincentcoquaz.bsky.social
Communiqué de la SDJ de l'AFP à propos de ses journalistes à Gaza :
"Depuis que l’AFP a été fondée, nous avons perdu des journalistes dans des conflits, [...], mais aucun de nous n’a le souvenir d’avoir vu un collaborateur mourir de faim.
Nous refusons de les voir mourir."
Communiqué AFP Gaza
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sdjrfi.bsky.social
La Société des Journalistes de RFI salue la libération d'Olivier Monodji, notre correspondant au Tchad.
La Société des Journalistes de RFI salue la libération d'Olivier Monodji, notre correspondant au Tchad. 

La SDJ de RFI a appris avec soulagement la libération mardi soir d'Olivier Monodji, notre correspondant au Tchad. Nous nous réjouissons de le savoir à nouveau libre après une détention de plus de quatre mois malgré un dossier que ses avocats ont toujours qualifié de « vide ».

Nous appelons les autorités tchadiennes à défendre la liberté de la presse et à garantir les droits des journalistes.
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sdjrfi.bsky.social
Notre confrère Christophe Gleizes doit être libéré.

Nous, sociétés de journalistes, dénonçons avec la plus grande fermeté la condamnation de notre confrère Christophe Gleizes à sept années de prison ferme en Algérie. Cette décision constitue une atteinte inacceptable à la liberté de la presse.
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sdjradiofrance.bsky.social
L'investigation est un pilier du service public. A la radio, elle ne doit pas être menacée! Soutien à @investigationrf.bsky.social .
Lettre ouverte 👇
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nytimes.com
Zohran Mamdani stunned former Gov. Andrew Cuomo, who conceded the New York City mayoral primary race to the 33-year-old state lawmaker. trib.al/KfNebEQ
Zohran Mamdani is pictured speaking. Headline reads: "Mamdani Stuns Cuomo in New York Mayoral Primary." Photo credit: Scott Heins for The New York Times.