The Department of Political Science at the Université libre de Bruxelles (ULB) is hiring a doctoral researcher with a specialization in quantitative research (survey and experiments) for the project “...

How does culture feed into inequality? And the other way around? In Culture and Inequality, cultural sociologists from universities across the world explore these topics in-depth from various perspect...

We call on all trans-inclusive feminist academics and educators to sign this statement: ‘Not In Our Name’ We are non-trans feminist academics and educators. We write in support of trans rights, tran...

The RPRN stands in solidarity with trans and non-binary people and believes that it is the responsibility of researchers and academics to hold our institutions to account to defend trans equality and ...

Depuis une vingtaine d'années, les identitaires se sont installés dans le paysage de l'extrême droite, à côté du Front national devenu Rassemblement national (mais non sans liens). Ils jouent un rôle ...

2 De prime abord, un nouveau livre destiné à expliquer la crise de 2008 aux États-Unis semble voué à répéter des diagnostics maintes fois avancés. Pourtant, N. Fligstein parvient à développer une perspective originale pour analyser la crise et poser des questions nouvelles qui éclairent des éléments peu connus. La proposition théorique de l’ouvrage est de se départir d’une approche mono-causale de la crise pour adopter une perspective systémique. Les banques, qui ont été centrales dans l’avènement de la plus grande crise économique depuis la Grande dépression, doivent être appréhendées en tant que système intimement lié à l’État. Le corollaire de cette démarche est un propos très dense et techniquement ardu, mais c’est au prix de cette austérité que l’on peut adéquatement rendre compte de ce qu’il s’est passé en 2008.