VincentPaulF
banner
vincentpaulf.bsky.social
VincentPaulF
@vincentpaulf.bsky.social
But it's called love
And it's so uncool
It's called love
And somehow it's become unmentionable
"Ganja & Hess" (B. Gunn, 1973) : beau détournement arty, déstructuré, symboliste, sous influence du cinéma d'auteur européen - bide à l'origine, culte depuis - d'une commande de film de vampire à la sauce blaxpoitation. Le travail sur le son est superbe. Avec D. Jones bien connu des fans de Romero
December 6, 2025 at 9:15 AM
- Qu'attendez-vous de moi ?
- Que vous fassiez le ménage. Que vous nous débarrassiez des corbeaux et des rapaces.
- Vous voulez la révolution ?
- Non, je ne crois pas aux révolutions. Je suis humaniste.
- Mon pauvre... Il faudra donc vous habituer aux corbeaux et aux rapaces
December 4, 2025 at 7:35 PM
"Limbo" (B. Sharrock, 2020) : des demandeurs d'asile attendent leur sort dans un centre de rétention sur une île écossaise perdue. Très joli film qui commence sur un mode humoristique glacé à la Kaurismäki/Andersson pour s'en dégager peu à peu et laisser sourdre une émotion intense mais tenue
December 4, 2025 at 6:52 AM
December 2, 2025 at 4:40 PM
#CharacterActorsAppreciationWall : Victor McLaglen (1886-1959), formidable trogne d'ancien boxeur et lutteur de foire anglais rendu célèbre par Henry Hathaway mais surtout par John Ford (Fort Apache, La charge héroïque, Rio Grande, L'Homme tranquille, etc.)
December 2, 2025 at 6:56 AM
Oui, et un Chat(GPT ou non) qui ressemblera à ça
December 1, 2025 at 7:51 AM
M'en fous c'était très émouvant de revoir Humbert Balsan
November 30, 2025 at 9:20 AM
"Il était une fois en Anatolie" (Nuri Bilge Ceylan, 2011) : entre le conte (Tchekhov style) et Sergio Leone (La Turquie ce Far East), une très belle, lente et subtile méditation sur le crime, l'oubli et le pardon qui donne lieu et c'est bien et assez surprenant à d'innombrables exégèses sur la Toile
November 29, 2025 at 10:55 AM
Le plus mémorable ayant été la séquence lors de ma PMS où ils ont cru voir en moi une graine de leader et m'ont promu contre mon gré... avant de me dégrader publiquement en pleine nuit tel Dreyfus parce qu'en fait non je préférais aller fumer des bédos en cachette
November 25, 2025 at 3:37 PM
Ah ah a reference to "Operation petticoat" I presume ?
November 25, 2025 at 8:39 AM
Ras-le-cul de la sobriété, je veux en faire des caisses comme la comtesse polonaise Kuchinska (Lila Kedrova) dans "Le rideau déchiré" (un Hitch d'espionnage de très bonne tenue, sur Arte)
November 24, 2025 at 8:41 PM
"Laisse bronzer les cadavres" (H. Cattet & B. Forzani, 2017) : adaptation psyché hyper-maniérée d'un roman de Manchette, pas du tout ma came habituellement ce genre d'esbrouffe mais bien aimé la représentation de la Camarde sous forme d'une vestale nue sans visage qui pisse sur les macchabés
November 24, 2025 at 1:35 PM
"Voyage en Italie" (R. Rossellini, 1954) : formidable film né sur les débris d'un projet mort né et improvisé, ce qui terrifiait Sanders et le faisait pleurer dans sa chambre ; l'exhumation / révélation du couple de Pompéi est-elle ou non une incroyable coïncidence ? Cette scène est une merveille
November 22, 2025 at 9:09 AM
November 20, 2025 at 6:56 AM
Beaucoup mieux que "Life is sweet" : le coffret BBC avec 8 moyens-métrages et un shitload de courts, précieuses et hilarantes petites vignettes, que je recommande à tous les mordus de fiction brit, surtout de cette époque charnière 1973-1985 quand l'Angleterre n'était pas encore Coolbritannia
November 16, 2025 at 9:00 AM
November 15, 2025 at 9:37 AM
Ce que j'aime chez Katharine Hepburn c'est son énergie, son opiniâtreté incroyables qui font que si, au début du film, sa voix peu mélodique et rauque, sa silhouette osseuse et ses enthousiasmes de garçon manqué t'agacent, à la fin presque à chaque fois elle t'a gagné, convaincu, ému
November 15, 2025 at 8:51 AM
#CharacterActorsAprreciationWall Franklin Pangorn (1899-1958), inénarrable chez Hawks, Lubitsch, la Cava, Capra, etc., mélange incroyable de Patrick Macnee et de Stéphane Bern, avec d'incroyables bajoues de hamster
November 14, 2025 at 7:56 AM
- You know, I'm pretty glad I came to the Riviera

- It's a lovely place. Beautiful. But the class of people who come here gets worse every year. And this year we seem to have next year's crowd already
November 13, 2025 at 7:20 PM
"The human factor" (O. Preminger, 1979) : dernier film du maître, loin de ses chefs d'œuvre jazzy, un film d'espionnage a priori terne, sans action, mais illuminé par la grâce d'Iman, où l'émotion / amour (ce facteur humain) nous submerge peu à peu jusqu'au dernier plan qui nous laisse en suspens
November 13, 2025 at 7:21 AM
Bel angle d'ouverture de mâchoire mais encore un effort pour avoir celui du thylacine
November 12, 2025 at 10:22 AM
"Le Lac aux oies sauvages" (Diao Yi'nan, 2019) : la cavale d'un malfrat et d'une prostituée, peu importe l'intrigue, Dieu que ce film est beau, baigné de somptueuses couleurs nocturnes, presque comique parfois tant sa virtuosité est frénétique et traversée de rares éclairs de violence chorégraphiée
November 12, 2025 at 7:28 AM
"Limbo" (S. Cheang, 2021) : hier en le regardant j'ai tiqué sur tout ce qui m'énerve dans le genre (les clichés, le pathos, le grandiloquent) mais après la décantation nocturne je dois reconnaître que les scènes de poursuite / bagarre dans un HK de flotte et de cendres se gravent bien sur la rétine
November 11, 2025 at 8:58 AM
"Life is sweet" (M. Leigh, 1990) : loin d'être mon Leigh préféré (litote) mais derrière le côté gras, trash, Deschiens anglais, l'émotion perce parfois, par exemple lorsque le masque grimaçant de la fille anorexique se fissure - et super acteurs dont beaucoup joueront dans la saga Harry Potter ;)
November 10, 2025 at 3:58 PM
Ah ah une des jumelles insupportable et mal dans sa peau de "Life is sweet" est évidemment une fan des Smiths
November 10, 2025 at 1:34 PM