Le 13 novembre restera à jamais une blessure dans notre mémoire collective, mais aussi un rappel : celui de notre unité et de notre humanité. Notre République est une et indivisible.
Face au terrorisme, la France a choisi de rester debout.

(9/9)

Hommage aux milliers de Françaises et Français qui sont sortis le 14 novembre pour aller proposer de donner leur sang, pour aider les soignants à sauver des vies.

(8/9)

Hommage aussi à la BRI, aux policiers, aux gendarmes, aux soldats, aux secouristes, aux pompiers, aux soignants, à toutes celles et ceux qui ont agi sans compter, parfois au péril de leur vie.

(7/9)

Aujourd’hui, dix ans plus tard, je veux rendre hommage.
Hommage aux victimes, à leurs familles, à tous ceux qui ont perdu une part d’eux-mêmes ce soir-là.

(6/9)

Ils accomplirent ce soir-là la mission de l’armée : rester stable dans le chaos. Malgré la peur et la douleur, notre nation tenait encore debout.

(5/9)

À l’époque, j’avais déjà eu l’honneur de servir dans l’armée, au 13ᵉ bataillon de chasseurs alpins. Voir mes frères d’armes déployés dans les rues endeuillées m’a profondément marqué.

(4/9)

Ce hasard m’a donc amené dans ses bureaux, plutôt qu’à ce restaurant qui allait être une des cibles des terroristes.

(3/9)

Ce 13 novembre 2015, j’étais à Paris. Je devais dîner avec un ami au restaurant Le Cambodge, comme souvent le vendredi soir. Le hasard a voulu que cet ami, ce soir-là, fasse son pot de départ.

(2/9)

Demain, j’espère que ce même sens des responsabilités guidera chaque député européen lors du vote en faveur de la loi européenne sur le climat.

(7/7)

Nous avons trouvé un accord avec les héritiers de Konrad Adenauer, cette droite rationnelle qui sait que l’action climatique est vitale. Car quand l’enjeu est historique, nous devons nous hisser à la hauteur de l’histoire.

(6/7)

Mais face à la menace que représentent ceux qui célèbrent Donald Trump et Vladimir Poutine, nous avons fait ce que nous, sociaux-démocrates, faisons depuis des décennies : construire des compromis, tout en refusant la compromission.

(5/7)

Nous les sociaux-démocrates, avons plaidé en faveur d’une loi plus ambitieuse.

(4/7)

Un texte qui, s’il n’est pas parfait, constitue une étape importante.

(3/7)

Alors que l’Europe et les pays en voie de développement sont à la manœuvre pour construire un monde meilleur, nous sommes réunis au Parlement européen pour voter, demain, la loi européenne sur le climat.

(2/7)

Depuis des mois, la droite française s’attaque aux policiers de l’OFB, l’Office français de la biodiversité, qui fait respecter la loi, qui lutte contre les braconniers et les pollueurs.
LR a choisi son camp : notre maison brûle, et LR s’attaque à ceux qui nous protègent des pyromanes.

(2/2)

Ce que l'extrême-droite veut détruire, nous nous battons pour le préserver. Le programme LIFE est la preuve d'une Europe qui agit concrètement pour protéger le vivant, au service de la santé humaine.

(4/4)

Une bouffée d’air pour le climat, la biodiversité et nos territoires. Notamment nos outre-mer, car l’un de ces projets vise à sauver 15 espèces menacées d’extinction à La Réunion, en Polynésie française, en Guyane et en Nouvelle-Calédonie.

(3/4)

Créé par Jacques Delors en 1992, ce pilier de la politique environnementale européenne vient d'investir 223 millions d’euros pour soutenir 31 nouveaux projets.

(2/4)

En Europe ce 11 novembre, c'est aussi le jour de la liberté retrouvée pour la Pologne. Celui de l’indépendance, après plus d’un siècle d’effacement.

Deux histoires qui se croisent, deux peuples unis par leur amour de la liberté.
En ce jour de mémoire, je voulais aussi les saluer.

(2/2)