Lien vers l'étude :
publications.jrc.ec.europa.eu/repository/h...
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Bien entendu, la principale solution est tout simplement de réduire nos émissions de gaz à effet de serre. Le monde végétal a ses limites d'adaptations. Ne les dépassons pas. Il en va de soi.
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Autrement dit, la trajectoire dépend autant de nos choix de gestion forestière immédiats que de notre capacité à renforcer la résilience des forêts face aux crises climatiques à venir.
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Il est tout à fait possible d’atténuer (inverser ?) la tendance au déclin du puits de carbone forestier, en agissant simultanément sur les leviers contrôlables (gestion, exploitation, diversité des âges et des essences) et de mieux anticiper les facteurs durables liés au changement climatique.
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Même si, dans l’ensemble, l’état de nos forêts n’est pas encore catastrophique (et encore j'essaye de me rassurer), il serait dangereux de fermer les yeux sur la dégradation rapide de leur santé. Ce déclin, discret mais constant, NE DOIT SURTOUT PAS ETRE PRIS A LA LEGERE.
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En Europe centrale & orientale, des régions entières ne sont déjà plus des puits de carbone, conséquence directe du cumul des sécheresses, maladies, mortalités d’arbres et récoltes intensifiées. Autrement dit, nos forêts (nos boucliers climatiques) deviennent localement des sources de carbone.
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L’étude souligne un signal encore faible, mais extrêmement préoccupant : certaines forêts européennes commencent à émettre davantage de CO₂ qu’elles n’en absorbent.
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En cause : une exploitation forestière en hausse, mais surtout la multiplication des événements climatiques extrêmes (sécheresses, canicules, incendies) qui fragilisent les arbres, freinent leur croissance, favorisent les maladies et augmentent leur mortalité (Migliavacca et al., Nature, 2025).
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Aujourd'hui, on a relevé jusqu'à 27.9°C à Bagnères de Luchon (record mensuel) et même 25,7°C dans la Creuse (record mensuel également) ! Biarritz bat son record mensuel de la matinée la plus douce avec au minimum de la journée... 20.4°C !

Ce n'est pas ce qu'indique l'IGN. La forêt ne s'adapte pas seule à un changement climatique aussi rapide. Le problème est la rapidité.

Tout à fait : bsky.app/profile/serg...

Pardon :
"Nos forêts ne se renouvellent plus" à changer par "nos forêts ne se renouvellent plus ou moins vite".

Données vérifiables, accessibles, gratuites et publiques : observatoire.foret.gouv.fr/mon-territoi...

Le dépérissement s’accélère sous l’effet du changement climatique, amplifié par la répétition des sécheresses et des canicules.

Depuis 2015, le volume de bois mort a presque doublé. Nos forêts ne se renouvellent plus : elles accumulent en silence des arbres morts.
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Les 25 et 26 octobre 2025 ont même été les journées les plus chaudes jamais enregistrées sur Terre, et ce sans aucun renfort cyclique naturel comme El Niño.

À l’échelle mondiale, l’année 2025 confirme la trajectoire exceptionnelle déjà observée en 2023 et 2024, s’écartant nettement de la progression du réchauffement que l’on constatait jusqu’en 2022.
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...à hauteur des rafales de vent en rafale les + extrêmes jamais mesurées en Atlantique (295km/h sur 1min au landfall, 320km/h en rafale en surface & 405km/h à faible altitude).

#Melissa pourrait être, tout simplement, le + puissant cyclone à toucher terre en Atlantique. Bulletin NHC édifiant 👇
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...à hauteur des rafales de vent en rafale les + extrêmes jamais mesurées en Atlantique (295km/h sur 1min au landfall, 320km/h en rafale en surface et 405km/h à faible altitude).

#Melissa pourrait être, tout simplement, le + puissant cyclone à toucher terre en Atlantique. Bulletin du NHC édifiant 👇

C'est un scénario digne de Hollywood, on ne peut pas faire pire.
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