« Le refus de se conformer par principe est un point de départ simple mais puissant. Lorsque les gouvernements exigent des professionnel·le·s de la santé mentale qu’iels trahissent leur éthique, celleux-ci peuvent décider de simplement dire « non ».» Lisez la suite en cliquant sur le lien ci-haut!

«[...] le fait est que les soins en santé mentale, en tant que discipline, n’ont jamais vraiment réussi à résoudre la tension qui marque leur double rôle, à la fois de soutien quasi médical et de contrôle social [...]. »

Les professionnel•le•s de la santé mentale qui travaillent avec des personnes LGBTQ2S+ sont contraint•e•s de se demander… : «Que signifie pratiquer des “soins de santé mentale queer” dans un système qui, historiquement, a été instrumentalisé comme une arme contre les communautés queer et trans?»

“Principled non-compliance is a simple yet profound place to start. Where governments demand that mental health professionals betray their ethics, professionals may decide to just say ‘no.’” Read on at the link above, and stay tuned for Kai’s future instalments!

“[...] the fact is that mental healthcare as a discipline has never really managed to resolve the tension between its dual roles as a form of quasi-medical support and a form of social control [...].”

In today’s increasingly alarmist climate, mental health practitioners working with LGBTQ2S+ people “will be forced to ask themselves [...]: “What does it mean to practice ‘queer mental healthcare’ within a system that has historically been weaponized against queer and trans communities?””

Le Centre de recherche communautaire (CBRC) promeut la santé des personnes de diverses sexualités et genres par la recherche et le développement d’interventions: fr.cbrc.net

Cette série en huit parties répondra aux questions de la communauté que vous mourez d’envie de poser (sans jamais oser le faire!) et sera publiée mensuellement sur notre TikTok, YouTube et Instagram!

Community-Based Research Centre (CBRC) promotes the health of people of diverse sexualities and genders through research and intervention development: www.cbrc.net

This eight-part series in partnership with the Community-Based Research Centre will answer community-sourced questions you’ve been dying to ask (but were too shy to!), and will be published monthly on our TikTok, YouTube and Instagram!

«Le corps subit l'entropie, il se dégrade», prévient Alexander. «On n'est jeune et autonome que pendant une courte période de notre vie. »

, explique [Alexander, pseudonyme, un aîné autochtone gay et handicapé]. [..] Il y a pourtant tant à apprendre des ainé·e·s queer en situation de handicap, dit-il. Ces savoirs pourraient aider les personnes queer et trans non handicapées à mieux affronter le processus de vieillissement.

«Avant la colonisation, les personnes handicapées et aînées étaient célébrées pour la sagesse unique qu'elles pouvaient partager. Mais aujourd'hui, la peur de vieillir au sein de la communauté a conduit les personnes queer à perdre le contact avec leurs aîné·e·s»

'Pourquoi on devrait parler d'incontinence dans la chambre à coucher' par Dev Ramsawakh, initialement publié sur Xtra le 10 février 2022, est maintenant disponible sur Script:
www.script.health/fr/article/i...

“There is so much knowledge to learn from disabled and elder queers though, he says. Those teachings could prepare non-disabled queer and trans people to better face the process of aging. ‘Your body goes through entropy, it falls apart. You are only young and abled for a short time of your life.'”

“Before colonization, [Alexander, pseudonym, a gay disabled First Nations senior] says, disabled people and elders were celebrated for the unique wisdom they could share. But today, a fear of aging in the community has caused queer folks to lose touch with elders.”

'Why we should talk openly about incontinence in the bedroom' by Dev Ramsawakh, originally posted on Xtra on February 10, 2022, is now available on Script:
www.script.health/article/sex-...