Bah c'est un avis gratuit, je constate simplement qu'il n'en parle que très peu voire jamais dans ce qu'il écrit, alors qu'il se répand sur toute la musique de ses contemporains qui l'intéressait beaucoup. Je suis preneur de toute info ou document allant dans l'autre sens !

C'est possible mais si oui, ça n'apparaît pas dans ses écrits. Je ne pense pas que Ravel ait été très sensible à la musique ancienne... Par exemple, la période autour du Tombeau de Couperin : il parle de la guerre et de ses connaissances mortes au combat, pas de la musique de Couperin ou du temps.

J'ai parcouru les échanges avec Boulanger, Poulenc et Falla : jamais question de leurs concertos. (Vite, un ravélien !)

Possible, oui. Autant que je me souvienne, dans ses écrits ou lettres il n'est quasiment pas question de musique ancienne, alors qu'il évoque très souvent la musique de son temps (y compris des choses loin de son esthétique, atonales ou dodécaphoniques) dont il était friand.

J'avais lu le gros pavé il y a quelques années, ça ne me disait rien. J'ai effectivement vérifié dans l'index.

Il est probable que non : pas une seule mention de clavecin ni de Pleyel dans sa correspondance ou dans ses écrits.

Mais mais ! Vos présentations sont passionnantes.

Beethoven, Bartok, Haydn : que des merveilles. Et ceux de Mendelssohn !
De grands plaisirs vous attendent.

Rue de Lyon, Paris XIIe.

Deux images, un sens du rythme certain, de l'humour : bien !

Les six livres terminés en novembre :
Pastoureau, L'Âne – Une histoire culturelle
Tremblay, À toi pour toujours, ta Marie-Lou
Wojciechowski, Loin de Paris
Pouchet, Voyage voyage
Sente/Van Dongen, La Menace atlante
Lupano/Chemineau, Le mètre des Caraïbes

Ah oui, un très bon livre.

Lorsque j'étais enfant, le couteau électrique pour la charcuterie était un truc de Suisse et de grands-parents. Eux et toutes leurs connaissances et amis suisses en avaient un, ainsi qu'une (non moins) indispensable disqueuse pour faire des tranches de rosette ou de salami. J'adorais m'en servir.

On m'a dit un jour qu'à l'écrit j'avais un style de notaire.

Avec cet article défini qui ajoute à la prétention et au vulgaire.