📢 We urge MUFG—along with other Equator Principles signatories—to rule out financing Papua LNG, and we call on the Equator Principles Limited to launch an investigation into our concerns and to alert its signatories of the complaint.

🚨 But Japanese mega-bank MUFG, which has signed the Equator Principles, is reported to be acting as financial advisor and seeking to raise finance for the project, including from other Equator Principles signatories.

Several Equator Principles banks have already ruled out financing Papua LNG including its previous financial advisor @credit-agricole.bsky.social. The French bank stated it would not finance it following extensive civil society mobilization regarding its climate, biodiversity & human rights impacts.

❌ The project threatens 100 species that are yet to be studied, meaning we could lose species we don't even know yet. It could greatly impact one of the world’s 100 most at-risk species, the Bulmer’s Fruit Bat, of which there are only 160 known adults left.

🔎 www.iucnredlist.org/species/1933...

❌ Papua LNG will affect +12,700 Indigenous peoples and potentially displace an entire community. Yet we have been unable to find any community information materials that clearly explain the project to them, its risks or impacts, or their rights under human rights law and international standards.

👉 Our complaint outlines grave concerns about Papua LNG's apparent lack of adherence to six out of 10 of the Equator Principles, ranging from a lack of verifiable evidence of communities’ Free, Prior and Informed Consent to severe biodiversity risks.

🔗 Sources :

👉 L'article du @financialtimes.com : www.ft.com/content/b2ea...

👉 L'annonce du gouvernement britannique : questions-statements.parliament.uk/written-stat...

Mais cette situation n’a rien d’une fatalité !

📢 Nous appelons les décideurs du Groupe BPCE à mettre en place au niveau du groupe une politique robuste et alignée avec les impératifs climatiques, qui exclut tout soutien financier aux entreprises engagées dans l’expansion du pétrole et du gaz.

Le Groupe BPCE est le seul grand groupe bancaire français à toujours financer directement de nouveaux projets gaziers.

A l’inverse, BNP Paribas et Crédit Agricole ont cessé de soutenir les émissions obligataires classiques des producteurs de pétrole et de gaz et ont réduit leurs prêts au secteur.

En effet, l’absence d’une politique d’exclusion des énergies fossiles robuste à l’échelle du Groupe BPCE a permis à sa banque d’investissement, Natixis CIB d’augmenter de 130 % ses financements à l’expansion pétro-gazière entre 2023 et 2024.

📢 Si l’adoption d’une cible de ratio est un signal positif, il est essentiel de le rendre crédible. Pour cela, nous appelons @credit-agricole.bsky.social et @group.bnpparibas à y compter tous les financements aux énergies fossiles, sur l’ensemble de leur chaîne de valeur.

Un air de déjà-vu : en 2024, BNP Paribas dévoilait un ratio de financement dont la méthodologie présente des écueils similaires. Les financements alloués via les obligations n’y sont pas comptés et le périmètre des énergies fossiles se limite à l’upstream + au raffinage pour le secteur pétro-gazier.