[7/7] Et interroge (grandement) sur la suite. Restez connecté à @rue89lyon.fr pour suivre tout ça. Et bonne journée !

[6/7] Le fait que celui-ci soit annulé par l'État, six ans après cette attaque, à la suite d'assauts médiatiques de l'extrême droite et Wauquiez (maintenant prêt à une alliance avec le RN) en dit beaucoup sur la situation politique actuelle.

[5/7] Certes, l'Antifa Fest est coutumier des messages provoc' et a une tendance à jouer avec le feu. Mais, la seule violence qu'il a connue fut une présumée attaque, en 2019, de l'extrême droite radicale sur le CCO en amont du festival.

[4/7] Au vu des éléments présentés, il n'est pas dit que cet arrêté résiste au recours déposé par l'association organisatrice. Mais, une question subsiste : pourquoi avoir interdit un événement qui se tenait, depuis près de 15 ans, à Lyon, sans susciter de troubles à l'ordre public ?

[3/7] Sans fléchir, la préfète parle de risques de "trouble des consciences". Une formulation qui m'a, je dois dire, laissé quoi. Elle reproche plus généralement des textes anti-police et même "antisystème". Bon...

[2/7] L'arrêté se base, en grande partie, sur les textes d'artistes… Qui tournent de partout en France. Comme le montre @seniorcoconut.bsky.social dans ce papier pour @rue89lyon.fr, certains textes sont même dits "anti-flic" alors qu'ils sont en réalité "anti-corruption". Gloups.

[2/2] Pour rappel : l'article paru en avril à ce sujet. En accès libre dans le cadre de notre calendrier de l'avent" (mais n'hésitez pas à vous abonner pour autant ;-)) ⤵

[4/4] Plus que jamais, il faut que les partis jouent le jeu du débat et du pluralisme de la presse. Cela s'applique à tous, à commencer au parti d'extrême droite.

[3/4] On ne peut pas imaginer de tels agissements de la part d'un parti qui veut prendre la mairie ou la Métropole de Lyon. Quelle serait la prochaine étape ?
Le RN choisira-t-il les "bons" journalistes, ayant la chance de pouvoir couvrir les conseils métropolitains ? Municipaux ?

[2/4] Une obstruction qui n'est pas une première. En 2024, des journalistes de @mediacites.fr et @tribunedelyon.fr s'étaient fait virer d'une soirée électorale, à laquelle ils n'étaient pas les bienvenus.

Pour rappel, voici le premier volet de l'enquête consacrée au Simone. Son histoire montre également une évolution idéologique chez certains catholiques. À prendre en compte ⤵

L'article n'est pas exhaustif, mais il revient, quand même, sur une bonne partie des promesses des écologistes.
Au passage : je vous mets un lien pour vous abonner à "Mairie à tout prix" : la lettre-info pour suivre les municipales. C'est par ici ⤵

[2/2] Le candidat, se voulant "social", met de côté une mesure qui semblait commencer à porter ses fruits... et fait un pas du côté de propriétaires, vent debout contre la mesure.
@renaudpayre.bsky.social @anaisbelouassa.bsky.social