le documentaire de Michael Kirk pour Frontline termine sur le nœud gordien de ce grand chamboulement : quid du face-à-face inévitable entre Trump et une cour suprême majoritairement conservatrice (mais intrinsèquement respectueuse de l'État de droit)

exemple : la ministre de la Justice, les vice-ministres et conseiller juridiques sont tous les anciens avocats de Donald Trump (Bondi, Blanche, Bove, Sauer).

En 2017 le policier a été condamné en appel par les assises de Paris à 5 ans de prison avec sursis et 5 ans d’interdiction de port d’arme pour «violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner». Il n'a pas été sanctionné disciplinairement.

Tout à fait

"Les 10 minutes qui suivent" sont celles que j'ai enregistré à la sortie de la salle d'audience.

Un brut qui résume avec intensité l'impasse des rapports entre la police et la population dans les quartiers.

on.soundcloud.com/kIgG9aJDJytN...

Le policier acquitté a été évacué dès l’annonce du verdict par une porte arrière.

A l’annonce du verdict, prononcé après six heures de délibérations, les cris de « la police tue et la justice acquitte » ont retenti dans la salle d’audience

L’avocat général, qui était opposé à cet argument, va demander au parquet de faire appel de l’acquittement.

Le policier était jugé pour avoir tué d’une balle dans le dos un malfaiteur, Amine Bentounsi, en avril 2012, à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis). Damien Saboudjian avait toujours affirmé avoir agi en état de légitime défense.

le contexte / le policier Damien Saboundjian a été acquitté le 15 janvier 2016 par la cour d’assises de Bobigny du chef de « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner »

dans ce brut que j'avais oublié, "les 10 minutes qui suivent l'acquittement d'un policier devant les assises de Bobigny" en 2016