Amine, malgré la douleur immense de la perte de Mehdi, et malgré la mort tragique de son autre frère, Brahim, il y a quelques années, continue de se battre.

Pour mieux comprendre ce combat, je vous invite vivement à lire Marseille, essuie tes larmes, écrit par Amine.

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Nous demandons le renforcement des services publics, une présence réelle de l’Etat. Nous refusons d’assister, impuissants, à un nouvel assasinat comme celui de Mehdi. Pour sa famille, pour toutes les familles frappées par cette violence, nous devons nous lever.
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Aujourd’hui, nous devons non seulement nous rassembler, mais aussi exiger que l’État agisse enfin. Qu’il cesse de détourner le regard, comme si certains quartiers n’existaient pas, comme si les vies qui y sont brisées ne comptaient pas.

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Mehdi a été lâchement assassiné jeudi 13 novembre, parce que son frère et sa famille ont eu le courage de s’engager, notamment au sein de l’association Conscience, contre l’emprise du narco-trafic à Marseille et partout en France.

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N’oublions pas ceux qui sont coupables d’avoir soutenu ce coup d’État : l’Arabie saoudite, l’Égypte et les Émirats arabes unis, qui fournissent du matériel militaire servant à tuer des civils.

Il nous faut également exiger de la France, de l’UE et de l’ONU de briser le silence.

#soudan

Depuis plus d’une semaine, d’abord à El-Fasher puis désormais dans de nombreuses villes, les pires atrocités se déroulent, en plus du manque d’eau et de nourriture. Aujourd’hui, on compte environ 14 millions de déplacés et plus de la moitié de la population souffrant de la famine.

Il ne nous reste plus qu’à prendre exemple en France : une gauche unie.

On a pu échanger avec Isabelle Assih, avec les acteurs.ices des mobilités sur les projets de la mairie en matière de mobilités :
- voie verte
- création de pistes cyclables sur les quais
- multiplication de places de stationnement pour les vélos,…