Quand les gens cessent de vouloir comprendre, ils se tournent vers ceux qui prétendent avoir des réponses simples à des problèmes complexes et c’est précisément ce que promettent les idéologies d’extrême droite.

La sur‑simplification du monde n’est pas neutre : elle ouvre la voie au fascisme. En réduisant la complexité de la réalité à des slogans faciles, on fabrique un terrain propice aux discours extrémistes.

Le problème de la société actuelle, ce n’est pas le manque d’informations, de livres ou d’explications, mais le manque d’envie de comprendre. Les gens veulent qu’on leur simplifie un monde qui se montre de plus en plus complexe. Et les médias, eux, ne font souvent que sursimplifier ce monde.

avec une touche d'affabulation psychotique

Ses conseillers ne peuvent pas s'appuyer sur le logos de Bardella, ils misent tout sur le ethos et le pathos.

Il y a de fortes suspicions que certains éditorialistes sont aussi des grosses cuves à pisse.

🙂