Mais dans l'école telle qu'elle dysfonctionne, toujours plus marchandisée et corsetée par une néolibéralisme débridé ; toutes les mesures qui iront dans le sens de moins de moins de présence à l'école seront en faveur des enfants des classes dominantes. Bonnéry a raison de le rappeler

Car les savoirs des enfants des classes populaires seraient légitimés dans un autre curriculum qui leur serait moins étranger. Alors on pourrait réfléchir aux rythmes car tous les enfants seraient à égalité face aux apprentissages (oui on rêve, il faut bien ...)

À quoi j'ajoute d'autres ras : On est toujours dans le même dilemme : de qui et pourquoi viennent les propositions ? Il est clair que dans une école réparée et refondée de fond en comble - et pour commencer moins focalisée sur la culture savante- légitime, toutes ces propositions auraient un sens.

À lire par ici: lundi.am/A-42-ans-de-...

C’est le jour où on peut avoir une pensée pour Janusz Korczak qui est à l’origine de la déclaration des droits de l’enfant et qui a choisi de mourir avec eux à Treblinka en 1942