Réveillé au milieu d'une "importante sieste policière", le patron de l'UPAC s'est dit "indigné" par la demande et jure que son unité est toujours "pertinente".
Réveillé au milieu d'une "importante sieste policière", le patron de l'UPAC s'est dit "indigné" par la demande et jure que son unité est toujours "pertinente".