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💤 Maintenant, passage en afk pour votre humble hôte CM des live-conférences, @jojotoutcour.bsky.social !
May 4, 2025 at 4:38 PM
👏 Et c'est ainsi que s'achève notre dernière conférence de cette #Jonetsu7th avec cette passionnante et très instructive conférence, portée par Paps et YiHa de l’association @lesintervalles.bsky.social, que nous remercions chaleureusement !
May 4, 2025 at 4:27 PM
Si vous souhaitez découvrir des œuvres qui sortent des stéréotypes, impossible de ne pas finir avec cette belle sélection d'œuvres de tout médium confondu, sélectionnées avec soin par @lesintervalles.bsky.social !
May 4, 2025 at 4:25 PM
La posture (posing) et les démarches des protagonistes jouent aussi un rôle majeur dans tout ça. Et si la diversité des postures s'invitait au final ?
May 4, 2025 at 4:24 PM
Il existe également ce que l'on appelle le Tokénisme. Un procédé souvent pensé en but marketing de diversité et de représentation. Donnant naissance à des personnages non-blancs sans background ou backstory... Des personnages neutres aussi bien dans le chara-design, l'animation et l'écriture.
May 4, 2025 at 4:22 PM
Les protagonistes masculins sont aussi touchés, avec le dimorphisme genré ; le troll / colosse comme mari.
May 4, 2025 at 4:18 PM
Ce dernier point sur l'élément, put être appelé l'accessoirisassions féminine, visible sur les exemples suivants. C'est également visible dans le monde animal, avec anthropomorphisme hyper genré (des personnages féminins animaux avec des poitrines humaines, accessoirisassions, etc.)
May 4, 2025 at 4:16 PM
On retrouve aussi la diversité morphologique... Ou le chara-design masculin est toujours varié (simple ou colosse, point.) et le personnage féminin toujours sexualisé dans sa morphologie (chara-design en sablier, formes visibles, éléments roses ou autre...)
May 4, 2025 at 4:13 PM
Il existe des exemples de trope qui devient des stéréotypes : celui du garçon blanc, souvent le héro, entouré d'une fille (souvent la sœur du héros ou la love interest) et le sidekick, a.k.a. le "gros rigolo" non blanc souvent le meilleur ami sujet aux moqueries.
May 4, 2025 at 4:08 PM
C'est également un raccourci paresseux au service d'un imaginaire collectif appauvri, fonctionnant sur des caractérisations déshumanisantes, réduisant ainsi des communautés et des personnes à un nombre de caractéristiques très limités et souvent niaiseux.
May 4, 2025 at 4:03 PM
- Et le stéréotype est l'accentuation d'un archétype et en est réduit à cet archétype initial accentué, sans les considérer comme des personnes à part entières. Hélas, impact le public (jeunesse comme adulte), qui en répète les poncifs inconsciemment sur d'autres personnes ; Un impact négatif.
May 4, 2025 at 4:00 PM
Il faut savoir différencier stéréotype et archétype :

- L'archétype est un modèle (une base) sur laquelle construire une œuvre (visuellement et narrativement), qui fait appel à une culture et un imaginaire collectif partagé.
May 4, 2025 at 3:55 PM
Les personnages racisés ont également commencés à devenir plus récurrents dès les années 2000, notamment dans les séries jeunesse et au-delà depuis 2010. Nous pouvons parler de Craig de la crique (2018) chez Cartoon Network.
May 4, 2025 at 3:50 PM
Au USA, il a fallu attendre les années 2010 pour avoir des représentations de personnages LGBTQ+ qui ne soient pas des objets de moqueries ; et accompagnés de plus d'expressions de genre et de romances queer : Steven Universe (2013) @ Cartoon Network ou encore Luz à Osville (2020) @ Disney.
May 4, 2025 at 3:47 PM
En comparaison, nous retrouvons dans l'animation américaine et japonaise des représentations LGBTQ+ depuis les années 80, dans des animes où la sexualisation n'est pas sujet central. Bien sûr, il reste encore du travail pour les représentations raciales (peu nombreux et caricaturales).
May 4, 2025 at 3:40 PM
Promis, le CM fait au mieux pour bien retranscrire ✨
May 4, 2025 at 3:36 PM
Ce n'est pas un test parfait, mais une base de réflexion. Mais bien sûr, remplir ces critères ne signifie pas forcément être une œuvre féministe.
May 4, 2025 at 3:35 PM
Ce critère repose d'ailleurs sur trois critères :

- Il doit y avoir au moins deux femmes nommées dans l'œuvre,
- Elles parlent ensemble,
- Et parlent de quelque chose qui est sans rapport avec un homme.
May 4, 2025 at 3:33 PM
Il existe d'ailleurs, Le test de Bechdel (Initialement une plaisanterie dans la BD "Lesbiennes à suivre" d'Alison Bechdel, devenu un outil pour déterminer de la qualité des représentations féminines dans des œuvres de cinéma ou TV.
May 4, 2025 at 3:30 PM
Idem dans les représentations de personnages handi dans l'animation française. On rencontre encore un important frein en France du fait de notre système de production, un problème également récurrent pour les représentations raciales et LGBTQ+, notamment.
May 4, 2025 at 3:27 PM
Pour rester sur cette première diapo', nous allons nous concentrer également sur les proportions raciales des protagonistes : nous avons toujours 73% de protagonistes blanc-hes contre par exemple, 10% de protagonistes noir-es. Un écart de représentation plus que conséquent.
May 4, 2025 at 3:21 PM
La conférence commence avec un focus sur les proportions genrées des protagonistes de nos dessins animés français : nous constations encore une majorité de protagoniste masculin seul face (par exemple) qu'à seulement 6 de protagoniste féminin seule.
May 4, 2025 at 3:18 PM
May 4, 2025 at 2:54 PM