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et dans leur refus de l’effacement. Se souvenir, c’est dire : ces vies comptaient. Ces morts comptent.
Vingt ans après, se souvenir,
c’est dire que nous ne pardonnons pas. Rien n’a jamais été oublié.
et dans leur refus de l’effacement. Se souvenir, c’est dire : ces vies comptaient. Ces morts comptent.
Vingt ans après, se souvenir,
c’est dire que nous ne pardonnons pas. Rien n’a jamais été oublié.
Refuser l’idée que “ce n’est plus comme avant”. Refuser de nous habituer. Se souvenir, c’est soutenir celles et ceux qui restent : les frères, les sœurs, les ami·es, les mères. Celles et ceux qui vivent avec les images, les silences, les classements sans suite.
Refuser l’idée que “ce n’est plus comme avant”. Refuser de nous habituer. Se souvenir, c’est soutenir celles et ceux qui restent : les frères, les sœurs, les ami·es, les mères. Celles et ceux qui vivent avec les images, les silences, les classements sans suite.
Comme Zyed Benna, Bouna Traoré et Muhittin Altun. Des enfants que la police contrôle, arrête, suspecte. Sans autre raison que leur visage. .Des enfants pour lesquels l’empathie n’est jamais spontanée, mais doit être arrachée, prouvée.
Comme Zyed Benna, Bouna Traoré et Muhittin Altun. Des enfants que la police contrôle, arrête, suspecte. Sans autre raison que leur visage. .Des enfants pour lesquels l’empathie n’est jamais spontanée, mais doit être arrachée, prouvée.
Nous sommes aussi mères, pères, frères, sœurs. Nous élevons des enfants dans ce pays des enfants qu’on suit du regard
Nous sommes aussi mères, pères, frères, sœurs. Nous élevons des enfants dans ce pays des enfants qu’on suit du regard
Se souvenir, c’est rétablir le sensible. C’est affirmer le sensible comme territoire politique. Pas le sensible individualisé, psychologisé mais le sensible collectif. Celui qui lie, qui fait tenir ensemble un “nous”.
Se souvenir, c’est rétablir le sensible. C’est affirmer le sensible comme territoire politique. Pas le sensible individualisé, psychologisé mais le sensible collectif. Celui qui lie, qui fait tenir ensemble un “nous”.
Cette fois-ci ce sont des pressions afin de permettre à un agresseur de continuer sa carrière.
[TW évocation de viol et pressions]
Ce jeu de mots est gênant.
Ce jeu de mots est gênant.