ne s’agençaient pas sur un fil temporel, ils s’amalgamaient en un bloc-souvenir. (2/2)

husserlienne et post-husserlienne. Toute l’articulation du travail de Lorelle vise donc à justifier et à soutenir cette ligne d’interprétation, en montrant comment Husserl et ses héritiers offrent des ressources philologiques et conceptuelles pour en rendre compte. (8/8)

phénoménologique de cadrer la portée et le fondement du sens reste ancrée dans l’oscillation entre ces deux dynamiques – l’autonomisation et la sensibilisation – dans un « mouvement en “zig-zag” » qui relève explicitement de l’héritage husserlien. Il s’agit d (6/8)

de sens opposé, à l’autonomisation de ce sens », définissant cette autonomie comme « ce qui possède en soi-même sa propre loi », à savoir, dans ce cas, « l’indépendance [du sens] par rapport au domaine sensible qui en serait fondateur et déterminant ». Lorelle (4/8)

Husserl, un fil dont l’importance pour la phénoménologie, déjà pressentie par des travaux académiques tels que ceux de Jean-Michel Salanskis et Tamás Ullmann, reçoit enfin l’attention qu’elle mérite. Le thème abordé, déjà suggéré par le titre, est celui du statut (2/8)

(Schütz, Ricoeur, Derrida) et sur l’usage qu’il a fait de leurs propositions philosophiques pour construire sa propre sociologie de l’hospitalité. (2/2)

le modèle. On pourrait parler de « temps de la réparation »  pour qualifier notre historicité contemporaine regardant autrement les tragédies qui ont défiguré les siècles écoulés. (2/2)

Gadamer, iraient dans le sens d’une incompatibilité profonde entre les deux approches. (3/3)

et à replacer l’humain au sein d’un réseau de relations avec le vivant sous toutes ses formes. (2/2)

partir d’un néantissement de soi, qui est l’exact contraire de la nihilisation de l’autre. Interpréter le sacrifice en ce sens permet d’en esquisser une distinction avec le martyre en soulignant certaines difficultés liées à l’usage de ces termes. (2/2)

siècle pour fonder une science des processus psychiques, et d’autre part en quoi ces recherches sont aussi le point de départ des réflexions qui ont conduit Freud à développer la psychanalyse. (2/2)

philosophique sur les gravats, paru aux éditions Inculte. Ces questions ne sont pas nouvelles pour l’auteur, puisqu’il a déjà travaillé sur les thématiques architecturales, notamment dans son essai paru chez Allia, Zeropolis. L’expérience de Las Vegas. (2/2)

entretien avec Johanna Oksala. Une bibliographie thématique présente enfin les principales références dans le champ de la phénoménologie classique, de la phénoménologie critique, de la phénoménologie féministe et queer, et de la phénoménologie du racisme. (2/2)