Une bonne surprise. Edgar Wright dialogue avec le roman de Stephen King pour interroger les limites de la pensée nihiliste propre aux récits dystopiques. Le vernis tarantinesque dissimule une œuvre plus subversive qu’il n’y paraît, un passionnant miroir inversé de Snowpiercer.
Une bonne surprise. Edgar Wright dialogue avec le roman de Stephen King pour interroger les limites de la pensée nihiliste propre aux récits dystopiques. Le vernis tarantinesque dissimule une œuvre plus subversive qu’il n’y paraît, un passionnant miroir inversé de Snowpiercer.
Certes dans les mots, le Président Macron ne reprend pas le "drill baby drill trumpien", mais dans les actes nous n'en sommes pas loin ! »
@julielaernoes.bsky.social
Certes dans les mots, le Président Macron ne reprend pas le "drill baby drill trumpien", mais dans les actes nous n'en sommes pas loin ! »
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edition.cnn.com/2025/11/26/p...
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➡️ https://l.ici.fr/HXk
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