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Une série - glaçante - sur la catastrophe de Tchernobyl. Sujet dont l'ombre, quoique plus menaçante, plane autant que celle de Tom Sawyer au-dessus du roman. Je suis toujours en train de la découvrir, mais l'association des deux me parait inévitable. 7/7
Une série - glaçante - sur la catastrophe de Tchernobyl. Sujet dont l'ombre, quoique plus menaçante, plane autant que celle de Tom Sawyer au-dessus du roman. Je suis toujours en train de la découvrir, mais l'association des deux me parait inévitable. 7/7
Et le Mississippi, justement, c’est le cadre de Mud, un film que j’ai retrouvé dans chaque page ou presque : fascination pour un homme vivant en marge, au bord d’un fleuve, récit d’apprentissage et, bien sûr, la rivière comme personnage fascinant et solaire 6/7
Et le Mississippi, justement, c’est le cadre de Mud, un film que j’ai retrouvé dans chaque page ou presque : fascination pour un homme vivant en marge, au bord d’un fleuve, récit d’apprentissage et, bien sûr, la rivière comme personnage fascinant et solaire 6/7
Œuvre dont l’ombre plane en permanence autour de Malville et en fait rêver le narrateur. Pour ma part, je me souviens surtout du dessin animé que je regardais religieusement. L’enfance comme aventure, & encore un fleuve, le Mississippi cette fois. 5/7
Œuvre dont l’ombre plane en permanence autour de Malville et en fait rêver le narrateur. Pour ma part, je me souviens surtout du dessin animé que je regardais religieusement. L’enfance comme aventure, & encore un fleuve, le Mississippi cette fois. 5/7
A l’inverse de Malville qui est ancré dans une ville et ses environs, Le Grand vertige est un roman globalisé, avec des personnages mobiles et qui traversent le monde. Leur point commun, c’est l’inquiétude face au futur de la planète. 3/7
A l’inverse de Malville qui est ancré dans une ville et ses environs, Le Grand vertige est un roman globalisé, avec des personnages mobiles et qui traversent le monde. Leur point commun, c’est l’inquiétude face au futur de la planète. 3/7
Deux romans sur les rivières et les fleuves et sur la nature et la famille. Les tons sont différents, celui de Duncan est certainement plus drôle, mais impossible de ne pas y repenser en lisant les descriptions amoureuses que Ruben fait du Rhône. 2/7
Deux romans sur les rivières et les fleuves et sur la nature et la famille. Les tons sont différents, celui de Duncan est certainement plus drôle, mais impossible de ne pas y repenser en lisant les descriptions amoureuses que Ruben fait du Rhône. 2/7
« - Notre poème aura-t-il été vain ?
- Non… Je ne le crois pas. »
et
« Nous n’abandonnerons pas la tranchée,
Tant que durera la nuit. »
9/9
« - Notre poème aura-t-il été vain ?
- Non… Je ne le crois pas. »
et
« Nous n’abandonnerons pas la tranchée,
Tant que durera la nuit. »
9/9
Une autre histoire de vieil homme resté seul dans un monde à l’agonie. Pas de guerre ici, mais une sécheresse qui n’en finit plus. Pas de poésie pour se souvenir, mais un pied de maïs qu’il faut protéger. 6/9
Une autre histoire de vieil homme resté seul dans un monde à l’agonie. Pas de guerre ici, mais une sécheresse qui n’en finit plus. Pas de poésie pour se souvenir, mais un pied de maïs qu’il faut protéger. 6/9
S’il convoque la violence et l’horreur, Mahmoud ou la montée des eaux est aussi un livre sur la beauté, et surtout sur la beauté de la vie méditerranéenne. Alors, même si les enjeux ne sont pas les mêmes, je pense au Soleil des Scorta, 4/9
S’il convoque la violence et l’horreur, Mahmoud ou la montée des eaux est aussi un livre sur la beauté, et surtout sur la beauté de la vie méditerranéenne. Alors, même si les enjeux ne sont pas les mêmes, je pense au Soleil des Scorta, 4/9
Dans une des nouvelles de cet immense recueil, « Cherry Brandy », le poète russe Varlam Chalmov, lui-même envoyé au Goulag, imagine les derniers instants d’un autre poète, Ossip Mandelstam, mort lors de sa déportation. Aux portes de la mort, 2/9
Dans une des nouvelles de cet immense recueil, « Cherry Brandy », le poète russe Varlam Chalmov, lui-même envoyé au Goulag, imagine les derniers instants d’un autre poète, Ossip Mandelstam, mort lors de sa déportation. Aux portes de la mort, 2/9