😮

D'où ce constat : les maths, c'est nul dans le métro.

Moi, je suis prof de choucroute (ou de croix gammées)

Pomme d'Api: "devinette, sur le sapin on accroche des boules de Noël ou des poules de Noël ?"
Le Figaro: "selon nos 3 essayistes ce jeu de mot n'a aucun sens étymologique".
BFM: "poules de Noël, simple lubbie woke ou vrai danger"
CNews: "la presse jeunesse assassine nos traditions chrétiennes".

Le jour où mon fils a un appart à lui, je débarque et je bouffe tout en laissant un seul yaourt au fond du frigo.

C'est incroyable, non ? Comment ce geste est-il possible, ou ne serait-ce même qu'envisagé ?

Je suis vénère, là...

C'est curieux ce "doctorant en liturgie" (à l'EPHE, de surcroît). J'imagine que c'est plutôt en sciences des religions, non ?

J'ai eu droit dans une autre vie à un "Tu nous traite de chiens !" parce que j'avais évoqué la nécessité de dépasser collectivement la capacité de concentration (limitée) des épagneuls bretons.

C'est un concours de connerie. Les expressions figurées, les locutions et autres fantaisies stylistiques sont devenues casse-gueule partout, tout le temps. Il suffit que quelqu'un ne comprenne pas (rare) ou fasse semblant de ne pas comprendre et ça part dans tous les sens. À gauche comme à droite.

Vu : la une "conceptuelle" (nulle) d'une récente publication d'un syndicat enseignant (pas le SNES 😁) auquel j'adhère par bête solidarité familiale, évidemment faite ou "réglée" par une IA générative

Je le sais, j'ai testé : mes séquences ne sont pas les mêmes, les exercices que je propose non plus, les exigences pas du tout les mêmes non plus. C'est un fait. Et je ne sais pas faire autrement.

Entendons-nous bien : les profs de ces lycées bossent bien, voire très bien. J'en connais certains qu'on pourrait même canoniservu leur implication 😁. Mais leur boulot n'est clairement pas le même que leurs collègues des lycées high level ou simplement "normaux".

Sauf encadrement très serré des parents et implication consciente des profs, je ne vois pas comment ces gamins peuvent maintenir leur très bon niveau tout au long du lycée. Je comprends parfaitement la fuite.

Ils planent à 10 000 au-dessus des autres. Il leur faut une force de caractère rare pour survivre sans s'étioler en 2-3 ans. J'ai vu des gamins clairement très bien câblés en seconde qui ont fini par avoir leur bac au rattrapage parce qu'ils se faisaient tellement chier qu'ils ont tout lâché.

L'alsacien à l'école publique, deux ans après le début de l'expérimentation , "ils prononceront de vraies phrases spontanées d'ici fin juin " share.google/3LvYukj0zrhV...