Encore un qui a pris congé du réel

On est donc de nouveau en 2016

J’ai hesité à rentrer dans la shitstorm juste pour mettre ce papier en discussion

www.brookings.edu/wp-content/u...

Je sais qu’il y a quelques trucs dans les tuyaux ici et là (Cnaf et Dares), un conseil scientifique et plusieurs APR lancés
dares.travail-emploi.gouv.fr/comite-scien...

je sais aussi qu’il y a des réticences à sortir certaines analyses.

Oui

That’s why social networks are cool, sometimes. Hope it helps

rstudio.github.io/cheatsheets/...

Cheers

Désolé je ne voulais pas sonner condescendant mais plutôt signaler que je ne cherchais ni la bagarre ni la petite bête. Si je me permets cette remarque c’est parce qu’à terme je pense que laisser des termes utiles devenir des signaux d’extrême droite c’est céder davantage d’espace.

La notion de biais racistes, sexistes, homophobes, validistes, etc. C’est utile pour décrire et pour agir. C’est pas confondu avec d’autres notions pertinentes comme « privilèges » (et je dis ça avec beaucoup de bienveillance @mariepeltier2024.bsky.social ), et on a besoin des termes pour lutter

Je vois bien le point, mais je vois aussi la colonisation du langage - notamment militant et scientifique - et son remodelage comme un danger en soi. Les mécanismes sont doubles, soit diaboliser les termes soit en changer le sens.

Connais-tu cet épisode d’analyse de genre de Jurassic Parc ? C’est un bijou
youtu.be/5hCuv16pzjs?...

Contrairement aux privilèges, le biais c’est l’espace d’action possible. Tu peux pas ôter l’expérience bourgeoise, blanche, etc. Mais tu peux interroger et modifier la façon dont elle organise ta manière de raisonner. Se passer de ces termes c’est se priver d’un outil rhétorique puissant.