Nous vivons dans un pays font le système de santé est totalement infiltré par les industriels, qui détiennent les leviers (financiers, via corruption souvent, lobbyisme toujours) des instances supposées défendre la santé publique.
Je crains le pire, qui reste à venir.

Le reste je n’en en ai plus rien à foutre.

À part de mon syndicat où je suis revenu et que je n’aurais jamais dû quitter, je n’attends plus rien des autres.

Nos divisions et notre couardise d’individualistes fera toujours de nous des perdants.

Alors oui je suis dégoûté de partir en grève derrière une intersyndicale pleine de pleutres et de traîtres.

Mais je vais y aller par fidélité à mes convictions et mes engagements.

Plein.