"Un puissant peut tout se permettre et s’en tirer indemne, tandis que les individus ordinaires sont traînés dans la boue sans la moindre indulgence."

(Robert E. Howard, in correspondance avec Lovecraft, fin août 1931.)

Ah j’ai lu ça y a longtemps, c’est super !👍

C'était sa réaction à l'élection de Zohran Mamdani.

"Il est même possible que mon goût pour l’étrange provienne d’efforts subconscients visant à vaincre les lois naturelles objectives qui m’ont physiquement placé dans une époque qui n’est pas psychologiquement la mienne.”

(in Lovecraft, correspondance avec Howard, 1931.)

Oui, il développe - désolé, je dois être concis ici. Il parle notamment des plaisirs physiques, et cite : "marche sur de longues distances, l’alpinisme, le camping, etc."

Merci :)

L'idée c'est de faire un appareil critique d'enfer : préface, illustrations et notes de bas de page. Je pense qu'on aura dans les 2000 ndbp.

Ce sera une fenêtre fascinante sur la vie et la psyché de ces deux hommes, en plus de leur époque (USA 1930-1936).

Merci :)

C'est dans le cadre d'un débat avec Howard sur l'importance de développer sa force physique.

"(...) qui surviennent inévitablement, même dans les civilisations mécaniques les mieux ordonnées, et afin de pouvoir profiter au mieux de la vie en étant à la hauteur des exigences de toutes les formes de plaisir."

(in Lovecraft, correspondance avec Howard, 1933)

Merci.

Oh c'est sympa ça :)
Bon, j'avance alors !

Oh mon Dieu non, par pitié ! Seulement sa correspondance avec Robert E. Howard, ce qui représente quand même un beau volume de 4 500 000 signes (ça fera 3 tomes).

Je fais ça avec Patrice Louinet, spécialiste de Howard, qui traduit Howard.

"Entre Hoover et Roosevelt, je pense que ce dernier est préférable, même si de peu ; et bien qu’il ait ses faiblesses. "

(HPL, juillet 1932.)

"(...) et de faire en sorte que le cours de la vie permette de satisfaire autant que possible les besoins et instincts normaux de la population, sans détruire le système et plonger tout le monde dans une misère plus grande que celle qu’on subirait sous tout autre ordre futur concevable."
(Lovecraft)