Il s’agira de tenter de comprendre en quoi consistent ces phénomènes, comment les cerner du point de vue juridique et comment lutter contre.

L’atelier abordera les sujets de la violence au sens stricte mais aussi au sens large en englobant les problématiques liées au harcèlement sexuel, harcèlement moral et à la discrimination sur base du sexe.

Raison pour laquelle nous souhaitons, dans le cadre de l’Orange Week, participer à la sensibilisation de l’opinion publique en proposant cet atelier thématique sur la violence contre les femmes dans le milieu professionnel.

Les femmes sont plus exposées que les hommes à la violence. Ceci est vrai non seulement dans la vie privée mais malheureusement également dans le milieu professionnel.

Nous demandons au gouvernement une mise en œuvre garantissant aux travailleurs un accès complet aux protections sociales existantes. (5/5)

La directive européenne sur le travail de plateformes vise à renforcer les droits de ces travailleurs. Le Luxembourg doit la transposer d’ici le 2 décembre 2026. (4/5)

Ce statut fictif d’indépendant permet aux plateformes d’échapper à leurs responsabilités d’employeur et crée un salariat déguisé, dépourvu de protections sociales. (3/5)

Bien que les plateformes présentent leurs travailleurs comme des indépendants, beaucoup d’entre eux sont en réalité dans une situation de dépendance économique et organisationnelle, proche de celle d’un salarié. (2/5)

Il est temps de mettre fin à cette zone grise en définissant précisément ce qui distingue un indépendant d’un salarié, d’offrir un véritable cadre protecteur aux travailleurs des plateformes et de renforcer la justice sociale dans ce secteur en pleine expansion. (4/4)

Ce modèle favorise un salariat dissimulé qui met les travailleurs dans une position vulnérable. (3/4)

Les personnes qui y travaillent sont généralement qualifiées d’indépendants, mais dans les faits, leur autonomie est très limitée. Elles ne bénéficient pas du salaire social minimum, de congés payés, d’une durée de travail encadrée ni d’assurance sociale. (2/4)

Nous invitons également le gouvernement à examiner notre proposition de loi «Travail par l’intermédiaire d’une plateforme», destinée à assurer aux travailleurs de plateformes le bénéfice plein et entier des règles de droit social existantes. (6/6)

La transposition de cette directive est une opportunité pour le Luxembourg de concilier innovation numérique et protection sociale, sans dumping social ni recul des droits. (5/6)

Nous soulignons que les travailleurs des plateformes doivent avoir droit au salaire social minimum, à des congés payés, à une assurance sociale et à une durée de travail réglementée, comme tout autre salarié. (4/6)