Un bel été passé au soubassement du Moulin-Neuf avec le projet Le tangible et l’oubli… le moment est venu de dire au revoir.
Un bel été passé au soubassement du Moulin-Neuf avec le projet Le tangible et l’oubli… le moment est venu de dire au revoir.
Le tangible et l’oubli : Fragments d’histoires tissés entre matière et mémoire
Le tangible et l’oubli : Fragments d’histoires tissés entre matière et mémoire
Le tangible et l’oubli
Fragments d’histoires tissés entre matière et mémoire
Soubassement du Moulin Neuf, sur l’île-des-moulins, à Terrebonne
Les samedis et dimanches de 12h à 18h jusqu’au 28 septembre
Le tangible et l’oubli
Fragments d’histoires tissés entre matière et mémoire
Soubassement du Moulin Neuf, sur l’île-des-moulins, à Terrebonne
Les samedis et dimanches de 12h à 18h jusqu’au 28 septembre
LE TANGIBLE ET L’OUBLI
Fragments d’histoires tissés entre matière et mémoire
Pensé comme un territoire en transformation, le projet s’inscrit dans une démarche où l’objet devient un vecteur de questionnements sur la transmission et l’adaptation.
LE TANGIBLE ET L’OUBLI
Fragments d’histoires tissés entre matière et mémoire
Pensé comme un territoire en transformation, le projet s’inscrit dans une démarche où l’objet devient un vecteur de questionnements sur la transmission et l’adaptation.
Je commence bientôt ma résidence de création dans ce lieu magnifique : le soubassement du Moulin-Neuf, à l’Île-des-Moulins. Une invitation de La nouvelle société 🎉🥂📸 Venez me voir à partir du mercredi 25 juin…
Je commence bientôt ma résidence de création dans ce lieu magnifique : le soubassement du Moulin-Neuf, à l’Île-des-Moulins. Une invitation de La nouvelle société 🎉🥂📸 Venez me voir à partir du mercredi 25 juin…
Homme - Papier
75 x 60 x 60 cm
Homme - Papier
75 x 60 x 60 cm
« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : c’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser » Françoise Giroud
« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : c’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser » Françoise Giroud