Dans l'ensemble du fil (que je sois l'auteur ou non) il n'est JAMAIS question de l'Allemagne Nazie!

Mais de quoi parlez-vous? Quel rapport avec l'Allemagne Nazie? Vous vous comportez comme un Troll.
Bonne soirée.

(1) Je ne vois pas bien comment on pourrait établir cette comptabilité. (2) il y a quand même du boulot pour établir un gain lorsque le coût est de 200000 morts par an !
Faites vos recherches si vraiment vous voulez savoir. L'objet de la discussion n'était pas l'amiante (un parallèle tout au plus).

ça n'a rien à voir avec le pcp de précaution (qui suppose que l'on n'en sache pas assez sur le risque pour déterminer un calcul coût bénéfice). Les effets de l'amiante étaient connus et mesurés, on a choisi de l'utiliser au détriment de la santé publique.

Allez jeter un oeil sur la page de l'OMS consacrée à l'amiante, consultez un livre ou deux d'histoire de l'industrie sidérurgique sur les effets dans l'environnement professionnel. O a empoisonné des ouvriers pour pousser une solution technique. www.who.int/fr/news-room...

Je ne vais pas avoir le temps de vous pointer les innombrables études sur la toxicité de l'amiante connue depuis l'antiquité (de fait, les textes sont éloquents sur les maladies pulmonaires des esclaves qui tissaient des nappes en amiantes) et qui ont été faites avec soin dès la fin du XIXe.

Environ 200000 morts par ans dues à l'amiante dans le monde... Le "parce que" -> Trop peu de place pour expliquer précisément que les bénéfices pour l'isolation des bâtiments n'étaient pas mesurés contre les effets délétères pourtant connus tôt (1890, mais des écrits antiques le signalent déjà)...

On assiste à peu près à la même chose pour l'IAGen qu'on nous pousse à mettre à toutes les sauces, même lorsque le domaine d'usage est fondamentalement contradictoire avec ce que fait l'IAGen (typiquement l'enseignement LLASHS) avec les mêmes conflits d'intérêts, lobbies et autres études en carton.

J'ai en tête un parallèle dans l'histoire industrielle. L'introduction de l'amiante dans à peu près tout comme solution miracle. C'était certes très utile dans un contexte précis et contrôlé (l'aciérie industrielle) mais sans doute pas ailleurs parce que les effets délétères n'étaient pas controlés.

Je ne sais pas si c'est lié à la culture scientifique limitée des décideurs politiques et économiques ou simplement au type d'approche mobilisée pour l'intégration de technologies nouvelles dans le maximum d'aspects de l'activité.Souvent sans saisir les effets de bord et les externalités négatives.

Merci! J'avais les analyses de Stephen Ball en arrière-plan notamment pour ce qui concerne l'évolution du rapport à l'évaluation continue qui se laisse difficilement saisir à travers la mesure de performance. Je vais aller lire le Farrel et al. 2025 dès que possible.

J'essaye de pousser le principe de charité jusqu'au bout...
[en fait, je pense qu'on a collectivement dépassé ce point de puis très longtemps]

Quand j'ai enseigné en Turquie en 2000, j'ai conçu des QCM de philosophie dont la fonction était de simplement classer les candidats en fonction de leur capacité à répondre de manière attendue à des questions de connaissances des traditions philosophiques. Mais c'est un projet éducatif spécifique.

Ah mais c'est certain. Les EDN de médecine n'ont jamais été envisagées comme des évaluations continues ayant une visée formative. C'est de l'évaluation sommative à l'état pur! Qu'on puisse le faire via une plateforme numérique est tout à fait possible (modulo une surveillance accrue des candidats).

En théorie cela devrait être le cas, mais les mêmes causes donnant les mêmes effets, les effectifs, le manque de temps, la mauvaise compréhension des compétences évaluées produisent un effet de focalisation sur l’évaluation de la performance plutôt que sur le processus cognitif ou épistémologique.

Mais penser que les mêmes politiques poussées depuis 20 ans vont donner des résultats différents parce qu'on prend une posture ironique à leur propos ne me semble pas particulièrement rationnel.