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Encore une sacrée ambiance ici
Je vais te tuer, On falling, On vous croit, I used to be funny
November 28, 2025 at 11:08 PM
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Ça n'empêche pas de pointer la responsabilité des assos gestionnaires qui s'enrichissent par l'enfermement de gosses ou la relégation de personnes handicapées (ça me fait encore penser au procès des familles d'accueil sans agrément payées par l'ASE du Nord sans qu'on lui demande des comptes)
L’avocate enchaîne, preuve à l’appui, que la direction de l’association était informée, au moins depuis novembre 2019, soit quatre mois avant les révélations de L’Obs. Son client, Taner I., confesse même à la barre avoir dû faire un faux témoignage devant les gendarmes, pour « couvrir un autre collègue éducateur accusé de violence. […] C’était la direction qui m’avait demandé de le faire », dit-il. Mais de tout cela, il n’est pas question ce jour au tribunal de Colmar. L’Arsea ne fait partie ni des accusés ni des parties civiles dans ce dossier. Son directeur général, René Bandol, pas plus que son président, Philippe Richert, ancien ministre, n’ont fait le déplacement pour défendre les éducateurs d’une de leurs si nombreuses structures.
November 27, 2025 at 9:27 PM
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Les femmes sont détestées partout
Une vie ordinaire, Zurawski versus Texas, Aisha can't fly away, Toxic
November 21, 2025 at 10:41 PM
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bsky.app/profile/medi... donc en appel pas plus d'avancées sur les autres victimes, dont de violences sexuelles, ni sur la responsabilité des départements (j'ajouterai pas non plus sur celle du médecin prescripteur d'anxios à des gamins qu'il ne voyait pas)
D’autres pans de l’affaire encore en suspens En parallèle, les avocates Rebecca Royer et Anna Khopp ouvrent d’autres fronts. Plusieurs faits dénoncés par des jeunes – dont Angelina et Karl – n’ont jamais été intégrés à l’ordonnance de renvoi : autrement dit, ils n’ont jamais existé juridiquement. Pas transmis, pas examinés. Écartés avant même d’être débattus. « Il aurait fallu que leur ancien conseil engage une citation directe devant le tribunal correctionnel de Châteauroux », rappellent les avocates. Elles s’y attellent désormais, afin que le procès de Châteauroux – déjà tenu pour les autres – soit, en substance, rejoué pour ces deux jeunes. « Pour qu’ils soient enfin reconnus comme victimes, et que les prévenus répondent des faits commis à leur encontre », insiste Me Rebecca Royer. Le cabinet demande aussi la réouverture des dossiers d’infractions sexuelles laissés en friche lors de la première procédure : quatre mineures – dont Angelina – avaient dénoncé des agressions de Bruno Cloud. Une fillette de 8 ans avait quant à elle rapporté un viol sans qu’il y soit donné suite. Pour mémoire, Bruno Cloud a été condamné en 2017 à vingt ans de réclusion pour viols et agressions sexuelles incestueux commis en récidive entre 2012 et 2017, après une première condamnation en 2006 pour les mêmes faits entre juillet 1995 et 2000. Dernier chantier : la responsabilité de l’aide sociale à l’enfance du Nord. Une plainte avec constitution de partie civile vise le président du conseil départemental pour blessures involontaires et non-dénonciation de violences. Le dossier révèle en effet des signalements étouffés avant d’atteindre le procureur, des alertes minimisées au nom de « résultats probants », et au moins cinq remontées graves laissées sans suite.
November 21, 2025 at 4:21 PM
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Le gamin c'est trop un bon
“On était dans la salle de permanence, les élèves ont commencé à faire du bruit, et la CPE a demandé à la police de rentrer dans la salle pour rappeler aux élèves l’importance de l’exercice. Quand les policiers sont rentrés dans la salle, un élève a dit “garde-à-vous”.
November 21, 2025 at 12:24 PM
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Mdrrrr le maire LFI
« Pour la tranquillité publique, les caméras ont leur utilité. Il faut le prendre comme un outil supplémentaire », dit-il. Cette position tranche très franchement avec les orientations nationales de LFI. En juillet 2025, la députée Mathilde Panot affirmait en effet son souhait de voir les caméras de vidéosurveillance supprimées dans l’ensemble des communes où son parti l’emporterait lors des municipales… Sauf que cela n’a pas été le cas à Faches‐Thumesnil. Les vingt-quatre caméras que comptait la commune en 2020 sont toujours en place. L’une d’elle est sur l’hôtel de ville, juste à côté d’un fanion aux couleurs LGBT. Le maire insoumis compte même une installation de caméra à son actif, achetée par son prédécesseur.
November 17, 2025 at 2:37 PM
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Y'a toujours besoin de produits d'hygiène en priorité, à déposer directement devant la mairie du 20e
Story d'utopia 56, besoins essentiels produits d'hygiène : brosses à dents, dentifrice, gel douche, shampooing, déodorants, lingettes, couches
November 14, 2025 at 10:40 AM
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Oui
November 14, 2025 at 10:27 AM
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Pour aider les familles et les mineures isolées qui dorment devant la mairie du 20e
Produits demandés par utopia 56 : produits d'hygiène en priorité, savon/gel douche, dentifrice brosse à dents, couches : priorité taille T5/T6, lingettes Nourriture directement consommable : tout le nécessaire pour petits-dejeuners, pains au chocolat/pain au lait, pain de mie, jus de fruits, biscuits secs, gâteaux
November 13, 2025 at 2:38 PM
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Est-ce que mon algorithme insta va bien ?
Un réel suggéré avec l'image d'une soupe verdâtre épaisse "potage à la bataille commémorer l'armistice 1928 10 ans après"
November 11, 2025 at 9:59 PM
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Maire de gauche pas dérangé par la présence de matons dans un lycée pour faire de la propagande
Le rallye citoyen avait aussi eu les honneurs de la visite du recteur, du sous-préfet de Nogent-sur-Marne, et du maire de Fontenay-sous-Bois. « Je n’ai assisté qu’à la présentation du matériel de protection par trois agents pénitentiaires […]. Si les faits que vous rapportez sont avérés, ils sont choquants et questionnants », nous a répondu l’édile Jean-Philippe Gautrais. Sébastien Humbert, le sous-préfet, ne nous a pas répondu. Saisie par les enseignant·es, Périne De Araujo, secrétaire générale de la CGT Educ’action 94, commente : « Nous sommes en désaccord avec la place croissante prise par les questions de défense dans les programmes et la vie des établissements scolaires, et constatons que l’armée vient recruter dans les établissements des élèves en grande précarité, et de plus en plus tôt. »
November 11, 2025 at 2:55 PM
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« Les plus excités ont été invités à participer à leur mise en situation. Derrière le bouclier, ils ont ordonné à celui qui jouait le détenu : “Sortez de votre cellule !” Le jeune a répondu “non” deux fois. » Les équipiers lui ont alors donné un premier coup de bouclier, qui l’a fait reculer « de deux mètres » selon l’enseignant, encore marqué : « On était dans un petit recoin du hall du lycée, avec des marches, c’était hyper dangereux. » Il poursuit son récit : « L’élève est entré dans une rage folle, se débattant à 10 000 %. Au début, les autres élèves étaient surpris. Puis s’est instauré un sentiment de gêne. Les équipiers ne parvenaient pas à le maîtriser, malgré les multiples clés de bras et de jambe. Un quatrième équipier est entré dans la mêlée pour parvenir à menotter l’élève. »
November 11, 2025 at 2:53 PM
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Pendant lequel les élèves jouaient le rôle de prisonniers, les maton.ne.s ont incité des gosses à la violence, les ont plaqué au sol etc...
« D’abord, les élèves ont été invités à vider leurs poches de leur portable et écouteurs sur une table, comme s’ils entraient en prison, raconte Maëlle, enseignante sollicitée pour encadrer l’atelier. Ensuite, on s’est mis en cercle. “Le quotidien d’un détenu, en prison, c’est de faire du sport. Donc mettez-vous par terre, et faites des pompes”, ont ordonné les ELSP. Une équipière a appuyé sur le dos d’un élève avec sa matraque. Ceux qui ne parvenaient pas à faire les pompes devaient en faire plus. » Les équipiers de la pénitentiaire ont présenté ensuite leur matériel de protection – casque, protège-tibias, bouclier –, invitant un élève à les enfiler, puis sommant deux autres de donner des coups de matraque, des coups de pied « chassés » et des coups de poing dans le bouclier. « L’objectif était de prouver la puissance des forces de l’ordre », explique Maëlle. « Alors qu’un élève tapait de toutes ses forces sur le bouclier, les deux équipiers se sont regardés et, par surprise, l’ont plaqué au sol, l’ont menotté face contre terre puis l’ont plaqué au mur comme pour une fouille au corps », continue l’enseignante. Avant de conclure : « À la fin, deux des élèves s’étaient blessés, le bouclier était maculé de sang. » Une fois l’atelier terminé, Maëlle conduit les élèves rincer leurs plaies en salle des professeur·es. Elle y croise la collègue à l’origine de la journée, par ailleurs présidente de l’Association des professeurs d’histoire-géographie de l’académie de Créteil. En état de choc, Maëlle lui demande de mettre fin à ces ateliers violents. Alors que sa collègue l’ignore (voir en boîte noire), la professeure s’adresse directement au proviseur du lycée, en lui montrant les vidéos qu’elle a filmées. Il s’engage à demander aux ELSP d’être moins violents. L’enseignante questionne ensuite directement les surveillants pénitentiaires quant à leurs objectifs pédagogiques.
November 11, 2025 at 2:49 PM
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Troisième facteur de risque, le fait « d’être une fille », ce qui rend cette population particulièrement vulnérable aux violences sexuelles et psychologiques de haute intensité, violences qui sont par ailleurs celles les « moins bien prises en charge par l’institution, à la différence des violences physiques », complète la chercheuse.
November 8, 2025 at 2:35 PM
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Ma raison pour aller prendre l'air :
Un chat noir aux yeux jaunes en premier plan et un chat tigré et blanc derriere en train de manger des croquettes dans une assiette sur le trottoir
November 3, 2025 at 5:15 PM
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"Aujourd’hui, plus d’un tiers des personnes accompagnées par Médecins du monde sont dans l’incapacité de produire des documents d’identité avec photo"
Reste dans ce projet de décret une révision des documents d’identité exigés dans le dossier de demande d’AME. Les personnes qui n’ont pas de passeport, de carte d’identité ou d’extrait d’acte de naissance pouvaient jusqu’ici présenter « tout autre document de nature à attester l’identité du demandeur et celle des personnes à sa charge ». Cela pouvait être une carte de transport ou un permis de conduire, même périmés. Le gouvernement veut désormais que ces papiers comportent « une photographie d’identité pour les personnes majeures ». « Aujourd’hui, plus d’un tiers des personnes accompagnées par Médecins du monde sont dans l’incapacité de produire des documents d’identité avec photo, explique Matthias Thibeaud, référent accès droit santé. Beaucoup ont fui leur pays sans papiers, les ont perdus, se les sont fait voler, ou subissent confiscations ou chantage aux documents. D’autres vivent dans des conditions où il est impossible de les conserver. Et quand elles tentent d’obtenir un document auprès de leur consulat, les démarches peuvent prendre jusqu’à dix-huit mois – quand elles ne sont pas tout simplement impossibles. »
October 30, 2025 at 1:36 PM
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Magnifique saucisse qui attend le rer
Petit chien orangé de type chien saucisse avec un harnais rouge qui attend couché sur le quai
October 30, 2025 at 1:27 PM
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Ça y est j'ai mis le chauffage même si ça coûte une blinde
Un petit singe la tête basse, posée sur ses pattes avant croisées, le regard triste
October 26, 2025 at 11:50 AM
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Il mourrait d'envie d'aller se rouler dans le sable dans la benne du truc
Le chat tigré de dos, un peu enrobé, au pied de la benne du camion
October 23, 2025 at 3:08 PM
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J'ai croisé ce chat maçon
Gros chat tigré en train de se rouler dans la benne d'une camionnette d'une entreprise de travaux, sous des planches
October 23, 2025 at 3:07 PM
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Et des expulsions par "suspicions"
Dans le Puy-de-Dôme, une locataire a dû quitter son logement sans que la justice ait à se prononcer. « J’ai signalé par courrier au bailleur, privé, que cette dame posait un problème de tranquillité publique, qu’elle recevait des personnes défavorablement connues des services de police et qu’il y avait de fortes présomptions qu’elle stocke des stupéfiants à son domicile, décrit le préfet. Cela a conduit ce propriétaire à ne pas renouveler le bail de sa locataire, qui se terminait. »
October 23, 2025 at 2:11 PM
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Sans surprise on trouve des bailleurs sociaux et des maires PS bien zélés pour expulser
Dans les Bouches-du-Rhône, c’est sur les expulsions locatives que le représentant de l’Etat a souhaité « être en pointe ».« On s’y est pris tôt et de manière massive », précise Georges-François Leclerc, également préfet de police du département. A la mi-octobre, des bailleurs sociaux s’étaient déjà vus adresser trente-sept dossiers de locataires vivant à Marseille, Martigues et Port-de-Bouc, « dont l’implication dans le trafic de stupéfiants est avérée ». Onze ont été transmis à la justice. Des audiences spécifiques doivent être organisées dès janvier 2026 pour statuer plus rapidement. « Pour l’instant, nous n’avons pas eu à nous substituer aux bailleurs pour saisir directement le juge, comme la loi nous le permet. Il y a une adhésion totale de leur part », a assuré, en septembre, la préfète de police déléguée, Corinne Simon. Une adhésion que ne confirment pas forcément tous les bailleurs. « Toute expulsion est un échec »,constate Audrey Gatian, adjointe (PS) au maire de Marseille et présidente de l’office public HLM Marseille Habitat, qui s’inquiète de voir la sanction toucher des familles entières « sans discernement ». Michael Delafosse, maire socialiste de Montpellier et président de la métropole, qui gère un important parc de logements sociaux, loue le caractère préventif de cette disposition. « Il y avait un sentiment d’impunité. Désormais, quand un locataire signe le bail, on pourra lui préciser qu’il ne doit pas concourir au narcotrafic, sous peine d’être expulsé. »
October 23, 2025 at 2:08 PM
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Duo préfet/procureur, poukaveries et en plus ça permet la chasse aux étrangers
En pratique, des duos se forment entre préfet et procureur. Au fil de structures parfois basées sur le préexistant, comme les comités départementaux antifraude. L’idée étant de se répartir les affaires : d’un côté, le tout-venant qui engorgerait plus encore les tribunaux est laissé dans le silo administratif ; de l’autre, les dossiers méritant des investigations complémentaires seront gardés par les parquets. La mesure la plus rapide est consacrée aux interdictions de paraître. « Avec la police administrative, on travaille sur les stigmates, pas sur le temps long » , estime Philippe Court, le préfet du Val-d’Oise. Avec 116 interdictions de paraître délivrées, en date du 6 octobre, il faisait partie des représentants de l’Etat les plus efficaces en la matière. « Les habitants sont très demandeurs. On reçoit même des messages d’habitants, directement sur le Messenger de Facebook, avec des photos, des lieux, des planques… C’est très positif » , poursuit-il. « Ces outils administratifs font partie d’une stratégie d’ensemble, ils sont complémentaires du pilonnage des points de deal et des enquêtes en profondeur menées par le parquet » ,complète Laurent Hottiaux, préfet des Alpes-Maritimes. « Dans le cas des interdictions de paraître, pour beaucoup liées à des points de deal bien connus, à Nice, Grasse et Cannes en particulier, il s’agit à 50 % de mineurs et à 35 % d’étrangers » , détaille-t-il, ajoutant que « ces mesures permettent aussi de lutter contre l’immigration irrégulière ».
October 23, 2025 at 2:06 PM
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Je viens de commencer Long Story short, pour l'instant j'adhère complètement
Un ado dans un pièce sombre au milieu de manteaux s'exclame "D'après toi, Maïmonide a jamais fumé ?"
October 23, 2025 at 1:51 PM
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Il dit quand même que ce sera PIRE pour le pauvre Sarkozy qui pourra pas s'acheter un téléphone (pendant que des prisonnier.e.s peuvent même pas manger à leur faim)
Sonia Chironi : Que signifie QB4 ? Pierre Botton : Le QB4 est le quartier des vulnérables, ce que certains journalistes appellent à tort le “quartier VIP”, qui n’existe plus. Il faut dissiper les idées reçues : la prison n’est pas un “club Med”. Pour preuve, il y a quelques semaines, un détenu y a mis le feu à sa cellule, avec des conséquences tragiques. La première nuit, il sera réveillé toutes les deux heures pour vérifier son état. Gilles Bornstein : Vous êtes certain que ce sera le cas avec Nicolas Sarkozy ? Pierre Botton : Oui, mais il y a une différence : la réglementation sera respectée à la lettre. Par exemple, il n’aura pas accès aux 60 000 téléphones portables illégaux qui circulent actuellement en prison. Gilles Bornstein : Et cette période d’évaluation dure une semaine ? Pierre Botton : Exactement. On observe comment il réagit : face à un surveillant, face à la situation, à la colère ou à l’injustice. Il sera isolé dans sa cellule pour sa sécurité.
October 20, 2025 at 6:43 PM