Un de nos confrères parisiens, ancien secrétaire à la langue acérée, racontait il y a 25 ans avoir entrepris GC en ces termes:
« Toi tu as fait toutes les émissions de télé, sauf une, le juste prix ».
La haine vigilante, quand elle est talentueuse…

Non. Cette catégorie de salariés est très minoritaire et souvent peu qualifiée (sur l’ensemble de la population salariée). Et faire appel à la sous-traitance pose beaucoup d’autres difficultés, notamment pénales celles-là, a fortiori sur des emplois peu qualifiés.

Junior se moque des ventes. Il voulait juste un truc sur lequel communiquer pour le lancer tout en lui donnant une légitimité quelconque. C’est tellement éculé. Mais ça en dit aussi tellement sur nos médias qui vivent avant tout de com.

Ok. Mais pour le premier, c’est le combat de presque toute une vie.
Mitterrand ne s’est pas demandé qui pourrait rédiger et porter l’abolition.
Pour la seconde, il est dommage que le rôle de Giscard soit oublié.

Le bonhomme s’exprime encore fort bien et il fut brillant. Mais il n’a désormais bonne presse qu’auprès de ceux qui ont la patience de l’écouter.
Les cochons sont toujours très bons, comme chacun sait.

Pas sympa pour les porcins qui n’y sont pour rien !

Oui

La confidentialité et même le secret médical à l’hôpital c’est un vrai sujet.
Les interrogatoires médicaux dans les couloirs, le descriptif des traitements à suivre devant tout le monde, c’est fréquent quel que soit le lieu.
On en ferait le 10ème dans la profession, pas sûr que ça passerait.

Le point 5 n’est pas évident quand même. La Chambre sociale n’aurait pas cette sévérité pour un salarié à qui le doute doit profiter. Et que dire de la preuve négative par vraisemblance ?

Les avocats vivent ça aussi comme bcp d’autres professions.
En revanche, tout le monde n’a pas la même utilité sociale.

Or, on fait rarement plus utile qu’un toubib.

C’est donc une folie collective de ne pas accompagner votre profession dans son évolution.

Vous n’y êtes pas :)
Il en appelle à une justice plus providentielle : vox populi vox dei.

Certains mettent des virgules après le Je et après soussigné. Il est alors plus facile de comprendre qu’il s’agit d’une déclaration qui revêt une forme de solennité.
Le vocabulaire utilisé chez les juristes paraît désuet mais nous l’utilisons parce qu’il est précis (et par habitude aussi…)