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Dans son troisième film, #IronClaw, l'obsession du père pour le catch vient par la suite briser les liens familiaux.

Dans chacun de ses trois films, Sean Durkin représente une figure paternelle source de tensions au sein de la famille

#icfdi

#MarthaMarcyMayMarlene/#TheNest/#IronClaw

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La Famille von Erich dans #IronClaw , conditionnée a participer au sport familial par l'emprise d'une figure paternelle, Rappelant l'emprise du gourou dans le premier film de Sean Durkin #MarthaMarcyMayMarlene
#icfdi

Kevin désormais père bafoue les codes paternels traditionnels des années 80 en pleurant devant ses fils qui paradoxalement l'éduque sur la banalité d'exprimer ses émotions. On retrouve cette plume scénographique dans #TheNEST où dans une scène finale le père avoue la vérité à sa famille et pleure.

Dans la scene final de #IronClaw Kevin et ses enfants joue non pas au catch mais au #FootBallUS comme avec ses frères par le passé ainsi acceptant ses fils comme "nouveaux frères"

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Cette relation entre le père et ses fils crée par la suite des tensions entre les frères, mais aussi une pression, où ils se sentent dans l'obligation de réussir et donc de se dépasser entre eux. Ainsi, #Fritz met ses fils dans une cage dans laquelle il a le contrôle absolu

"But the rankings can always change" : cette phrase prononcée par le père nous fait comprendre que si un autre fils dépasse #Kerry, il deviendra le fils préféré de #Fritz. La mentalité de ce dernier nous explique le fardeau de ses fils, qui essayent de le rendre fier par le catch, malgré la pression