Elle rappelle que les arbitrages budgétaires ne sauraient primer sur l’étude des vestiges lorsqu’ils sont menacés par les aménagements.

Au-delà du constat, cette lecture invite à replacer des dossiers locaux (Valence, parvis de la cathédrale ; déviation de Saint-Péray) dans le cadre juridique et scientifique qui régit nos pratiques : diagnostic, fouille, et diffusion des connaissances, sous l’autorité scientifique de l’État.

Droit de retrait, maintenant : nos vies, nos collègues d’abord !

Nous veillerons également à ce qu’aucun chantier de construction ne soit engagé en force par des décideurs politiques s’affranchissant des lois tant que les recherches d’archéologie préventive n’auront pas été menées à leur terme en toute sécurité.