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@aperoinitiative.bsky.social
"La fiction dans le réel"
#APEROCity #Aperolaise #Aperolais
🧩 7. Ce que la classe politico-médiatique devrait dire au public :

L’État français ne prélève pas 50 % du PIB mais plutôt 40 %.

Il ne dépense pas 50 % du PIB mais plutôt 40 %.

Et les comparaisons sont biaisées parce que chaque pays compte sa bière différemment.

A diffuser sans modération

#APERO
November 21, 2025 at 4:49 PM
l’un sans mousse,
l’autre sans les verres gratuits,
l’autre sans les bières distribuées hors comptoir.

Ce n’est pas la même unité de mesure.

Donc oui, la France apparaît “plus dépensière”, “plus taxatrice”, “plus lourde”… Mais c’est en partie un mirage comptable, pas une réalité objective.

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November 21, 2025 at 4:49 PM
🍺 6. La conclusion que personne n’explique : la France n’est pas “plus dépensière”

Elle compte plus largement.
Elle compte la mousse.
Elle compte la bière non servie.
Elle compte la bière qu’elle aurait pu verser mais n’a pas versée.

Et elle compare ce mélange à des pays qui, eux, comptent :

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November 21, 2025 at 4:49 PM
🇺🇸 États-Unis : comptent le verre… mais pas le prix du bar

• Dépenses publiques calculées très bas.
• Mais les Américains dépensent une fortune en assurances privées, retraites privées, santé privée.

-> L’État paraît mince, mais la facture globale est énorme.

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November 21, 2025 at 4:49 PM
🇬🇧 Angleterre : peu de bière servie… mais beaucoup de bière vendue à côté

• Cotisations sociales faibles.
• Privatisation d’une grande part des services publics.

-> Leur pichet public est petit, mais les gens paient énormément en privé.

Ça semble plus “léger” mais la bière est payée ailleurs.

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November 21, 2025 at 4:49 PM
🇩🇪 Allemagne : un service plus sec et plus net

• Peu de niches.
• Moins de dépenses fiscales ajoutées aux dépenses publiques.

-> Leur litre ressemble plus à 0,9 L réel.

La France, elle, continue à annoncer 1 L quand elle en sert 0,8.

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November 21, 2025 at 4:49 PM
🇸🇪 🇩🇰 Suède / Danemark : eux, c’est “bière sans mousse”

• Peu d’exonérations, peu de crédits d’impôt.
• Comptabilités plus simples.
• Quand ils disent “50 % du PIB”, c’est beaucoup plus proche de la réalité.

-> Leur 1 L est un vrai litre.

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November 21, 2025 at 4:49 PM
🍺🌍 5. Comparaison internationale : tout le monde ne compte pas la mousse

Et c’est là que ça devient savoureux.
Parce qu’on compare la France à d’autres pays… qui ne comptent pas du tout la bière de la même manière.

🇸🇪 🇩🇰 Suède / Danemark
🇩🇪 Allemagne
🇬🇧 Angleterre
🇺🇸 États-Unis

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November 21, 2025 at 4:49 PM
🍺 4. Résultat français : un double mirage à 100 cl / 100 cl

Pour une seule mesure (20 cl non prélevés), la France :

• ne retire pas ces 20 cl du total des recettes annoncées,
• ajoute ces 20 cl dans ses dépenses affichées.

La France affiche donc un État plus gros qu’il ne l’est.

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November 21, 2025 at 4:49 PM
🍺 3. Deuxième biais : les dépenses incluent… de la bière jamais servie

Côté dépenses, c’est pire.

Les exonérations fiscales — c’est-à-dire la mousse non versée — sont comptées comme des “dépenses” dans la comptabilité budgétaire.

-> Les dépenses : 100 cl annoncés, 80 cl réels.

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November 21, 2025 at 4:49 PM
🍺 2. Premier biais : les recettes annoncées sont “avec la mousse”

C’est comme si l’État se servait un verre et comptait la mousse comme de la bière.

Ainsi, il annonce :
“J’ai prélevé 100 cl !”
En réalité, il ne boit que 80 cl.

-> Les recettes : 100 cl annoncés, 80 cl réels.

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November 21, 2025 at 4:49 PM
🍺 1. Le PIB, c’est un pichet de 2 litres.

Pour comprendre la taille de l’État, on rapporte toujours ses recettes et ses dépenses au PIB.

Imagine donc le PIB comme un énorme pichet de 2 L de bière.

C’est la base, la richesse produite dans l’année.

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November 21, 2025 at 4:49 PM
8/ On traite une crise de sens, d’inégalités et de transition écologique avec des réponses comptables.

Si on veut que les jeunes « reviennent » vers le travail, il faudra d’abord que le travail revienne vers eux : sens, justice, horizon.

C’est là que tout commence.
#APEROInitiative
November 13, 2025 at 5:40 AM
7/ L’angle mort du débat, c’est la revalorisation du travail lui-même :

– salaires dignes
– conditions modernes
– formation continue réelle
– management humain
– partage de la valeur

On ne réconciliera pas une génération avec le travail sans ça.
November 13, 2025 at 5:40 AM
6/ Quand on recule l’âge de départ sans stratégie sérieuse d’emploi des seniors, on prend un risque simple :

des postes bloqués plus longtemps
→ moins d’entrées pour les jeunes
→ pression sur le chômage.

Ce n’est pas de la magie, c’est de la mécanique.
November 13, 2025 at 5:40 AM
5/ Face au papy boom, la réponse dominante a été :
– travailler plus longtemps
– réduire les droits
– serrer les budgets

C’est cohérent pour un tableau Excel.
Beaucoup moins pour une société fracturée, déjà en perte de sens.
November 13, 2025 at 5:40 AM
4/ Beaucoup ont le sentiment de « travailler pour alimenter la machine », pas pour vivre dignement.

Qu’on juge ce ressenti exagéré ou non ne change rien :
c’est lui qui oriente les choix de carrière, la loyauté, l’engagement… ou le refus du jeu.
November 13, 2025 at 5:40 AM
3/ La productivité a explosé en 30 ans.
Les salaires, beaucoup moins.
Les dividendes, eux, s’envolent.

Les jeunes n’ont pas lu tout Marx, ils ont juste compris que la valeur part ailleurs.

Le deal travail ↔ rémunération ↔ sécurité leur semble déséquilibré.
November 13, 2025 at 5:40 AM
2/ Les jeunes ne « manquent pas de sens des responsabilités ».
Ils voient venir :
– climat abîmé
– conflits qui montent
– économie instable

Travailler toute une vie pour nourrir un système qui fonce dans le mur, c’est vécu comme une dissonance totale.
November 13, 2025 at 5:40 AM
1/ Le vieux contrat social disait :
tu travailles → tu progresses → tu deviens propriétaire.

Aujourd’hui :
tu travailles → tu payes un loyer délirant → tu t’épuises → tu ne construis rien.

Quand la promesse s’effondre, la motivation suit.
November 13, 2025 at 5:40 AM