(4/4) En 1874, il publie “Protection of Animals”, un ouvrage sur la condition animale en son temps, puis, en 1884, “Autobiographical Sketches and Personal Recollections”, qui retrace sa vie et ses réalisations en tant qu’avocat et militant.

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(3/4) Son engagement l’amènera à créer la Massachusetts Society for the Prevention of Cruelty to Animals (MSPCA) en 1868, ainsi qu’à diriger l’American Social Science Association.

(2/4) C’est en assistant en 1866 à la mort par épuisement de deux chevaux de course qu’il décide de s’engager dans la cause animale, avec une détermination qui demeurera intacte toute sa vie.

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(4/5) En 2020, il fait également partie des premiers établissements à obtenir une étoile verte Michelin, une nouvelle distinction créée cette année-là pour mettre en avant la gastronomie durable.

(3/5) Grâce à son menu gastronomique axé sur la saisonnalité des produits et l’élégance des dressages, Joia devient en 1996, le premier restaurant végétarien à obtenir une étoile Michelin.

(2/5) Contraction des termes anglais "joy" et italien "gioia", signifiant tous deux "joie", Joia propose depuis ses débuts une cuisine raffinée et minimaliste à la pointe du mouvement de la "cuisine naturelle".

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(2/3) La définition est accompagnée d’exemples d’utilisation, dont deux tirés du livre “Victims of Science: The Use of Animals in Research” publié en 1975 par le psychologue Richard D. Ryder, pionnier des questionnements éthiques sur notre traitement des animaux et créateur du terme “spécisme”.

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(4/5) Cette dégustation a marqué un tournant dans le développement et la perception de la viande cultivée ; révolution alimentaire conciliant innovation technologique, durabilité et éthique animale.

(3/5) Le steak de 142 grammes, dont le coût de production est estimé à plus de 250 000 euros, a été dégusté et commenté en direct par la chercheuse Hanni Rützler et le journaliste Josh Schonwald, tous deux spécialistes des tendances alimentaires.

(2/5) La viande cultivée est issue de cellules animales prélevées sans abattage, puis "cultivées" dans un environnement contrôlé qui reproduit les conditions naturelles du corps.

Ce procédé permet d’obtenir de véritables tissus (muscle, foie, etc.) identiques à la viande traditionnelle.

(3/3) Cette citation tirée de ses "Mémoires" montre que Louise Michel percevait déjà que toutes les violences puisent à la même source, avant de se propager de victime en victime, toutes prises dans des mécanismes de domination qui se renforcent mutuellement.

(2/3) On sait aujourd’hui que les individus adhérant le plus fortement à l’idéologie spéciste sont également ceux adhérant le plus aux préjugés racistes et sexistes, ainsi qu’aux idéologies autoritaires et suprémacistes.

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(4/4) En 1789, Jeremy Bentham reprendra presque mot pour mot l’intuition rousseauiste en affirmant dans une formule restée célèbre : "La question n’est pas : peuvent-ils raisonner ? ni : peuvent-ils parler ? mais : peuvent-ils souffrir ?".

(3/4) Par ce déplacement décisif, la frontière morale cesse de reposer sur l’intelligence ou la raison pour se fonder sur la capacité à éprouver de la douleur et du plaisir.

Cette idée marquera la pensée des Lumières et inspirera Voltaire et d’autres philosophes sensibles à la question animale.

(2/4) Alors que la tradition philosophique s'attachait à rechercher un "propre de l’homme" destiné à légitimer une prétendue supériorité sur les autres animaux, Rousseau interroge ce que l’être humain partage avec eux : la sensibilité.