Est-il devenu extravagant de penser qu’analyser, questionner, interpréter, pratiquer le doute méthodique — bref, réfléchir — puisse encore être utile à la prise de décision collective ? » [7/7]

Chemin faisant, Mario Dumont décrète, sans se gêner, que ces gens-là « sont des clowns ».
Comment expliquer que les gens perdent à ce point les pédales lorsqu’il est juste question de se déplacer ? [6/7]

Pour lui, affirmer que les pistes cyclables permettent de désengorger les villes au point de profiter aux automobiles est de la pure bêtise. C’est tout. Les gens qui affirment le contraire, dit Mario Dumont, « doivent mettre au plus vite leur diplôme dans des déchiqueteuses ». [5/7]

Et comment Mario Dumont remet-il en cause les analyses d’experts comme Catherine Morency, titulaire de la Chaire Mobilité de Polytechnique Montréal ? En bredouillant une suite d’objections attachées aux seuls nuages de ses impressions. [4/7]

Prenez le cas de Mario Dumont, figure de proue de l’empire médiatique Québecor. Cet ancien chef de l’ADQ, ce parti aujourd’hui fondu avec celui de François Legault, ne croit pas un instant aux études démontrant les bénéfices sociaux globaux du vélo. [3/7]

Dans le confort de leurs autos, ils sont nombreux ceux qui croient, sans se donner la peine d’éprouver le contraire par la pratique, qu’il est impossible de se déplacer convenablement autrement qu’ils ne le font. De quoi susciter en eux un curieux mépris. [2/7]

Ce projet me réjouit énormément ! Un grand merci aux équipes dévouées du Service des grands parcs et du Mont-Royal qui ont rendu cette belle initiative possible. [5/5]