Marseillologie
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Car nous pensons en toute mauvaise foi patin couffin
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Le starter pack de marseillologie qui va bien.

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Instabilité à Paris, galapia à Marseille, comme on dit.

via #Pointue ⛵️
La photo d’illustration qui date de 2019 parce que personne ne les a littéralement jamais vu·e·s dans la même pièce depuis (et personne qui regarde dans la même direction).

Mes écolos sûr·e·s.
À la une | Les Écologistes choisissent leur chef de file pour les municipales sur fond de psychodrame
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Il est essentiel, chacun·e en conviendra, que nous puissions consulter cette photo.
En hommage à qui on expose quoi ?
Au Mucem, la guillotine exposée en hommage au combat de Robert Badinter contre la peine de mort
Au Mucem, la guillotine exposée en hommage au combat de Robert Badinter contre la peine de mort
Par AFP © 2025 AFP A l'occasion de l'entrée au Panthéon de Robert Badinter, une guillotine sera exposée à partir du 9 octobre au coeur de l'emblématique Mucem à Marseille, pour témoigner de ce qu'était la peine capitale abolie en 1981 sous l'impulsion de l'ancien garde des Sceaux. Faite de bois et de métal, la machine à décapiter, 4 mètres 50 de haut et 800 kilos, trône seule au centre d'une pièce de l'exposition permanente du musée, attendant l'arrivée des premiers visiteurs. Juste à côté, des extraits du célèbre plaidoyer de Robert Badinter du 17 septembre 1981 sont inscrites, dont l'un rappelle que "la France aura été, en dépit de tant d'efforts courageux, l'un des derniers pays à abolir la peine de mort". C'est à l'ancien ministre de la Justice que l'on doit la conservation de ce "monstre" au Mucem. Un an après avoir mis fin à la peine capitale, il proposait d'intégrer la guillotine aux collections nationales. A une seule condition: elle ne pourrait être exposée avant l'an 2000. Fichier vidéo Aujourd'hui, l'exposition de cette machine construite en 1872 s'inscrit dans la mission du Mucem de "conserver des traces des grandes avancées sociales et sociétales", selon son président Pierre-Olivier Costa. "Nous souhaitons faire rentrer dans le patrimoine commun un objet qui n'aura plus jamais aucun usage". Depuis l'abolition de la peine de mort, le grand public a pu observer une guillotine à trois reprises: lors d'une exposition au musée d'Orsay en 2010, mais sous un voile, et deux fois à Marseille, à l'ouverture du Mucem en 2013 et à la prison des Baumettes en 2019. Invention française de la fin du 18e siècle, la guillotine a été surnommée de nombreuses façons au cours de son histoire, comme le "Rasoir national", la "Veuve", ou encore la "Raccourcisseuse patriotique". Mais son nom original vient de Joseph-Ignace Guillotin, qui l'a fait adopter comme mode unique d'exécution capitale. Sa lame tranchante a marqué de son ombre les places publiques tout au long du 19e siècle, jusqu'en 1939 où son usage a été réservé à l'espace clos des prisons. Aujourd'hui, son "mécanisme (...) est volontairement bloqué pour des raisons de conservation et de sécurité", souligne le Mucem.
information.tv5monde.com
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Lu dans @lemonde.fr cette phrase totalement marseillologique que je dédie à la Canebière Académie :
"il n’est pas exclu que l’irrationalité marseillaise accouche d’un exercice exceptionnel".
@blaah.bsky.social @marseillologie.bsky.social
« Je suis venu pour ça : battre Paris. Parce qu’ils sont plus forts. Parce que Paris, c’est le pouvoir. Et le pouvoir, j’aime pas ça. »

Accrochez-moi ça au MuCEM.
Est-ce qu’on la flemme d’avance et pourquoi rien ne nous échappera.
Mis à part une grosse crise d'hubris ou un manque patent de sens politique, je ne comprends pas pourquoi Martine Vassal se lance dans la galère des municipales pour la droite. Si on regarde ça lucidement, son équation est impossible.
Heureusement, son équipe de com pourra se consoler avec cette Une de La Provence, toute entière consacrée à ce tournant.
Dans la signature de la candidature de Titoune, le M est grand et stylisé. Cela signale l’affirmation de soi, l’ambition, mais aussi une tendance à l’autoritarisme et à la vanité et reflète le désir de s’imposer, voire d’embellir son image ou ses actions pour impressionner autrui.
Si le jambage central est plus haut, cela indique la recherche des honneurs, tandis qu’un jambage central moins élevé signale une insatisfaction ou un sentiment de mécontentement. Quand la taille des jambages augmente progressivement, cela traduit de l’ambition.
Le premier jambage représente la personne elle-même ; s’il est plus haut, cela traduirait un désir d’être remarqué ou approuvé. Le troisième jambage plus élevé symbolise l’ambition, la force et le désir de s’élever.
En graphologie, la lettre M majuscule est traditionnellement considérée comme la « lettre sociale ». Chaque jambage du M a son interprétation, figurez-vous.
D'accord, mais on peut parler de cette manière de former les "M" ? #marseillographologue
D’accord mais avec une autre coupe de cheveux alors.
Le préfet des Bouches-du-Rhône nouvelle recrue du FC Nouvelle Calédonie
🔔here we go
On a pensé à placer Martine Vassal sur la liste des transferts afin de protéger l'institution face à ces révélations inouïes ? Tant, Galatasaray pourrait se montrer intéressé.
Quelqu’un d’abonné·e au nouvel obs par ici ?
Le rassemblement inédit des policiers
Plusse de policiers
Plusse des moyens
Plusse sans précédent

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