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cinémancienne sourde n/b, comme toujours
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[Soupirs] Ça me manque de m’incruster à la BPI du Centre Pompidou, feuilleter les journaux, lire les articles. Le savoir à portée de main, pas derrière un paywall.
En ce moment, il y a tellement d’expos à voir que je n’arrive plus à choisir. Même au hasard, je bloque. Alors je me laisse un peu porter... et j'attends que le destin me pousse jusqu'à celle qu’il faut voir.
Sur le même thème, je recommande cet article éclairant de Médiapi, média où l’information est produite par des journalistes sourds : « Sourds en prison : les barrières à la communication et leurs conséquences » urlr.me/TzmVPc
Quelqu'un aurait-il la gentillesse de m'offrir cet article ? : « C’est un isolement dans l’isolement » : en prison ou devant la justice, les personnes sourdes à la peine. @liberation.fr urlr.me/8evAhH
Faut se rendre à l’évidence, Roselyne. Tout le monde n’a pas le bagage culturel pour rester une heure devant une œuvre, la médiation le permet rarement, et la plupart des gens ne peuvent pas revenir voir une expo pour des raisons d’argent, de temps, de distance ou simplement d’envie.
Mon cerveau : Elle dit qu'elle sait apprécier l’art, et que tous les autres ben.. ce sont des ploucs qui polluent l’espace muséal, et qu'elle pense que les Caravage, Rothko, ils devraient être dans sa salle de séjour, parce que les bouseux, ils savent pas apprécier.
Ensuite, elle explique qu’il faut s’installer, regarder l'œuvre, la voir évoluer selon les angles où on la regarde. Qu'elle peut rester une heure devant un Rothko ou un Caravage. Oui, une heure... et j’ai failli m’étouffer avec mon verre d'eau.
Roselyne Bachelot m’a presque fait avaler de travers quand elle a dit qu'elle limite sa visite à 5 œuvres dans un musée, et qu'elle est effarée devant ces personnes qui déambulent dans une expo comme si ils étaient sur un quai de métro...
Pause déjeuner devant LGGF (La Grande Galerie Francophone), la nouvelle émission culturelle "branchée art contemporain" sur @tv5monde.bsky.social. On me l’avait recommandée, et je commence à comprendre pourquoi. urlr.me/GD2geV
Amateurs de photographie et de mystères : secrets des Kodak Vest Pocket, fausses pistes, rebondissements, énigmes à tiroirs… Tout est là pour vous captiver. Une enquête mi-fiction mi-réalité qui vous accroche du début à la fin. 6/6
À travers Charlie Châtel, alpiniste chamoniard, l’auteur critique la disneylandisation (du Mont Blanc et) de l’Himalaya : « L’Everest ne m’attire plus depuis qu’il est devenu un produit de consommation courante… Je n’ai pas voulu grossir les rangs de ses fourmis multicolores. » 5/6
On y découvre la compétition entre expéditions, la pression politique, les équipements rudimentaires, la dimension impérialiste, l’inexpérience de certains grimpeurs, le mépris des locaux et l’excentricité coloniale. 4/6
Ce roman mêle thriller, documentaire et aventure. Il retrace non seulement l’expédition britannique de 1924 mais aussi l’histoire de la conquête de l’Everest, avec des descriptions immersives et bien documentées. 3/6
Charlie Châtel, ex-avocat devenu guide de haute montagne, est missionné par un milliardaire pour retrouver le Kodak Vest Pocket que portaient Georges Mallory et Andrew Sandy Irvine lors de leur expédition de 1924. La pellicule pourrait enfin révéler s’ils ont été les premiers au sommet du monde. 2/6
Envie d’aventures intenses et de paysages à couper le souffle ? Ce cold case vous emmène sur les cimes du Devadhunga, rebaptisé « Everest » en hommage à Georges Everest (pas sympa pour les locaux), l’un des premiers cartographes du plus haut sommet du monde au XIXe siècle. 1/6
Fin de lecture. Kodak Everest Pocket. Nicolas Le Nen.
Bravo à moi qui ait réussi à prendre deux places pour la conférence SPL à IVT, jeudi 13 novembre à 19h. Pétronille Lemenuel Fonbonne y parlera du syndrome de privation langagière. urlr.me/Mnzwp5
Ça y est c'est le week-end !!!
Ma journée a été bénie par cette vidéo — visite de l’expo NSPJTPH avec Sophie Duplaix, traduite en LSF par Aliza M’Sika — qui m’a fait découvrir les noms signés : Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten. urlr.me/AGU3bN
Ce matin, en arrivant au bureau, on découvre un sachet en kraft posé sur une table et un post-it jaune : « Pour [...] !!! ». À l’intérieur : un champignon énorme. Silence général. Personne ne sait d’où il vient, ni pourquoi il a été offert.
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Restons quand même vigilants : pour l’instant, seul le concours externe est ouvert, les concours interne et 3e voie ne le sont pas, et on ne connaît toujours pas le nombre de postes créés.
Le logo Tokyo 2025 Deaflympics me rappelle le Centre Pompidou. Forcément, ça réveille un peu la nostalgie : je n’y suis plus, mais ces couleurs me replongent instantanément là-bas. urlr.me/BZn8RC