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Msaidié : « Nous nous préparons méticuleusement à rééditer le GWA NDZIMA pour 2029 » #Tribunelibre Cliquez sur l'image
Msaidié : « Nous nous préparons méticuleusement à rééditer le GWA NDZIMA pour 2029 »
Notre ami l’ancien député et membre pendant 6 ans de la CENI m’a interpellé hier sur la transparence des élections dans notre pays et mon fameux slogan de « gwa ndzima ». Effectivement il y a lieu d’aborder le sujet tant il est devenu subjectivement passionnel. Comme tout le monde le sait les élections relèvent purement et simplement du rapport de force, réguler par des textes et par la mobilisation effective des hommes et des femmes. Il va sans dire que gagne les élections celui ou celle qui a su mobiliser les hommes et le les femmes tout au long du processus électoral. Alors Monsieur Latuf la transparence exige des acteurs d’être à la hauteur de l’enjeu. Et l’enjeu de départ c’est comme tout le monde le sait les moyens de faire campagne. Elles se constituent des ressources humaines et financières. Malheureusement pour les uns et heureusement pour les autres les deux instruments stratégiques pour relever le défi manquaient cruellement à l’appel pour 99,98% des candidats de l’opposition. La preuve palpable a été donnée par l’impossibilité d’organiser ne serait ce qu’un meeting à l’exception de trois d’entre eux dans ce qu’ils considéraient comme étant leur fief. L’autre preuve de ce mwendo wa nkanrobwe est le fait qu’à la veille du scrutin la plupart d’entre eux,pour ne pas dire tous,était à la recherche de leurs représentants dans les bureaux de vote. Comment alors Bwana Latuf Mtukufu prétendre dans ces conditions gagner une élection à moins de faire appel au miracle de l’enfant Jésus? Cher Latuf compte tenu de votre expertise de 6 ans à la CENI vous avez le devoir de nous dire ce qui fait défaut dans nos textes électoraux pour mieux aborder l’échéance de 2029. Personnellement je sais que les textes ne sont pas à blâmer ou pour si peu. Par contre il de notre devoir à tous de faire le procès des partis politiques et des candidats libres qui participent aux élections. En effet une élection est plus qu’un match de football. L’entraînement est permanent pour pouvoir choisir les meilleurs candidats y compris en ayant recours à des sondages. Il faut aussi avoir une base militante aguerrie dans toutes les circonscriptions et bien évidemment il faut avoir les moyens financiers. Si tout cela n’est pas disponible alors il ne faut pas s’étonner si l’autre partie qui s’est bien préparée gagne dès le premier tour, donc GWA DZIMA. Monsieur Latuf vous et vos autres amis vous êtes très loin d’être prêt pour 2029 et nous dans la CRC nous nous préparons méticuleusement à rééditer le GWA NDZIMA pour 2029. Houmed Msaidie© « Copyright » Habarizacomores.com– www.habarizacomores.com
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Notre frère Tadjidine est décédé dans un tragique incendie #Tribunelibre Cliquez sur l'image
Notre frère Tadjidine est décédé dans un tragique incendie
Un drame s’est produit à Oichili Ce vendredi 24 octobre à 23h à Itsinkoudi, notre frère Tadjidine âgé de 50 ans est décédé dans un tragique incendie. Ses parents ont pu être sauvé grâce au courage de la jeunesse et des responsables villageois. L’incendie s’est déclaré vers 21h et a été maitrisé à 23h. Contactés par des responsables locaux, les services de secours comoriens ont mis 2h de temps pour arriver sur les lieux, vu la distance Oichili-Moroni et l'etat de la route qui n'a pas facilité leur tâche. Arrivés sur place, il était déjà trop tard. Ce type d'incendie se produit quotidiennement dans le pays, Si l’urgence est d'organiser les funérailles, venir en aide aux familles endeuillées, mais face à ce type d' incendie d'une d'extrême violence, il nous faut dès maintenant tirer les leçons, penser au jour d’après en mettant en place des services de secours bien équipées proches des lieux d'habitation dans tout le territoire national pour sauver des vies. Notre honorable diaspora en a fait beaucoup dans notre pays, mtsi lemewé na mdzo hitsoi, on vous sollicite à nouveau pour mettre en place des équipes bien formées et bien équipées dans des centres de secours et d'interventions rapides dans nos régions pour sauver des vies. Qu'Allah donne la force et la patience à ses proches d'affronter cette douloureuse épreuve. Par Mohamed Salim© « Copyright » Habarizacomores.com– www.habarizacomores.com
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Hôpital - El Maarouf : Lentement et surement #Tribunelibre Cliquez sur l'image
Hôpital - El Maarouf : Lentement et surement
Une Vision pour la république ! Hôpital - El Maarouf : Lentement et surement Partant de loin et surtout dans une trajectoire sinusoidale, son excellence le Président Imam Azali Assoumani Boinaheri est conscient du chemin à parcourir pour les Comores émergents. Le schéma du visionnaire et sa stratégie politico-économique et diplomatique à l'ombre de la machine diplomatique de nôtre pays donnent au peuple comorien une clarté pour voir en grand et dans une perspective d'avenir pour le développement de notre pays. Le président Imam Azali Assoumani Boinaheri conjugue intelligence, stratégie et expérience dans ce monde moderne où le repli sur soi fait l'option stratégique de grandes puissances pour ne voir qu'à eux et de mieux préserver leurs intérêts. Ce qui est remarquablement, la machine diplomatique comorienne est en marche, la communauté internationale crédite le schéma des Comores émergents, valide et finance partout nos projets du développement, félicite nôtre pays et nous accompagne dans cette démarche de grandeur pour une endurance vers l'émergence. Lentement et surement, dans une telle démarche, les avis sont naturellement et démocratiquement partagés. Les uns sont dans la traditionnelle immobilisme et les autres dans l'analyse de la conjoncture et de paramètres, exploitent les données économiques et élaborent des indicateurs pour que le jargon économique soit en adéquation à la conjoncture politico-économique internationale pour en tirer profit. Peuple comorien, l'histoire nous enseigne davantage, nous regrettons tous de ne pas soutenir à l'unanimité l'action et l'idéologie du père de la révolution Comorienne, le feu- président Ali Soilihi Mtsachioi. Aujourd'hui, nous avons, son excellence le président Imam Azali Assoumani avec une vision, de projets de développement et une stratégie pour la grandeur et le développement de nôtre chère Nation. Salama Yatru Ndejema Abdou Mohamed Abdou© « Copyright » Habarizacomores.com– www.habarizacomores.com
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Affaire gouverneur Ibrahim Mze : Le communiqué de la CRC confirme les doutes ! #Tribunelibre Cliquez sur l'image
Affaire gouverneur Ibrahim Mze : Le communiqué de la CRC confirme les doutes !
Est-ce la seule voie indiquée et républicaine ? Est-ce l’unique moyen démocratique, politique voire institutionnel de réaction ? N’est-ce pas une forme supplémentaire d’isolement politique de l’intéressé ? Pour quels motifs le « démenti » ne serait pas venu de la part du concerné ? N’est-ce donc pas une preuve de plus susceptible d’attester au besoin qu’il ne jouit pas de manière effective de liberté d’action et de gestion ? Pourrait-on, dans ce climat, déduire qu’il en a été privé, de réaction directe ? Interdit de parole ? Défaut de confiance ? Méfiance qui s’installe progressivement ? Dans ces conditions, quelle cause supérieure à la vie publique nationale aurait empêché le Gouvernorat, à travers son service de communication politique ou de presse, à publier un communiqué conjoint avec le Ministère en charge des Relations avec les Institutions d’apporter, le cas échéant, ledit « démenti » officiel. Chacun de deux exécutifs compte un porte parole. Il doit pouvoir animer le périmètre de la vie institutionnelle et constitutionnelle qui l’entoure. Il y concourt, à priori. Il convient de souligner que la question touche un Élu investi de charges et prérogatives d’Etat. Il aurait été approprié qu’il puisse librement réagir, confirmer ou démentir ce dont il s’agit. Quelle nécessité, quel besoin offre , donne, accorde la primauté à une formation politique, issu du régime soit-elle, de se substituer aux institutions en place. Le parti répond officiellement à la place du pouvoir ? Du régime ? Est-ce sa vocation ? Son rôle ? Sa finalité ? Elle a certes la légitimité de commenter les problématiques touchant ou régissant la vie politique dans son ensemble mais dans le cas d’espèce la parole revenait sans doute prioritairement aux concernés. Ce type de mélange, ce genre n’augure rien de véritablement rassurant. Il présage un climat institutionnel d’antan. Est-ce un message envoyé aux restes des Gouverneurs. Celui d’Anjouan vient de procéder à un remaniement de son Exécutif, pour autant le même Parti s’est abstenu de faire une déclaration quelconque. Dans ce même cadre, assistons nous donc à une prise de contrôle de la vie institutionnelle par le parti à l’instar du PC chinois ?Wait and see ! Texte : Damed KamardineTitre et image : la rédaction© « Copyright » Habarizacomores.com– www.habarizacomores.com
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« Le Ministre des Finances a répondu aux questions de Me Mzimba avec précision, transparence et fermeté » #Tribunelibre Cliquez sur l'image
« Le Ministre des Finances a répondu aux questions de Me Mzimba avec précision, transparence et fermeté »
Séance de questions orales aux Membre de Gouvernement à l’Assemblée de l’Union des Comores : Le Ministre des Finances et du Secteur bancaire au service de la transparence financière Le jeudi 23 octobre 2025, l’Assemblée de l’Union des Comores a tenu une séance de questions orales consacrée au contrôle de l’action gouvernementale, un exercice fondamental dans toute démocratie. Plusieurs membres du gouvernement étaient invités à répondre aux interrogations des députés. Parmi eux, le Ministre des Finances et du Secteur bancaire, M. Ibrahim Mohamed Abdourazak, qui a répondu avec rigueur et clarté à une série de questions posées par l’Honorable Me Ibrahim Ali Mzimba, Président de la Commission des affaires étrangères de l’AUC. Les échanges ont porté sur un sujet important:  la réglementation du chèque, un des moyens de paiement les plus utilisés dans notre pays.  Certains observateurs ont salué la pertinence des questions posées par le député Mzimba, mais il faut reconnaître que le Ministre des Finances a su convaincre par la solidité de ses réponses, démontrant une volonté ferme de lutter contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme. Pour ma part, je souscris pleinement à la démarche engagée par le Ministre. Celle-ci vise à assécher les circuits de fraude, à priver les groupes criminels et les réseaux terroristes de tout espace financier susceptible de légitimer leurs activités. Le nouveau dispositif réglementaire adopté par le gouvernement s’inscrit dans une logique d’harmonisation complète des règles en matière de lutte contre le blanchiment. Sous notre législature, rappelons-le, une loi instituant une juridiction spéciale chargée des affaires de terrorisme et de son financement a été adoptée et promulguée. C’est une avancée majeure dans la consolidation de notre État de droit. Le Ministre des Finances n’a pas seulement répondu sur le fond ; il a appuyé ses propos sur des bases législatives et réglementaires précises, renforçant la crédibilité de son discours. À titre d’exemple, il a rappelé que : « Afin de favoriser l’inclusion financière, le décret n°05-105/PR du 28 novembre 2005 portant réglementation du chèque stipule dans son article 15 que le chèque est non endossable, sauf au profit d’un établissement de crédit ou d’un intermédiaire agréé. » De plus, la loi n°13-003/AU du 12 juin 2013 sur la réglementation des activités des institutions financières, ainsi que le décret n°15-026/PR du 3 mars 2015 relatif aux systèmes et moyens de paiement, encadrent strictement l’usage des chèques. Le règlement n°15/2015/BCC/DSBR de la Banque Centrale des Comores précise quant à lui que : « Les établissements teneurs de compte sont tenus d’émettre des chèques à barrement d’avance et intransmissibles par endossement, sauf au profit d’un établissement de crédit. » Ces mesures, loin d’interdire la pratique du chèque, visent avant tout à sécuriser les transactions, limiter les fraudes et renforcer la traçabilité des paiements, tout en modernisant notre système financier. S’agissant des transferts émis et reçus, le Ministre a rappelé que la Banque Centrale des Comores (BCC), en application du décret n°87/005 sur la réglementation de change, a fixé le plafond des transferts via les sociétés spécialisées à 1 million KMF. Tout transfert dépassant ce seuil doit obligatoirement passer par le canal bancaire, accompagné des justificatifs requis. Cette disposition a pour but de renforcer la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme, conformément aux standards internationaux. Quant aux transferts reçus de l’étranger, ils demeurent soumis aux réglementations des pays d’origine, ainsi qu’aux seuils techniques fixés par les opérateurs eux-mêmes, des paramètres que chacun peut aisément vérifier auprès des agences concernées. Entre autres mesures mises en place, la Digitalisation de la Monnaie renforce d’avantage cette politique de lutte contre le Blanchiment et c est ce que L’argentier a fait pour répondre à cette exigence sécuritaire d’une part, et d’autre part, faciliter les échanges par des méthodes bien sécurisées, sûres et moins coûteuses.  Oui, l’Honorable Me Mzimba était dans son rôle en posant ces questions légitimes. Mais force est de constater que le Ministre des Finances a répondu avec précision, transparence et fermeté, s’appuyant sur des textes solides et une vision claire de la gouvernance économique. Ces échanges démontrent parfaitement la vitalité démocratique de nos institutions et le souci partagé d’instaurer un cadre financier transparent et sécurisé, conforme aux normes internationales. Vive le débat démocratique et contradictoire. Maître BACO© « Copyright » Habarizacomores.com– www.habarizacomores.com
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L'Hypocrisie au Grand Jour : Quand l'architecte du pillage se fait censeur de la Nation ! #AnliYachourtu Cliquez sur l'image
L'Hypocrisie au Grand Jour : Quand l'architecte du pillage se fait censeur de la Nation !
L'Hypocrisie au Grand Jour : Quand l'architecte du pillage se fait censeur de la Nation ! L'enceinte solennelle de l'Assemblée, censée être le temple de la probité, a récemment été le théâtre d'une prestation oratoire sidérante. On a pu y entendre le député Ibrahim Ali Mzimba, pseudo-avocat, pseudo-opposant, mais véritable maestro de l'opportunisme, se draper dans la toge de l'intégrité pour dénoncer les maux qu'il a lui-même contribué à engendrer. L'Éloquence du Caméléon L'intervention portait, de manière technique, sur la nécessité de la transparence bancaire, la libre circulation des chèques et la dénonciation des investisseurs étrangers qui viennent « piller et disparaître ». Le discours, par endroits technique et prétendument rigoureux, semblait viser le Ministre présent, pointant du doigt un « étouffement économique et financier » orchestré par le gouvernement. Sieur Mzimba se permet même, avec une condescendance qui frise l'insulte à l'intelligence nationale, de rappeler que les lois, et même les Constitutions, ne sont pas « immuables comme le Coran », un parallèle audacieux visant à justifier la flexibilité réglementaire qu'il appelle de ses vœux. La Banque Centrale elle-même est interpellée : il exige qu'elle fonctionne « au gré des intérêts du pays, du peuple et des citoyens ». En apparence, une déclaration digne d'un tribun. La Contradiction Flagrante : Un Miroir d'indignité. C'est ici que l'art oratoire doit céder la place à la mémoire politique. Les peuples Comoriens, Anjouanais, Mohéliens ne sont ni amnésique ni une assemblée de « benêts incultes ». Qui donc est ce donneur de leçon ? Sieur Ibrahim Ali Mzimba a fait de la défense des entreprises étrangères éphémères et mafieuses sa spécialité lucrative. Sa réputation et sa carrière ne se sont-elles pas plutôt bâties sur sa capacité à légaliser le pillage ? Son rôle, en tant que conseil, consistait à défendre devant les tribunaux les projets foireux portant la signature de l'État comorien, permettant ainsi à des entités obscures d'endetter le pays avant de s'évaporer. Dénoncer aujourd'hui le « pilleur étranger » après avoir été son principal architecte de la défense légale et son plus fin connaisseur des failles du système, relève d'une schizophrénie politique ou d'un cynisme abyssal. Le Louvoyeur Politique : Son rôle de « taupe » au sein de la pseudo-opposition lors de la dernière farce électorale présidentielle où il a servi de directeur de campagne pour le parti JUWA avant de se déclarer ouvertement au service du régime sanguinaire d'Azali ne fait qu'accentuer son profil de traître à la nation. Il ne fonctionne qu'au gré de ses intérêts personnels, changeant de casaque avec la vélocité d'un opportuniste crasseux. L'Ethnocentrique Suprémaciste : Ses actions et prises de position passées, entachées d'un ethnocentrisme suprémaciste hégémonique à l'encontre des Anjouanais, contredisent l'image d'un défenseur de l'unité nationale et de l'intérêt général. Le Verdict de l'Histoire Ce discours n'est pas une dénonciation : c'est une stratégie de diversion. Sieur Mzimba tente de projeter sur d'autres les crimes économiques qu'il a lui-même orchestrés. Sa plaidoirie en faveur d'une meilleure gestion de la Banque Centrale ou d'une réglementation stricte n'est qu'un artifice rhétorique pour masquer sa propre implication dans la destruction du tissu économique national. Le véritable danger pour les Comores n'est pas seulement l'investisseur étranger, mais l'élite nationale corrompue et sans scrupule qui lui ouvre la porte. Sieur Mzimba est le parangon de cette caste : un opportuniste éloquent qui prend son peuple pour des ignorants, croyant que l'effet de l'instant effacera l'historique de sa félonie. Les Comoriens, qu'il traite avec tant de condescendance, savent qui est l'architecte du chaos et qui est le démolisseur de la souveraineté économique. L'histoire, à défaut de la justice actuelle, ne sera pas dupe de cette performance théâtrale, mais gravera son nom parmi les plus grands traîtres de la nation. L'Urgence d'une Refondation : Vers le modèle Confédéral Face à l'indignité de ces élites louvoyantes, qui exploitent les failles d'un État centralisé pour s'enrichir et semer la discorde, la seule réponse viable n'est pas la simple indignation, mais la refondation institutionnelle. Le spectacle de l'hypocrisie d’Ibrahim Ali Mzimba n'est que le symptôme criant d'un système à bout de souffle. Pour un pays archipélagique comme les Comores, où la cohésion et la justice se jouent sur la reconnaissance des spécificités insulaires, la solution réside dans l'instauration d'une Confédération véritable. Ce modèle, le seul adapté à notre géographie et à notre histoire, permettrait : D'équilibrer les pouvoirs et de distribuer de manière équitable les ressources et les responsabilités entre les îles. D'ériger des contre-pouvoirs locaux solides qui rendraient impossible la mainmise totale d'une clique basée à Moroni sur les richesses nationales. De cimenter la concorde en faisant de la diversité insulaire une force institutionnelle plutôt qu'une source permanente de tension. L'heure n'est plus aux accommodements avec les traîtres ni aux critiques stériles. Elle est à l'appel solennel et unanime pour une nouvelle Assise Nationale de Refondation, qui enterre définitivement les pratiques oligarchiques du centralisme d’État qui ne profite qu’à des groupuscules de véreux. Elle seule permettra de rétablir la souveraineté des peuples dans toutes ses composantes Anjouan, Mohéli, et Ngazidja-Comore unies dans la diversité et la dignité. L'heure est à l'appel solennel et unanime pour une nouvelle Assise Nationale de Refondation, qui enterre définitivement les pratiques oligarchiques du centralisme. Seule une structure confédérale robuste mettra hors d'état de nuire ces opportunistes et garantira que la souveraineté économique et politique serve enfin l'intégralité du peuple comorien. C'est le prix de notre survie et de notre dignité. Finir l'ère des vautours : la Confédération, rempart de notre Dignité ! Vive la Confédération des Comores Souveraines ! Anli Yachourtu JAFFAR24 octobre 2025© « Copyright » Habarizacomores.com– www.habarizacomores.com
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