« Quand nos corps auront terminé de s’apprivoiser avec gourmandise, j’espère que nous saurons prendre soin de nos solitudes blessées et bâtir une nouvelle histoire libérée des fantômes du passé. » Benjamin Knobil, Le Train des gueules cassées, Lausanne 2025, p 436
April 16, 2025 at 4:07 PM
« Quand nos corps auront terminé de s’apprivoiser avec gourmandise, j’espère que nous saurons prendre soin de nos solitudes blessées et bâtir une nouvelle histoire libérée des fantômes du passé. » Benjamin Knobil, Le Train des gueules cassées, Lausanne 2025, p 436
« Je crois que tu es la plus belle personne au monde, poursuivit Eliza. La plus douce. La plus délicate. Tout en toi me bouleverse. » Metin Arditi, Le Danseur oriental, Paris 2025, p332
March 24, 2025 at 8:59 PM
« Je crois que tu es la plus belle personne au monde, poursuivit Eliza. La plus douce. La plus délicate. Tout en toi me bouleverse. » Metin Arditi, Le Danseur oriental, Paris 2025, p332
« François sourit. Il se sentait bien, il était heureux d’être la fierté de cette femme éblouissante. » Pierre Lemaître, Un avenir radieux, Paris 2025, p 142
February 10, 2025 at 4:31 PM
« François sourit. Il se sentait bien, il était heureux d’être la fierté de cette femme éblouissante. » Pierre Lemaître, Un avenir radieux, Paris 2025, p 142
« Il s’imaginait une vie où il aurait le temps de lire tous ces livres, une vie qui n’aurait pas d’autre but que de pénétrer l’âme des autres et où les voyages seraient immobiles. » Leila Slimani, J’emporterai le feu, Paris 2025, p198
January 30, 2025 at 5:58 AM
« Il s’imaginait une vie où il aurait le temps de lire tous ces livres, une vie qui n’aurait pas d’autre but que de pénétrer l’âme des autres et où les voyages seraient immobiles. » Leila Slimani, J’emporterai le feu, Paris 2025, p198
« Elle écoutait avec délectation celle qu’un amant rendait à moitié—folle et s’inquiétait avec elle des rendez-vous cachés, des lettres glissées au fond d’un sac, du manque de l’autre qui dévore le corps et l’âme » Leila Slimani, j’emporterai le feu, p 121
January 28, 2025 at 12:30 PM
« Elle écoutait avec délectation celle qu’un amant rendait à moitié—folle et s’inquiétait avec elle des rendez-vous cachés, des lettres glissées au fond d’un sac, du manque de l’autre qui dévore le corps et l’âme » Leila Slimani, j’emporterai le feu, p 121
Alors que je me tenais debout dans le couloir, il a posé sa main sur mon épaule et d’une voix soudain timide, hésitante, il a ajouté « vous parliez de Proust tout à l’heure. Si je peux vous donner un conseil, mademoiselle, trouvez votre madeleine. » Leila Slimani, J’emporterai le feu, 2025, p28
January 28, 2025 at 12:08 PM
Alors que je me tenais debout dans le couloir, il a posé sa main sur mon épaule et d’une voix soudain timide, hésitante, il a ajouté « vous parliez de Proust tout à l’heure. Si je peux vous donner un conseil, mademoiselle, trouvez votre madeleine. » Leila Slimani, J’emporterai le feu, 2025, p28
« … elle retrouvait avec un peu d’amusement le douloureux plaisir d’attendre un signe. Elle découvrait au passage que le monde avait bien changé. On ne rêvait plus d’un coup de fil. On n’allait plus chercher une odeur sur une carte postale.» Nicolas Mathieu, Le Ciel ouvert p76
January 28, 2025 at 12:05 PM
« … elle retrouvait avec un peu d’amusement le douloureux plaisir d’attendre un signe. Elle découvrait au passage que le monde avait bien changé. On ne rêvait plus d’un coup de fil. On n’allait plus chercher une odeur sur une carte postale.» Nicolas Mathieu, Le Ciel ouvert p76
« Quelle que soit la vie qu’on a menée, on ne peut s’empêcher de rêver à celle qu’on a pas eue, aux choix que l’on a faits, au détriment d’autres chemins possibles. » Vanessa Springora, Patronyme, Paris 2025, p 292
January 23, 2025 at 8:29 AM
« Quelle que soit la vie qu’on a menée, on ne peut s’empêcher de rêver à celle qu’on a pas eue, aux choix que l’on a faits, au détriment d’autres chemins possibles. » Vanessa Springora, Patronyme, Paris 2025, p 292