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"Colonne vertébrale brisée, queue arrachée, poumons perforés" 🤯

Fulda a vécu un supplice quand des chiens de chasse l'ont attaquée, alors qu'elle se trouvait dans son jardin.

La chasse est un fléau pour tous les animaux.

📹 Le Dauphiné
La macronie c'est la déliquescence de l'État de droit.
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Dans le nord du Kenya frappé par le changement climatique, les dromadaires remplacent les vaches
Dans le nord du Kenya frappé par le changement climatique, les dromadaires remplacent les vaches
Par AFP Par Julie CAPELLE © 2025 AFP "Dieu, Dieu, Dieu, protège-les", scandent deux pasteurs en suivant des yeux une dizaine de dromadaires se précipitant vers des acacias, indifférents au lit d'une rivière asséchée dans le nord du Kenya où il n'a pas plu depuis avril. Assis sur le rebord d'un puits à proximité, Chapan Lolpusike raconte avoir perdu ses vaches et ses bœufs, "tous morts" à l'issue de la pire sécheresse en quatre décennies dans la région, causée par une succession de pluies défaillantes en 2021-2022. "Nous n'avons plus de bovins à la maison", explique cet éleveur samburu, une ethnie semi-nomade, interrogé par l'AFP. "Nous élevons uniquement des chameaux", poursuit-il, en référence aux dromadaires, qui font partie de la famille des chameaux, ou camélidés. Les mammifères au long cou et à une bosse, qui peuvent se nourrir d'herbes sèches et sont capables de rester plus d'une semaine sans boire, sont de plus en plus nombreux dans le nord du Kenya, vulnérable au réchauffement climatique. D'autant qu'ils produisent jusqu'à six fois plus de lait que le cheptel traditionnel. Les autorités du comté de Samburu ont lancé un vaste programme de sécurité alimentaire basé sur ces quadrupèdes en 2015, après plusieurs épisodes de sécheresse qui avaient décimé au moins 70% des bovins des zones arides et semi-arides kényanes, avec un impact dévastateur sur la malnutrition. Quelque 5.000 dromadaires Somali - une espèce plus grande et plus productive que le cheptel autochtone - ont déjà été distribués, dont 1.000 durant l'année écoulée. Lait nutritif M. Lolpusike, qui ne connaissait rien aux camélidés, en a reçu en 2023. Dans sa manyatta, un hameau de huttes rectangulaires établi dans une zone de savane arbustive, une dizaine de dromadaires sont allongés, mâchonnant paisiblement des herbes sèches. Le but est qu'à terme, chaque famille du comté ait les siens, explique à l'AFP James Lolpusike, l'administrateur du village, qui n'a aucun lien familial avec l'éleveur. "Si la sécheresse persiste, les bovins disparaîtront", contrairement aux dromadaires qui les "remplaceront", observe-t-il. Les camélidés restent moins bien connus que les bovins, admet le responsable. Certains de leurs troupeaux ont été décimés par les maladies, ont pointé plusieurs études. Mais un changement positif est "visible" dans le nord et l'est de Samburu, où ces mammifères peuvent être observés en plus grand nombre le long des routes, et les enfants sont en meilleure santé, se félicite-t-il. Dans la manyatta de Chapan Lolpusike, les habitants se réjouissent que les chamelles puissent être traites jusqu'à cinq fois par jour. "Les vaches, on ne les trait que lorsque l'herbe est verte", explique Naimalu Lentaka, 40 ans. "Les chamelles (..) pendant la saison sèche, on les trait encore, et c'est là toute la différence", se réjouit-elle. Dans la région, désormais, les familles "dépendent des chameaux, de ceux qui en ont", assure Naimalu Lentaka. Instrument de paix Le lait de dromadaire et le lait maternel humain présentent des propriétés nutritionnelles et thérapeutiques similaires, pointait en 2022 une de l’université kényane de Meru (centre). Durant les saisons de sécheresse prolongée, le lait contribue jusqu’à 50% de la consommation totale de nutriments parmi les communautés pastorales du nord du pays. L'animal est d'ailleurs une star dans la région, où une course d'endurance lui est dédiée. Au "derby international de chameaux de Maralal", une ville du comté de Samburu, une quarantaine de dromadaires se sont ébroués fin septembre devant une foule joyeuse. Le vainqueur a parcouru 21 kilomètres, l'équivalent d'un semi-marathon, en 1h22, soit bien plus que nombre de coureurs de fond locaux. Mais l'évènement visait surtout à promouvoir les "interactions culturelles pacifiques". Car au rang de ses innombrables vertus, le dromadaire est aussi décrit comme un vecteur de paix. Les bovins, la saison sèche venue, doivent être emmenés sur des terres plus fertiles, où ils peuvent croiser des troupeaux d'autres communautés, engendrant des conflit entre éleveurs qui ont fait des centaines de morts. Mais les dromadaires, eux, restent sur place, se félicite l'administrateur James Lolpusike, et "réduisent les conflits". Mais même pour les résilients animaux, "nous avons besoin de plus d'eau", constate-t-il. "En réalité, (...) nous prions que la situation n'empire pas." étude
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Ouragan Melissa: survivre parmi les décombres à Cuba, déjà éprouvée par la crise
Ouragan Melissa: survivre parmi les décombres à Cuba, déjà éprouvée par la crise
Par AFP Par Rigoberto DIAZ © 2025 AFP Damian Figueredo se réjouit d'avoir survécu à l'effondrement de sa maison, détruite par l'ouragan Melissa dans l'est de Cuba. Mais il ne sait pas comment il va s'en sortir, dans une île déjà mise à rude épreuve par les difficultés économiques. Cet ancien mineur de 52 ans, à la silhouette frêle, se déplace avec difficulté en raison d'un accident dans une mine d'or, il y a sept ans, qui l'a forcé à prendre sa retraite anticipée. Ce qui était sa maison à El Cobre, une bourgade de 7.000 habitants célèbre dans toute l'île pour abriter le sanctuaire de la Vierge de la Charité, sainte patronne de Cuba, n'est plus qu'un tas de débris: briques, tuiles, portes et fenêtres jonchent le sol. Mais il n'a pas pu commencer à déblayer en raison de sa santé fragile. "Cet ouragan a accentué mes problèmes. Ma situation est désespérante", dit-il, alors qu'il survit, seul, avec une retraite de 3.000 pesos cubains (6 dollars sur le marché des changes informel) qui ne lui "suffit pas". Mardi soir, il est allé se coucher tôt, pensant qu'il ferait mieux de dormir en attendant l'ouragan. Après avoir dévasté la Jamaïque, Melissa était attendu dans la nuit dans le sud-est de Cuba. C'est dans son lit qu'il a commencé à ressentir la fureur des vents, qui ont atteint 195 km/h. Il s'est échappé à temps de sa maison qui a fini par s'effondrer. Seul un pan du toit du salon a résisté. "A quelques secondes près, tout cela m'aurait écrasé", explique le quinquagénaire. Jusque-là, il survivait grâce à la solidarité de ses voisins qui le nourrissaient, mais il ne sait pas de quoi demain sera fait. "Tragédie nationale" Si Melissa n'a pas fait de victime à Cuba, selon les autorités, elle a frappé une île en proie à de nombreuses difficultés: chute de la production agricole et industrielle, érosion des programmes sociaux, pénuries, pannes générales d'électricité, inflation... "Nous pouvons dire que nous nous trouvons dans des circonstances extrêmes", dit à l'AFP Rogelio de Dean, 45 ans, prêtre de l'église du sanctuaire de la Vierge de la Charité d'El Cobre, qui a également subi des dommages matériels. "La situation de tragédie nationale dans laquelle nous laisse le cyclone s'ajoute désormais à la réalité quotidienne déjà difficile de notre peuple", a également souligné dans un communiqué la Conférence des évêques de Cuba, qui a lancé un appel aux dons. De fait, le désarroi domine parmi les habitants d'El Cobre. "Ce cyclone nous a tués, il nous a détruits, nous qui étions déjà dans une grande détresse. Maintenant, évidemment, notre situation est encore bien pire", se lamente Felicia Correa, 65 ans, qui vit dans le hameau La Trampa, non loin d'El Cobre. Les habitants de la zone n'avaient jusque-là que deux heures et demi de courant par jour, racontent-ils. Il ne savent désormais pas quand le courant, coupé dans six provinces du pays sur quinze, pourra être rétabli, même si les autorités ont fait de la relance du réseau électrique leur "priorité". En parallèle, l'envoi d'aide humanitaire dans les provinces de l'est du pays s'organise. Selon le ministère cubain des Affaires étrangères, le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a annoncé le déblocage de 4 millions de dollars du fonds d'urgence humanitaire pour Cuba et Haïti, également touché par les conséquence de Melissa. Le Venezuela a envoyé 26.000 tonnes d'aide humanitaire à son allié. Aux Etats-Unis, qui imposent un embargo économique à Cuba depuis plus de six décennies, le gouvernement de Donald Trump a déclaré se "tenir au côté du courageux peuple cubain" et le Département d'Etat s'est dit "prêt à fournir une aide humanitaire immédiate directement et par l'intermédiaire de partenaires locaux". Une proposition qualifiée d'"indigne" par La Havane. "Si c'était la volonté sincère de ce gouvernement de soutenir notre peuple, ils auraient levé sans conditions le blocus criminel et nous auraient retirés de la liste des États soutenant le terrorisme, où nous n'aurions jamais dû figurer", a déclaré sur X Roberto Morales Ojeda, membre du Bureau politique du Parti communiste cubain. Depuis fin 2021, les États-Unis ont réinscrit Cuba sur leur liste des "Etats soutenant le terrorisme", entraînant un renforcement de l'embargo. L'ex-président Joe Biden l'en a retiré une semaine avant de quitter la Maison-Blanche, décision rapidement révoquée par Donald Trump.
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Dans le nord-est du Nigeria, accoucher au péril de sa vie à cause des jihadistes
Dans le nord-est du Nigeria, accoucher au péril de sa vie à cause des jihadistes
Par AFP Par Nicholas ROLL © 2025 AFP Lorsque la femme de Lawan Mustafa, enceinte de neuf mois, s'est réveillée en sang au milieu de la nuit, elle a supplié son mari de ne pas se rendre à l'hôpital. Malgré la présence d'une base militaire pleine de soldats stationnés à la périphérie de Magumeri, dans le nord-est du Nigeria, la ville est connue pour être infestée de jihadistes la nuit, ainsi que de milices anti-jihadistes qui auraient pu considérer Mustafa comme un suspect. Le Nigeria est le pays le plus dangereux au monde pour accoucher, avec un taux de mortalité maternelle de 993 pour 100.000 naissances, selon l'Organisation mondiale de la santé. Les infrastructures hospitalières sont vieillissantes, de nombreuses zones rurales sont dépourvues d'hôpitaux, les professionnels de santé mal rémunérés sont nombreux à quitter le pays et ceux qui restent multiplient les grèves pour réclamer le paiement de leurs arriérés de salaires. Dans le nord-est, en proie à une insurrection jihadiste qui dure depuis 16 ans, de nombreuses femmes ne parviennent jamais à se rendre à l'hôpital, bloquées à domicile par des routes trop dangereuses pour circuler, des postes de contrôle militaires pointilleux et des couvre-feux interdisant les déplacements. "J'essayais de la rassurer, car nous ne pouvions absolument pas sortir", raconte à l'AFP Lawal Mustafa, 35 ans et père de cinq enfants. Il est finalement parti vers 4h30 du matin, l'heure à laquelle les fidèles musulmans commencent à se lever pour la première prière du matin, mais il était trop tard: sa femme, Ummanim, et leur bébé sont morts à l'hôpital. Même si le taux de mortalité maternelle a régulièrement baissé au cours de la dernière décennie, les 75.000 décès maternels enregistrés chaque année dans le pays représentent un quart de tous les décès de ce type dans le monde. Les causes sont multiples, selon les experts. Malgré les vastes richesses pétrolières du pays, plus de 60% des habitants vivent dans la pauvreté, estime la Banque mondiale. Les coutumes culturelles peuvent limiter l'accès des femmes aux contraceptifs, ainsi que leur capacité à voyager en dehors de leur village, en particulier dans le nord conservateur. Les enfants ne sont pas épargnés: selon la Banque mondiale, le Nigeria a le second taux de mortalité infantile le plus élevé au monde, juste derrière son voisin le Niger. Route bloquée L'insurrection jihadiste dans le pays, déclenchée par le soulèvement de Boko Haram en 2009, ne fait qu'aggraver la situation. "Vous voulez qu'une patiente se rende dans un établissement éloigné, mais elle pourrait se demander: +Et si je me faisais enlever sur la route ?+", explique Ekeh Chizoba, un responsable de l'ONG International Rescue Committee (IRC), qui constate une augmentation des signalements d'enlèvements cette année. Les professionnels de santé peuvent également être des cibles de choix pour les enlèvements, selon son collègue Saidu Liman, ce qui ajoute à la difficulté déjà grande de recruter des spécialistes dans les zones rurales. La violence dans le nord-est a diminué depuis son pic il y a dix ans, et les grandes villes telles que Maiduguri, la capitale de l'État de Borno, ne sont plus le théâtre d'attentats-suicides ou de fusillades comme ce fût le cas par le passé. Mais de vastes zones rurales échappent toujours au contrôle du gouvernement, et les attaques jihadistes, contre des populations civiles ainsi que contre des militaires, ont connu une recrudescence cette année. Chaque jour vers 17 heures, l'armée ferme la route de 50 kilomètres qui relie Maiduguri à Magumeri, bloquant ainsi la circulation des médecins, des patients et des médicaments provenant de la capitale régionale, mieux équipée. Même lorsque la route est ouverte, rien ne garantit qu'il n'y aura pas d'attaques. "Ils installent un poste de contrôle et me disent que je dois attendre que les militaires dégagent la route pour avancer", explique Mohammed Bakura, un ambulancier sous contrat avec l'IRC qui fait souvent la navette entre les deux villes. Il se souvient avec angoisse de la fois où des jihadistes ont tenté de voler sa voiture. Ce même jour, ils avaient attaqué la clinique de Magumeri. Dans un village situé à la périphérie de Magumeri, entouré de vastes champs de sorgho et de haricots, Falmata Kawu, 30 ans, est assise dans une petite clinique où elle avait emmené sa fille Aisa l'année dernière. La fillette de deux ans avait été transférée à l'hôpital de Maiduguri pour des complications liées à la malnutrition. La route était ouverte et elle a pu partir immédiatement, mais Aisa est décédée à l'hôpital. S'il y avait moins de conflits et plus d'argent pour les services de santé, elle aurait pu faire soigner Aisa dans son village et "l'enfant aurait pu vivre plus longtemps", regrette-t-elle.
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La résolution RN votée aujourd'hui par l'AN avec des voix macronistes n'a aucune portée juridique réelle, comme le savent sans doute ses promoteurs. L'accord de 1968 ne peut être dénoncé unilatéralement. Pure démagogie raciste.
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Depuis 1977, au moins 945 personnes sont décédées à la suite d’une mission des forces de l’ordre. En 20 ans, les interventions létales de la police ont quasiment triplé. Comment y remédier ? Familles de victimes, chercheurs et politiques proposent des mesures.

Avec le Bondy Blog, on fait le point ⤵️
Morts de la police : comment les empêcher ?
Depuis la fin des années 1970, près d'un millier de personnes sont mortes suite à une interaction avec la police. Comment expliquer cette spirale et comment y remédier ? Familles de victimes, chercheu...
basta.media
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Merci Libé de mettre en lumière la croissance exponentielle et opaque des fondations.
On le voit dans l'enseignement sup comme dans le monde associatif : les gels & coupes budgétaires organisent le transfert du pouvoir vers ces acteurs privés (dopés par les exo fiscales) aux agendas parfois troubles
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Dans le réseau 🌍
Nouveau rapport : Comment les ultra-riches brûlent la planète🔥

🚨Pendant que les gouvernements refusent de taxer les plus riches pour financer la transition, Oxfam révèle qu'un individu issu des 0,1% les plus riches émet + de CO2 en 1 journée qu'une personne parmi les 50% les plus pauvres en 1 an 👇
Le pillage climatique des ultra-riches - Oxfam France
Une nouvelle étude Oxfam dévoile que le mode de vie à forte empreinte carbone des ultra-riches épuise le budget carbone restant de la planète
www.oxfamfrance.org
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Avez-vous essayé le studio #PeerTube ?

Cette fonctionnalité intégrée à l'interface de PeerTube vous fourni des outils simples pour éditer vos vidéos !

👉 docs.joinpeertube.org/use/studio

#PeerTubeTipOfTheWeek
Pour que ces entreprises dépensent autant il faut que ces actions de lobbying soient jugées efficaces, donc qu'il y ait "de l'autre côté" une ecoure attentive.
Quand va t on enfin priver ces entreprises de cette écoute hors cadre et l'encadrer strictement (auditions filmées etc.) ?
Les géants de la tech renforcent sensiblement leur lobbying à Bruxelles. Ils dépensent 151 millions d'euros par an, contre 113 millions il y a deux ans.
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CNRS @cnrs.fr · 1d
Vous connaissez les panneaux photovoltaïques posés sur les toits ou dans les champs, mais demain ce seront peut-être vos fenêtres qui convertiront l’énergie lumineuse du soleil en électricité 🪟🌞
C'est en tout cas l'objectif des travaux de recherche de Frédéric Sauvage, chimiste au CNRS.
Brève de science : des fenêtres pour produire de l’énergie
Vous connaissiez les panneaux photovoltaïques posés sur les toits ou dans les champs.
www.cnrs.fr
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L'Assemblée Nationale vient d'adopter avec l'aide de macronistes un texte délirant d'algérophobie du RN.
Gravissime.
Ou qui croient ne rien risquer.
Ceux qui relativisent le danger de l'extrême droite ou parlent de prendre du recul sont généralement ceux qui ne risquent rien à son accession au pouvoir.
Selon @franceinfo.fr c'est historique.
Le RN fait voter un texte qu'il présentait, pour la première fois depuis le début de la Veme République.
Avec l'aide de la droite.
Grâce à l'absence (voulue ?) des macronistes
La honte.
Le RN vient de faire voter une résolution pour dénoncer l’accord franco-algerien de 68. Pire, le parti d’Édouard Philippe a voté avec le RN. « C’est le même qui va se présenter en recours en 2027? », fulmine un député PS. Il a déjà dîné avec Marine Le Pen alors pourquoi ne pas voter avec elle… #Off