En regardant #IronClaw nous pensons que les frères Von Erich vont triompher, mais nous tombons brutalement dans le drame. Comme quand Kevin, venu pour affronter le champion du monde : Ric Flair, décède subitement lors de son voyage au japon d'une entérite aiguë. #icfdi

#IronClaw de Sean Durkin est un film qui traite d'une relation familiale toxique. Le père Fritz Von Erich, catcheur professionnel transmet sa passion à ses enfants dès les années 60, il agit comme un entraîneur tyrannique qui met en compétition tous ses fils, les entrainant dans la tragédie.
#icfdi

#Ironclaw tout comme d'autres films de Sean Durkin tels que #TheNesat et #MMM mettent en évidence les tensions familiales et la destructions des liens sous la pression. Le réalisateur centre ces films autour d'une thématique bien precise qu'il revisite à chaque fois de maniere différente. #icfdi

#Ironclaw met en évidence plusieurs thèmes importants. Mais commençons par le père.
Ce dernier utilise ses fils afin de combler son sentiment de frustration causé par sa carrière inachevée. Il est pret à mettre sa progéniture en danger pour atteindre son objectif. #ironclaw #icfdi

#ironclaw est un film qui parle de la famille. Réaliser par Sean Durkin. Ces film ont en commun le fait d'avoir un chef toxique. L' #ironclaw est son finisher. Le père veut vivre la gloire à travers ces fils qui rappelle le "projet mbappe". Il a une emprise sur ces fils #icfdi

#ironclaw est un film touchant avec une pointe de tristesse qui n'est pas habituelle pour un film basé sur le catch, dénoncé comme un sport pratiqué par des brutes qui ne montrent pas leurs sentiments.

dans le film le père refuse que ses fils pleurent lors du décès de leur frère
#icfdi

Le film #ironclaw sur la famille Von Erich qui va devenir une dynastie de célèbres catcheurs en popularisant la prise du Iron Claw en français "griffe de fer" qui symbolise l'emprise que le père détient sur ses fils .
#icfdi

Dans le film "le Règne Animal" de Thomas Cailley, on
remarque plusieurs ressemblance avec la Guerre des mondes de Steven Spielberg : le pont qui apparait dans la guerre des mondes, le T-shirt New York que porte Emile ect...
Thomas Cailley fait vraiment très attention aux détails.

le conflit est au centre de l'intrigue. Il met deux parties l'une contre l'autre. On retrouve cette opposition tout au long, avec la 1ere et la dernière scène, les frères et le couple, l'étranger et le local. Mais il est dur de cerner le bien du mal, il n'y a pas de manichéisme venant du réalisateur

L'ouverture utopique d'As Bestas ne laisse pas deviner la suite du film et la fin tragique de celui-ci. La 1ere scène au ralenti laisse penser qu'on se trouve dans un rêve gracieux dont on va se réveiller. C'est un contraste à la fin car on retrouve le même mode opératoire, sauf qu'il mène à la mort

as bestas est trop centrer sur les émotions des personnages ce qui rend redondant le film

AS BESTAS :
ce qui a été intéressant dans le film c'est la raison derrière chaque acte des personnages pour moi on ne peut pas qualifier l'un ou l'autre de "méchant" et "gentil", de plus nous n'avions pas eu de nouvelle sur les éoliennes qui est pourtant le centre du conflit