Cette proposition illustre ce que nous défendrons plus largement dans le budget 2026.

Il y a l'enjeu de résorber le déficit et d’affronter la dette, mais il y a aussi la nécessité d'affirmer un État stratège, de réaffirmer nos valeurs de solidarité et d’investir dans la transition écologique.

Notre proposition de loi, et l’amendement au budget proposent d’assouplir la réserve héréditaire pour les gros héritages. Au-delà d’un montant transmis aux héritiers, les légataires auraient une liberté de transmission et pourraient donner le reste de leur patrimoine à des causes d’intérêt général.

Une réforme du droit des successions permettrait de favoriser la philanthropie par la redirection de ce flux financier colossal.

Quand on s’enrichit plus par la rente que par le travail, notre pacte républicain est fragilisé.

Le secteur de la solidarité connaît de grandes difficultés : la progression des dons n’a jamais été aussi faible qu’en 2024.

La concentration du patrimoine a atteint des niveaux inédits. A l’occasion du budget 2026, nous proposons de réformer le droit des successions et de favoriser la philanthropie.

Le droit des successions tel qu’il existe aujourd’hui favorise une société d’héritiers.

Et que le Ministre de la justice, Gérald Darmanin, se solidarise avec un ancien président 2 fois condamné à de la prison est une double salissure : sur les magistrats et sur sa propre fonction.

Cette mobilisation est nécessaire pour contrer l’influence des lobbys de l’agro-industrie et faire adopter ma proposition de loi Nutriscore.

@hercbergs.bsky.social
@stephbesancon.bsky.social

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Après l’appel des scientifiques publié dans Le Monde le 24 octobre 2024.

Après l’appel des parlementaires dans L’Express le 11 juin 2025.

C’est au tour de la société civile organisée de revendiquer cette mesure dans une lettre ouverte au Premier ministre.

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Un grand merci à l’association Empreintes pour son travail remarquable, à Nathalie Hanet, sa présidente, Patrick Facchinetti, délégué général, Marie Tournigand, ancienne présidente et déléguée générale, et Laetitia Nallet, qui a animé les débats avec sensibilité.

La nouvelle enquête du CREDOC, « Les Français face au deuil » (2025) apporte des données précieuses pour comprendre ces réalités.
Elles doivent servir de fondement à des décisions politiques éclairées, basées sur des faits.

Pourtant, l’accompagnement reste l’exception.

Seules 20% des personnes endeuillées déclarent avoir bénéficié d’un soutien, qu’il soit psychologique ou médical, et beaucoup jugent cet accompagnement insuffisant.