JoRod
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Le cinéma dans le veines. Toujours avec passion, jamais sans raison. Insta : JoRodCine
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Il est là le grand film de 2025.

Quel sens du romanesque, de la narration, de la mise en scène.

PTA au sommet de son art.
#Dimanches brasse ses thématiques (le temps qui passe, l'intimité d'un couple) avec finesse, douceur et subtilité. Un dispositif narratif et de mise en scène très simple mais qui fonctionne à merveille.

Un monde s'efface, et Shokir Kholikov capte qq chose de ce crépuscule de réellement magnifique.
Magnifique, #VeraDrake est un des plus beaux Mike Leigh et Venise ne s'est pas trompé en lui décernant le Lion d'Or.

Dispositif et histoire très simples mais l'exécution est déchirante par son dénouement et par la belle caractérisation de ses personnages.
J'avoue qu'il est rentré dans la partie haute, j'ai passé un super moment.
#LifeIsSweet est peut-être un des plus méconnus de Mike Leigh mais c'est un pur plaisir. Un petit bonbon de douceur et de gentillesse dans l'Angleterre populaire.

C'est mordant et amusant. Et ce serait dommage de passer à côté.
Moins emballé par les 2 films suivants de Leigh, #DeuxFillesDAujourdhui & #TopsyTurvy. Le 1er peine à réitérer la recette sociale de Leigh, & le 2nd, + surprenant dans sa carrière, se révèle sympathique dans le petit jeu autour de la création dans l'époque victorienne.
#SecretsEtMensonges est un magnifique film de Mike Leigh, qui part d'un postulat improbable, ou chaque personnage semble déjà usé par la vie, et réinjecte de l'humanité par petites touches, jusqu'à la libérer, grâce notamment au travail de mise en scène, discret mais précis.

Déambulation désespérée dans un Londres macabre, #Naked n'a rien de plaisant, ni par son personnage, ni par ce qu'il dépeint. Pourtant, une étrange attraction nous saisit et l'on suit l'errance nocturne d'une âme malade, qui ne voit la lumière nulle part. Etonnant et fascinant.
#HighHopes (1988) est un conte réaliste cruel dans l'Angleterre des 80's, ou les politiques néolibérales viennent contaminer l'intime.

Loin d'être cynique, Mike Leigh apporte de la douceur à travers la relation de couple, ou la complicité de l'amour adoucit les rancœurs.
Oui je sais, il faudrait que je le revois avec un oeil nouveau. Les secondes lectures sont quelques fois bénéfiques 😊
Comme souvent, je vais les faire dans l'ordre à partir de Meantime (que j'ai découvert hier, très chouette) 😉
Et petit plaisir de voir dans #Meantime, les visages juvéniles de Tim Roth, Gary Oldman et Alfred Molina, dont c'est les débuts.
Je débute l'oeuvre de Leigh par ce joli #Meantime. Plongée dans Angleterre de Thatcher, rongé par le chômage & la précarité. Une histoire autour de personnages qui vagabondent entre maison, bar et rue, et qui raconte finalement beaucoup de la brutalité politique de l'époque.
Je vois beaucoup d'éloges, donc je pense pas être déçu.
Des Palme et Lion d'or, plus sa réputation, j'ai pas hésité longtemps à m'y plonger dedans 😊
Alors que son dernier film #DeuxSoeurs sort au début du mois d'avril, je m'attaque à une filmographie qui m'est tout à fait inconnue, celle de Mike Leigh, cinéaste britannique.

Hâte d'en découvrir tous les contours.
Pas dans le top 16. Je ne garde pas un souvenir mémorable du film.

Il me manque le 3ème Magic Mike, et The Insider (et ses séries) et j'ai tout vu sinon.
D'ailleurs, une petite sélection de la crème Soderberghienne avec mon top.

Hâte de découvrir #TheInsider.
Après avoir vu la quasi-integralité de l'oeuvre de Steven Soderbergh (33 films) et malgré sa qualité inégale, il est fascinant de voir sa volonté de toucher à tout.

Une réelle diversité de ton, de regard, de recherche esthétique qui force le respect et l'admiration.
Malgré sa vocation déceptive, j'ai aimé #Mickey17   

Bong Joon-Ho, toujours avec mordant, offre un film rempli de thématiques passionnantes (pas toutes bien traitées, certes) mais qui donne une sacrée densité narrative.

Entre absurde cartoonesque et sincère gravité.
Avec #TroisAmies, Emmanuel Mouret affine son cinéma dans une nouvelle valse des sentiments. Écriture sensible, mise en scène intelligente.

C'est tellement touchant, tant tous les personnages sont beaux dans leur fragilité, leur doute. De la pure intelligence émotionnelle.
#UnParfaitInconnu, film bâtard qui croule sous les contradictions mais dont l'énergie musicale contamine & emporte.

Dylan aussi fascinant que complexe dans une mise en scène soignée de James Mangold, qui fait le choix de l'incarner à travers le regard de ceux qui l'accompagne.
Tout le monde s'excite beaucoup sur les #Oscars2025 dont on sait qu'ils sont un pur objet de lobbying dont sa légitimité artistique est à remettre en perspective.

Néanmoins, je suis content pour #Anora, un des sommets de 2024, bien que d'autres n'auraient pas démérité (Dune 2, Brutalist)

#Oscars