Pauline Boyer
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Activiste climat, experte nucléaire☢️, chargée de campagne Transition énergétique @greenpeace.fr Co-autrice du Manifeste pour la non-violence, éditions Charles Leopold Mayer
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Le projet de construction de nouveaux réacteurs EPR2 à Gravelines, le “château de sable en bord de mer” d’EDF, s’enlise déjà dans les sables mouvants.

Il est temps qu’EDF prenne la décision la plus raisonnable : stopper ce projet ❌ 8/8
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Gravelines : une centrale face à la montée des eaux
La centrale nucléaire de Gravelines est menacée par la montée des eaux aggravée par la crise climatique, mais EDF veut construire 2 réacteurs.
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L’ASNR soulève des doutes quant à la capacité d’EDF à anticiper de manière sûre les risques sismiques dans la conception du renforcement des fondations des réacteurs nucléaire EPR2. 7/8
L’avis estime que le renforcement envisagé du sol du site de Gravelines constitue “un défi technique majeur” et que le système proposé par EDF est “d’une ampleur sans précédent, d’une grande complexité et sans retour d’expérience représentatif en France et à l’international”. 6/8
Cet avis montre que les critères de choix des sites de construction de nouveaux réacteurs EPR2 sont largement questionnables. Après avoir sous-estimé les risques climatiques, EDF sous-estime le risque de construire une infrastructure si dangereuse sur un sol aussi inadapté. 5/8
Censé soutenir le poids des nouveaux réacteurs EPR2, le sol de Gravelines présente des “caractéristiques mécaniques médiocres”, posant un défi technique sans précédent concernant la robustesse des fondations dans le temps et face aux aléas sismiques pouvant compromettre la sûreté nucléaire. 4/8
Lire l'analyse de Greenpeace France sur l’avis d’expertise N° 2025-00083 du 23 juillet 2025 de la Direction de l’expertise en sûreté de l’ASNR concernant le projet de construction de deux nouveaux réacteurs EPR2 🧐3/8
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L'Autorité de sûreté a sévèrement recalé la copie d’EDF sur sa première étude de renforcement du sol sur le site Gravelines, considérant que l’approche retenue par EDF n’est pas suffisamment robuste, l’enjoignant notamment à préciser les enjeux de sûreté relatifs au renforcement de sol. 2/8
Projet de nouveaux réacteurs nucléaires à Gravelines ☢️: Aux risques de submersion et d’inondations de la centrale s’ajoute désormais le risque de tassements et de liquéfaction du sol !

Analyse de @greenpeace.fr sur l'avis de l'autorité de sûreté nucléaire🧵1/8
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Gravelines : l’avis accablant de l’ASNR remet en cause les EPR2
La Direction de l’expertise en sûreté de l’ASNR, autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection, vient de rendre public un avis d’expertise accablant sur le projet d’EDF sur la centrale de Graveli...
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Reposted by Pauline Boyer
🚨Nouvelle escalade dans la menace nucléaire russe.
La situation montre que les centrales nucléaires civiles peuvent devenir des armes de guerre, au péril de la sûreté nucléaire.

Et pendant ce temps, des entreprises françaises comme #EDF, #Framatome et #Orano continuent leur commerce avec #Rosatom
Au lieu de fraterniser avec Poutine, Raphaël Grossi devrait oeuvrer à protéger l'Ukraine et l'Europe des manoeuvres russes dans la centrale nucléaire de Zaporijia, exiger la reconnexion de la centrale au réseau ukrainien et la remise de la centrale aux autorités et agence de sûreté ukrainiennes 7/7
Alors que la Russie joue avec le feu à Zaporijia, Raphaël Grossi, directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique, responsable de la sûreté nucléaire dans le monde, a rendu visite à Vladimir Poutine à Moscou lors d'un évènement organisé par Rosatom. C'est simplement scandaleux. 6/7
La Russie et Rosatom pourraient exploiter la déconnexion délibérée de la centrale au réseau pour la reconnecter au réseau des zones ukrainiennes temporairement occupées par la Russie. La prochaine étape pourrait consister à tenter de redémarrer un réacteur nucléaire. 5/7
Rappelons que les centrales nucléaires nécessitent un approvisionnement permanent d'eau actionné par des pompes électriques pour assurer la sûreté et éviter un accident nucléaire. 3/7
ça fait 5 jours que la centrale nucléaire de Zaporijia, occupée par Rosatom et l'armée russe, est déconnectée du réseau électrique. Le refroidissement de ses réacteurs et piscines de combustibles dépend donc uniquement des générateurs diesel présents sur site. C'est dangereux. 2/7
Malgré l'occupation illégale de la centrale de Zaporijia par Rosatom/ La Russie, le commerce nucléaire avec la Russie continue. Les entreprises française comme EDF, Framatome ou Orano, ne s'embarrassent pas des exactions de leur allié économique...
www.greenpeace.org/ukraine/en/n...
Greenpeace ahead of Trump-Putin Summit: Illegal Russian Occupation of Zaporizhzhia Nuclear Plant must end - Грінпіс Україна
Occupation poses a permanent threat of nuclear disaster for Ukraine and Europe
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Les méduses ont-elles été mises en garde-à-vue ? 🪼

A ce propos, le verdict du procès des 12 activistes @greenpeace.fr pour avoir alerté sur les risques liés au dérèglement climatique en brandissant des méduses devant la centrale nucléaire de Gravelines est attendu le 3 septembre...
Il est encore temps de stopper ce projet qui mêlerait risque climatique et nucléaire au détriment de la population et de l’environnement. 6/6
Les lois et procédures d’autorisation de la construction d’infrastructures si dangereuses devraient d’abord faire l’objet d’une analyse de risque sur leur vulnérabilité au dérèglement climatique. 5/6
Les activistes de @greenpeace.fr sont des lanceurs d’alerte. Dans quelques décennies, l’idée même de construire des réacteurs nucléaires en zone submersible au bord d’une mer montante paraîtra aussi saugrenu que de construire des pistes de ski en plein désert. 4/6
Pourtant, pendant tout le débat public sur le projet de Gravelines, EDF n’a eu de cesse de balayer toute possibilité de débat, restant sourde à nos questionnements, sans accepter de mettre en cause son approche que nous jugeons trop risquée pour la population et l’environnement. 3/6
Dans le contexte politique et géopolitique actuel, la décisions de construire ou non des infrastructure aussi dangereuses que des centrales nucléaires devraient être basées sur les pires scénarios pour prévenir les risques, plutôt que de faire accepter des risques qui paraissent faibles. 2/6