Juanpipo
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Juanpipo
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Toulousain passionné de foot (ToulouseFC), voyages, littérature, cinéma, séries, musique, cyclisme, NFL (Ravens), Sorare, des flechettes et de ma belle ville rose Toulouse
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La saison 3 (2025) de The White Lotus, en Thaïlande, est un peu mieux que la précédente mais reste assez décevante, comparée à la 1ere, car certains évènements sont un peu trop prévisibles, même si quelques passages valent la peine et on trouve tout de même des personnages présentant de l’intérêt
The Outrun (2024) de Nora Fingscheidt, raconte de manière non linéaire, les méandres éprouvants d'une femme affrontant les démons de son addiction pour l'alcool, en se plongeant dans la nature sauvage des îles Orcades, dont elle est originaire
La saison 1 de Infidèles (2025), adaptation d’un scénario de Bergman. La relation trouble entre un cinéaste et la femme de son ami, dans leur jeunesse mais aussi quand ils se retrouvent à l’orée de leur vie. Assez puissant tout en restant sobre et élégant
La saison 1 (2022) de The English. Western se mettant en place lentement, dans lequel on suivra une anglaise en quête de vengeance et un pawnee ancien soldat en quête de la terre qui lui est dûe. La photographie est belle, comme le lien qui se crée entre les deux
Joli joli (2024) de Diastème. Comédie musicale, sans prétention mais avec pas mal de qualités et de fantaisie. Dans le monde du cinéma de la fin des années 70, un chassé croisé amoureux, aux relents de ballet burlesque, kitsch et plein de malice, au casting très intéressant. Bonne surprise
La saison 1 (2025) de Dying for Sex suit Molly, une femme atteinte d’une récidive genéralisée suite à un cancer du sein et qui n’a pour simple but qu’avoir un orgasme. A mi chemin entre drame et comédie, c’est hyper touchant, souvent très juste, probablement grâce à la remarquable Michelle Williams
La saison 1 de Hacks (2021). Une star vieillissante du stand up se voit associer une autrice comique. Tout semble les opposer à 1ère vue mais elles vont s’apprivoiser.
Trop de rires forcés, des personnages 2ndaires beaucoup trop caricaturaux, c’est dommage car y’a des qualités
Quand vient l’automne (2024) de François Ozon. Portrait d’une vieille femme, vivant à la campagne, loin de son petit-fils adoré et de sa fille qui lui en veut à cause d’un secret. Mélodrame décevant qui aurait mérité un meilleur traitement, malgré la très belle interprétation d’Hélène Vincent
Mémoires d’un escargot (2024) d'Adam Elliot. Film d’animation en volume. Une jeune femme, séparée de son frère jumeau au décès de son père, se renferme dans sa passion pour les escargots, jusqu’à la rencontre d’une vieille farfelue. A la fois émouvant, drôle et humain, c’est très beau
Eat the night (2024) de Jonathan Vinel et Caroline Poggi. Lorsqu’il devient dealer et fait une rencontre amoureuse, un jeune homme s’écarte petit à petit de sa soeur et du monde virtuel qui les accaparaient, et s’attire des problèmes. Plus convaincant dans le virtuel que pour le reste.
Sibyl (2019) de Justine Triet. Une psy décide de revenir à l’écriture, mais sa dernière patiente, une actrice à la vie mouvementée, l’inspire à un point sui devient obsessionnel et ravive chez elle des blessures du passé. J’ai trouvé le rendu très plat, voir meme creux…
Only the river flows (2023) de Wei Shujun. Un inspecteur enquête sur le meurtre d'une vieille femme retrouvée au bord d'une rivière, dans la Chine rurale des années 90, dont le film se mue en une radiographie. Le style est assez pompeux et vain
Trap (2024) de M. Night Shyamalan. Un tueur en série se retrouve pris au piège au sein d’un enceinte où il est venu assisté au concert de la pop star préférée de sa fille. Inspiré de l’opération Flagship. Le résultat oscille entre thriller et comédie, sans jamais réussir à toucher au but… décevant
Sa Majesté des mouches (1954) de William Golding, traite avec pessimisme de l'organisation sociale en relatant l'arrivée accidentelle d'un groupe d'enfants sur une île déserte du Pacifique et les conflits violents dictés par nos instincts sauvages vont vite apparaitre.
The crying game (1992) de Neil Jordan, un soldat brittanique est enlevé par l’IRA, il sympathise avec son garde qui lui promet de retrouver sa mystérieuse compagne après sa mort. On se croit dans une romance sur fond de politique, jusqu’au switch surprenant
Les fantômes (2024) de Jonathan Millet, ou l’histoire d’un rescapé d’une prison militaire syrienne qui tente de retrouver son bourreau en France. Film très documenté s’inspirant d’une véritable organisation ultrasecrète d’opposants syriens. Pas ininterressant, pas un chef d’oeuvre non plus.
La saison 1 de Nos vies en l’air (2024). Deux jeunes se rencontrent sur le même toit, alors qu’ils voulaient sauter. Ils décident de se donner la nuit pour y réfléchir. De très belles idées, des beaux moments humains, même si ça s’essoufle en voulant évoquer les causes
La saison 1 de Get Millie Black (2024), série policière suivant une inspectrice de Scotland Yard rentrée en Jamaïque et enquête sur des disparitions d’enfants. Le résultat est très classique, les personnages très peu surprenants.
Santosh (2024) de Sandhya Suri. À la mort de son mari, tué en service, une femme hérite de son emploi de policier. Elle enquête sur la disparition d'une jeune paysanne et découvre vite le sexisme, la violence et la corruption inhérents à cette société. Film fort et bouleversant
Et que le vaste monde poursuive sa course folle (2009) de Colum McCann. A travers une ronde de personnages qui vont un jour être liés, l’histoire du monde, qui n’est qu’un éternel renouvellement, fait de petits riens, de joies et de peines. Un roman profondément humain et très bien écrit
La série est vraiment bien faite et mérite de la regarder dans son intégralité tant les 3 saisons se complètent à merveille. Les personnages sont bien approfondis, et l’intrigue est plus profonde qu’une simple chasse au tueur en série.
La saison 1 (2013) de The Fall, une super-policière traquant un tueur de femmes à Belfast. Rien de révolutionnaire sur la partie policière, mais appréciable pour son féminisme intelligement développé, avec son personnage qui combat au quotidien la misogynie sous toutes ses formes
Palm Springs (2020) de Max Barbakow, est une romcom plutôt réussie, sorte de cousin d’Un jour sans fin, avec une boucle temporelle au cours d’un mariage, cette fois sur les 2 personnages principaux. C’est drôle, parfois touchant, mais la fin ne m’a pas convaincue
Mention spéciale à Céleste Brunnquell que je trouve comme toujours formidable
La saison 1 d’En Thérapie (2021) nous plonge dans un cabinet de psy, auprès de 5 patients, aux histoires singulières, dans cette série d’une rare intelligence au coeur de l'intime et du travail analytique qui fait parfaitement écho à nos vies à tous.